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       LE JOURNAL  DU PEUPLE
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LE JOURNAL DU PEUPLE

VIP-Blog de migan
  • 29 articles publiés dans cette catégorie
  • 2 commentaires postés
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  • Créé le : 07/11/2010 12:36
    Modifié : 17/10/2014 11:05

    Garçon (38 ans)
    Origine : cotonou BENIN
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    Semaine de l?enfant 2012

    19/06/2012 00:05



    Le Bénin a célébré le vendredi 16 juin dernier, la 22ème édition de la Journée de l’enfant africain qui a eu lieu après la Journée mondiale de lutte contre le travail des enfants commémorée le 12 juin passé. Ces deux célébrations ont précédé la Journée internationale du réfugié qui aura lieu le 20 juin prochain. D’où la semaine de l’enfant et du réfugié. Les cérémonies officielles de cette fête qui vient magnifier les enfants handicapés se sont déroulées dans la salle rouge du Palais des Congrès de Cotonou en présence des autorités compétentes... Si entre temps les droits des enfants en situation dans le monde ne sont pas respectés, aujourd’hui ils le sont et les supplices des enfants sont désormais sous les feux de projecteurs. Cependant, la partie n’est pas gagnée pour autant chez ces milliers d’enfants handicapés qui continuent d’égrener le chapelet des mauvais traitements dont ils continuent d’être l’objet au quotidien. Vendredi dernier à l’occasion de la célébration de la Journée de l’enfant africain, ces derniers ont adressé au chef de l’Etat un cri de cœur pour attirer à eux de meilleurs traitements en leur faveur. Leur message a été d’autant plus percutant qu’il a fait fondre en larme plus d’un. « Nous sommes aussi citoyen, nous avons des droits et nous avons besoin de mesures spéciales de protection », a indiqué dans son message le porte-parole des enfants, un handicapé visuel avant d’ajouter « nous sommes victimes de maladresses, de mauvais traitements, de maladies pourtant évitables qui nous ont naturellement ou accidentellement porté vers des situations difficiles de handicap ». Très préoccupés par leur protection, les enfants handicapés s’attachent aussi à leurs droits car disent-ils, « le regard de la société envers nous est rempli de discrimination, de violence, d’exclusion, d’abandon, de honte, de méchanceté etc.». Ainsi donc, ces derniers veulent changer ce regard de déshonneur et bénéficier d’une attention particulière au sujet de leur accès à l’éducation et à une formation de qualité, des prises en charge, des mesures de prévention au profit de la petite enfance et de la pleine participation aux décisions.

    La salle rouge du Palais des Congrès a été très massivement investie par les enfants handicapés ou non pour prendre part à cette fête annuelle déjà vieille de plus de deux décennies et qui apporte un plus dans leur vie difficile. Les autorités telles que le ministre de l’intérieur Benoit Dègla, son homologue en charge de la famille, des affaires sociales, de la solidarité nationale, des handicapés et des personnes du troisième âge, assistés de la Représentante résidente du Hcr, Angèle Dikongué Atangana et son homologue des Partenaires techniques et financiers Nardos T-Békélé ont pris une part aux cérémonies de lancement de la journée présidées par Benoit Dègla lui-même.

    Selon la ministre de la famille, l’objectif de cette commémoration est d’attirer l’attention des autorités sur leurs responsabilités pour soulager les peines des enfants.  Le thème cette année est : « Les droit des enfants handicapés : le devoir de protéger, de respecter, de promouvoir et de réaliser ». A en croire la ministre,  ce terme nous donne l’occasion de nous pencher sur la situation des enfants marginalisés et stigmatisés.

    Elle a mis un accent sur les actions qui ont été réalisées dans le cadre de promotion des enfants handicapés tant dans le domaine politique social et autre. Cependant, il faut signaler que les enfants sont encore dans une situation difficile. Par exemple, plus de 2115 million d’enfant travaillent dans le monde. Au Bénin 1 enfant sur 3 travaille dans les ménages, les marchés ou dans les carrières de concassage de granite. Ces pratiques qui interpellent les autorités compétentes ont conduit à l’institutionnalisation de la Journée du 16 juin ainsi que celle du 12 et du 20 juin.

    La ministre a remercié les partenaires au développement et autres pour les efforts déployés au quotidien en faveur des enfants en situation difficile au Bénin.   Pour Thomas Nardos Békélé, l’objectif de la journée vise entre autres, l’élimination du travail des enfants, car le travail met en péril l’avenir des enfants. Elle a rappelé qu’aujourd’hui, le cadre institutionnel existe et les ressources également. Sur ce, elle invite les uns et les autres à faire du droit des enfants une des priorités.

     

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    MIGAN S. BRUNO






    RIFONGA-Bénin

    17/04/2012 11:45



     

    Leadership et communication en politique:Une vingtaine de femmes leaders à l’école du RIFONGA-Bénin

     

    La section béninoise du Réseau pour l’intégration des femmes des ONG et associations africaines (RIFONGA-Bénin) a organisé les 11 et 12 avril derniers à Qualimax Hôtel, un atelier de formation à l’endroit des femmes politiques de la commune de Cotonou. Initiée avec l’appui financier de l’USAID, cette formation qui entre dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Women Leaders Making the Connections » (Femmes leaders ensemble avançons) vise à atteindre deux principaux objectifs.

    Il s’agit de renforcer les capacités des femmes politiques en leadership et communication, et de les outiller à accéder aux postes politiques en se faisant élire lors des élections locales, communales et municipales de 2013. Réunies autour des thèmes « Leadership et communication en politique » et « Stratégies préliminaires des femmes politiques pour des élections réussies », la vingtaine de femmes politiques de la commune sélectionnées pour cette session s’assignent la mission d’affûter leurs armes en vue de marquer de leur empreinte les élections de 2013, avec comme pari à gagner, le relèvement de leur nombre au niveau des maires.

    Il s’agira pour ces citoyennes, comme l’a souligné Marie-Odile Comlanvi du RIFONGA-Bénin, de « garantir leur élection tout en servant de modèle pour inciter d’autres femmes politiques à oser se présenter » et de réussir aux élections aux postes de décisions tout en relevant le nombre de femmes élues maires. Actuellement au Bénin en effet, une seule femme figure parmiest sur les 77 maires du pays. Une réalité peu reluisante pour la femme que compte changer le RIFONGA-Bénin à travers ce genre d’activité.

    Représentante du chef du 13ème arrondissement de Cotonou, Justine Gbagbonon perçoit pour sa part à travers la tenue de cet atelier « une chance » offerte à ces femmes politiques de mieux s’outiller pour affronter avec succès les prochaines joutes électorales et conjuguer au passé la portion incongrue qui est la leur au niveau des instances politiques de prise de décision.

    Il faut dire qu’à l’avant-garde de la lutte pour la participation effective des femmes au développement, le RIFONGA-Bénin a mis en œuvre dans toutes les villes à statut particulier du Bénin ce projet, « Women Leaders Making the Connections » qui vise à augmenter le nombre de femmes candidates aux élections communales, municipales et locales de 2013. Ceci, pour donner à la femme la place qui lui revient dans la politique afin qu’elle joue pleinement son rôle dans le processus de développement.

     

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    MIGAN S. BRUNO

     






    Elise Gbedo

    23/01/2012 21:17



     Crise UNAMAB- Ministre de la Justice:Les Magistrats donnent un ultimatum...
    Lundi 23 janvier 2012
     

    Crise UNAMAB- Ministre de la Justice:Les Magistrats donnent un ultimatum, Gbèdo refuse de s’excuser
    Les magistrats béninois ne décolèrent pas contre le ministre de la justice, de la Législation et des Droits de l’Homme, Me
    Marie-Elise Gbèdo. Ainsi, après leur Assemblée générale extraordinaire des vendredi 16 et lundi 21 décembre 2011, les membres de l’Uni­on nationale des magistrats du Bénin (Unamab) se sont une nouvelle fois donné rendez-vous dans les locaux du Tribunal de première instance de première classe de Cotonou.



    Ainsi, il s’est agit pour le bureau exécutif de l’Unamab de remobiliser la troupe pour évaluer le respect des engagements pris par le Chef de l’Etat au cours de leur rencontre le 16 décembre 2011 en vue de donner une nouvelle orientation à leurs actions. Faisant à l’occasion le point des acquis intervenus depuis lors, il ressort des propos du président de l’Unamab, Onésime Madodé et les siens que les attentes des magistrats n’ont pas été comblé plus d’un mois après leur audience avec le Chef de l’Etat et Président du Conseil de la Magistrature.
    Aussi, ont-ils décidé d’exiger de la part du Garde des sceaux, ministre de la Justice, de la Législation et des Droits de l’Homme, Marie-Elise Akuavi Gbèdo des excuses publiques pour ses accusations de corruption formulées à l’encontre des magistrats lors de la célébration, le 08 décembre 2011, de la Journée nationale de lutte contre la corruption.
    Pour les membres de l’Unamab en effet, ces propos jettent du discrédit sur leur corporation aussi bien aux yeux de l’opinion publique nationale qu’internationale. Aussi, menacent-ils d’entrer en grève en cas de non satisfaction de cette doléance dans les quarante huit heures.

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    MIGAN S. BRUNO






    Oeuvre des USA à Dangbo

    16/12/2011 15:22



    Lutte contre le Vih/Sida : les Usa construisent à Dangbo un pavillon d’hospitalisation du Vih/Sida

     

    Un pavillon d’hospitalisation et de traitement du Vih/Sida a été inauguré, dans la matinée hier, par l’ambassadeur des Etats Unis d’Amérique près le Bénin a l’hôpital auberge de l’amour rédempteur du Christ de Dangbo. Quatre (4) salles d’hospitalisation, deux (2) bureaux, une (1) réception, sept (7) salles d’eau, deux (2) magasins, un (1) long couloir et deux (2) terrasses. Ce sont-là les composantes du pavillon d’hospitalisation et de traitement du Vih/Sida inauguré hier à Dangbo par James Knight, ambassadeur des Etats Unis d’Amérique (Usa) près le Bénin. La cérémonie d’inauguration a eu lieu à l’hôpital «Auberge de l’amour rédempteur du Christ» de Dangbo en présence de Clément Houessou, préfet des départements de l’Ouémé et du Plateau ; de Clément Gnonlonfoun, maire de la commune de Dangbo et de ses administrés ; de Clément Ahissou, Directeur départemental de la santé (Dds) de l’Ouémé/Plateau ; de Léonie Dochamou, Secrétaire permanente de CARITAS-Bénin et de l’Honorable Saka Fikara. D’un coût global de deux cent cinquante cinq mille deux cent quarte vingt onze (255.291) dollars américain, soit plus de cent vingt sept millions (127.000.000) de francs Cfa, ce joyau entièrement financé par les Etats Unis vient renforcer la capacité de cet hôpital. A en croire la Secrétaire permanente de CARITAS-Bénin, les Etats-Unis sont habitués à faire des dons à «Auberge de l’amour rédempteur du Christ». Au nombre des dons déjà faits, on peut citer entre autres un module, des latrines et de cuisines. Selon James Knight, selon «le bilan de l’Onusida en 2010, le sida figure toujours parmi les principales causes de décès dans le monde, et la première cause en Afrique. Parmi les nouvelles infections, un virgule huit (1,8) millions ont eu lieu en Afrique subsaharienne». «Même si ce chiffre est en baisse dans la région depuis l’apparition de l’épidémie, poursuit-il, cette région demeure la plus sévèrement touchée, avec au total vingt deux virgule cinq (22,5) millions de personnes vivant avec le Vih/Sida, soit soixante sept virgule cinq pourcent (67,5%) du total mondial ». Face à cette situation difficile que traversent les parents malades et les enfants orphelins, sans oublier les réfugiés, l’hôpital s’est donné un nouvel objectif, à l’ambassade des Etats-Unis, grâce aux fonds d’assistance humanitaire, a fait dont de ce pavillon entièrement équipé qui permettra de combler ce vide et d’assurer une meilleure prise en charge des personnes malades du Vih/Sida. L’objectif visé par le financement de ce projet est d’assister le gouvernement de la république du Bénin dans ses efforts pour assurer la couverture sanitaire totale du pays à l’horizon 2015. Les différentes personnalités qui ont pris la parole à cette occasion ont tenu à remercier l’ambassadeur et ont prié monsieur l’ambassadeur de toujours faire beaucoup pour les populations béninoise. Le préfet a rassuré l’ambassadeur qu’un entretien et un bon usage seront fait du pavillon. Il faut noter qu’en plus de ce pavillon des lots de matériels médico-techniques ont été mis à la disposition du centre tels que 30 lits et matelas, 13 cabinets de rangement, des draps, des taies d’oreillers, des charrettes, des tables d’examen, des pyjamas et pantalons, des seringues et aiguilles , des kits d’opération, des éponges chirurgicales, des blousons et beaucoup d’autre cartons de mélange de consommables médicaux.

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    MIGAN S. BRUNO






    La sécurité maritime

    16/12/2011 15:19



    Séminaire régional sur la sécurité maritime dans le Golfe de Guinée : pour une guerre d’ensemble contre la piraterie en Afrique de l’ouest

     

     

    « Réaliser un état des lieux sur les organisations existantes et les moyens utilisés, et esquisser des solutions pour répondre aux défis immenses du développement maritime ». C’est l’objectif d’un séminaire régional sur la sécurité maritime dans le Golfe de Guinée qui réunit depuis hier à l’Hôtel Marina de Cotonou des autorités et acteurs maritimes ouest-africains et internationaux. La cérémonie de lancement dudit séminaire s’est tenue hier. Les côtes du Golfe de Guinée, plus précisément celles du Bénin, sont devenues depuis quelques mois le point de mire des actes de piraterie maritime. Une situation face à laquelle, le président béninois, Boni Yayi avait souhaité une action conjointe des pays de cet espace géographique et le soutien des pays membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies. C’est en réponse à cet appel que l’ambassade de France près le Bénin, organise depuis hier à Bénin Marina Hôtel, un séminaire régional de trois jours sur la sécurité maritime dans le Golfe de Guinée. Il s’agit d’une rencontre entre responsables politiques et militaires du Bénin, du Togo et du Ghana, des autorités françaises, des experts africains, internationaux et des acteurs économiques. Dans son discours d’ouverture lors de la cérémonie de lancement tenue hier, Isabelle Edet, première conseillère près de l’ambassade de France près le Bénin, représentant l’ambassadeur Jean-Paul Monchau, a fait remarquer que, le brigandage maritime est devenu une pratique récurrente dans le Golfe de Guinée en cette année 2011. Selon elle, il urge que les pays de la région se mettent ensemble pour conjuguer les efforts et les connaissances contre le phénomène. Elle est soutenue par Bruno Clément-Bollée, directeur de la coopération de sécurité et de défense au ministère français des affaires étrangères et européennes. « L’insécurité maritime fait peser une menace sur la croissance, le développement et la stabilité des pays riverains du Golfe de Guinée. Il faut une plus grande coopération entre les Etats et les organisations de la région et un renforcement par ces acteurs de leurs capacité », a-t-il renchéri. « C’est, a-t-il poursuivit, toute l’ambition de ce séminaire que de tenter de relever ce défi ». Pour François Abiola, ministre béninois de l’enseignement supérieur, représentant son collègue de la défense, la piraterie maritime est un fléau qui ne connaît pas de frontière. Il faudra alors une action concertée de grande envergure pour la combattre.

    Au programme de ce séminaire, des communications, tables rondes et débats. Entre autres thèmes à aborder la place de l’Organisation maritime internationale (Omi) dans la sécurité maritime ; menaces, enjeux, organisations et actions de lutte contre l’insécurité maritime : bilans au Bénin, Togo, Ghana ; principes de l’action en mer : l’exemple de la France ; principes et cadre d’action de la coopération régionale au sein de la Cedeao dans la lutte contre l’insécurité maritime et les perspectives institutionnelles et réglementaires de la lutte contre l’insécurité maritime.

    Le séminaire devra déboucher sur la mise en place du fonds de solidarité prioritaire dénommé « Appuis à la réforme du secteur de la sécurité maritime dans le golf de Guinée (Asecmar). C’est un apport financier sur une durée de trois ans de la France pour appuyer le Bénin, le Togo et le Ghana dans leur action contre la question du brigandage maritime. Son montant est de 800 mille Euro, soit environ 500 millions de Francs Cfa. Pour Bruno Clément-Bollée, ces trois jours d’échanges et de réflexions permettront de dresser un panorama des besoins des Etats concernés et d’esquisser les réponses à adopter dans le cadre du plan Asecmar.

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    MIGAN S. BRUNO






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