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Création tous azimuts d’institutions de microfinance au Bénin:Des députés engagés pour assainir le secteur
 

Le Réseau des parlementaires pour la microfinance et les institutions financières (Répamif) a tenu mercredi 31 octobre 2012 à l’Infosec de Cotonou, un atelier préparatoire à l’élaboration de son plan de travail annuel (Pta). Au cours des travaux, les participants ont souligné la nécessité de mener une lutte sans merci contre toutes les pratiques spéculatives et spoliatrices en cours dans le secteur de la microfinance.

Pour le coordonateur du Répamif, l’Honorable Gilbert Bagana, cet atelier permettra aux participants d’améliorer l’environnement réglementaire, légal et politique du secteur de la microfinance. Il vise également à offrir aux parlementaires, les outils essentiels à l’élaboration du Plan de travail annuel (Pta) du Répamif pour le compte de l’année 2013. De par sa finalité, cette assise a le mérite de faciliter l’élaboration et le vote des différents textes de lois nécessaires à l’amélioration de l’impact et à la professionnalisation du secteur de la microfinance. L’initiative a été saluée par l’Honorable Grégoire Laourou, qui a reconnu qu’un nouvel outil est désormais disponible auprès de la Commission des Finances et des Echanges, aux fins de contrôle de l’action gouvernementale dans ledit secteur. Il faut noter que l’atelier a réuni députés membres dudit réseau, membres de la conférence des présidents de l’Assemblée nationale, représentants des institutions financières, directeurs techniques du ministère des finances, cadres et assistants parlementaires.

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MIGAN S . BRUNO

                                                 

Le lundi 22 octobre n'a pas été une journée agréable pour les populations de Toui dans la commune de Ouèssè et pour cause 11 écoliers noyés et une paysanne. Le gouvernement a dépêché une délégation aux chevets des parents des victimes

Six corps retrouvés il reste 6 autres introuvable pour l'instant, 3 sacs de mais et 3 moto. Voilà le bilan qu'on peut faire du naufrage qui a eu lieu le lundi dernier à Toui. Les plongeurs sont à pied d'œuvre pour repêcher les corps disparus et dont les parents des victimes réclament avec les larmes aux yeux. Il faut rappeler que chaque année ce village frontalier avec le Nigéria perd certains de ses citoyens par noyade. Il faut traverser le fleuve Opkara et faire quelques kilomètres du côté du Nigéria avant de retrouver les béninois qui ont comme activité principale l'agriculture. Ces parents béninois voulant sortir les enfants de l'ignorance les inscrivent dans les écoles béninoises. Par conséquent, ces enfants doivent emprunter des pirogues. L'Etat béninois, pour appuyer l'effort des parents les a dotés d'une barque motorisée qui transporte les enfants chaque matin et chaque soir à la sortie des cours. Mais ce lundi après midi la barque a chaviré à cause d'un problème de moteur. Les survivants n'ont eu la vie sauve qu'en s'agrippant aux arbustes flottants dans le fleuve. L'autre cause probante serait la surcharge car plus de 100 personnes étaient dans la barque en plus de3 sacs de maïs et de motos. La descente de Eric N'DA et de Benoit DEGLA, représentant le gouvernement a permis aux populations sinistrées d'être consolée. La Promesse de deux barques motorisées a été faite ainsi que la construction d'un module de trois classes plus cantine scolaire. Une distribution de fourniture a été également faite pour soulager les parents.

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MIGAN S. BRUNO   

                                                 

Le lundi 22 octobre n'a pas été une journée agréable pour les populations de Toui dans la commune de Ouèssè et pour cause 11 écoliers noyés et une paysanne. Le gouvernement a dépêché une délégation aux chevets des parents des victimes

Six corps retrouvés il reste 6 autres introuvable pour l'instant, 3 sacs de mais et 3 moto. Voilà le bilan qu'on peut faire du naufrage qui a eu lieu le lundi dernier à Toui. Les plongeurs sont à pied d'œuvre pour repêcher les corps disparus et dont les parents des victimes réclament avec les larmes aux yeux. Il faut rappeler que chaque année ce village frontalier avec le Nigéria perd certains de ses citoyens par noyade. Il faut traverser le fleuve Opkara et faire quelques kilomètres du côté du Nigéria avant de retrouver les béninois qui ont comme activité principale l'agriculture. Ces parents béninois voulant sortir les enfants de l'ignorance les inscrivent dans les écoles béninoises. Par conséquent, ces enfants doivent emprunter des pirogues. L'Etat béninois, pour appuyer l'effort des parents les a dotés d'une barque motorisée qui transporte les enfants chaque matin et chaque soir à la sortie des cours. Mais ce lundi après midi la barque a chaviré à cause d'un problème de moteur. Les survivants n'ont eu la vie sauve qu'en s'agrippant aux arbustes flottants dans le fleuve. L'autre cause probante serait la surcharge car plus de 100 personnes étaient dans la barque en plus de3 sacs de maïs et de motos. La descente de Eric N'DA et de Benoit DEGLA, représentant le gouvernement a permis aux populations sinistrées d'être consolée. La Promesse de deux barques motorisées a été faite ainsi que la construction d'un module de trois classes plus cantine scolaire. Une distribution de fourniture a été également faite pour soulager les parents.

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MIGAN S. BRUNO   

De plus en plus nombreuses, face à un marché qui lui, se resserre de jour en jour, les prostituées à Cotonou - pour surmonter les effets du coût de la vie et de la crise financière mondiale- sont contraintes de pratiquer « la politique du prix écrasé ». Même ce réajustement ne suffit plus à améliorer leur existence. Il faut davantage soigner la « marchandise », la rendre plus attrayante par mille et un artifice de beauté. C'est cher de se rendre belle, mais les clients deviennent plus exigeants. Enquête sur une activité illégale en pleine expansion à Cotonou malgré la crise. Mais à quel prix !

Cheveux colorés, maquillée, un piercing au nez et au nombril. En mini jupe à la mode occidentale, Sarah attend impatiemment son « amant occasionnel » depuis deux heures d'horloge. Il est bientôt 23 heures sur le tronçon : Bourse du travail - Collège Notre Dame de Cotonou. Dans l'obscurité qui règne souvent sur ce tronçon, un véhicule s'immobilise. A bord, deux jeunes hommes qui se chuchotent quelque chose à l'oreille.

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MIGAN S. BRUNO

Formation dans le secteur des Petites et moyennes entreprises à Bohicon:Le ministère du commerce met 25 fabricants d’équipements à l’école de la perfection

Le Centre régional pour la promotion agricole (Cerpa) de Bohicon accueille depuis lundi un atelier de renforcement des capacités à l’endroit des fabricants d’équipements. Initié par le Ministère de l’industrie, du commerce, des petites et moyennes entreprises (Micpme) à travers de la direction de petites et moyennes entreprises, cet atelier regroupe 25 fabricants venus de tous les départements du Bénin.

Tous membres du Réseau des fabricants d’équipements et matériels industriels et agricoles du Bénin (Femia-Bénin), ils suivront cette formation du 27 au 31 août. A l’ouverture de la session, la directrice générale des Petites et moyennes entreprises (Pme) a situé le contexte de l’organisation de cette formation. A en croire les propos de Mme Affissatou Chanou Alao, l’initiative survient dans le cadre de la dynamisation des entreprises de fabrication d’équipements qui appelle à une maîtrise de la technologie. A cet effet, la direction générale des Pme vise à doter les membres du réseau d’outils performants pour atteindre la modernisation.

C’est dans cette même logique que le Conseiller technique du Micpme, Bruno Yaovi Anagonou s’est aussi inscrit pour partager l’objectif de l’atelier. Dans son discours d’ouverture, il a souligné la nécessité de cette formation qui permettra d’améliorer les connaissances de base des participants relatives au dessin industriel, à l’étude des jeux dans un assemblage, les connaissances sur les normes ISO et les techniques modernes de la gestion des entreprises.

Conscient donc de ce que le développement du Bénin ne pourra se faire sans valeur ajoutée, il a convié les participants à la discipline pour une meilleure assimilation des nouvelles notions qui leur seront inculquées. Mais avant le mot d’ouverture, le directeur départemental de l’industrie et du commerce, des petites et moyennes entreprises des départements du Zou et des Collines, Isidore Houénafon Agbogladja, le représentant du préfet, Nicaise Aïssi et le secrétaire général de la mairie de Bohicon, Joseph Josué Mèhou ont rassuré les organisateurs de leur soutien pour la réussite de l’initiative.

 Au terme de la session, les participants disposeront des connaissances techniques requises pouvant leur permettre d’accroître leurs productions afin de faire face à la concurrence et la construction des équipements et matériels performants pour les utilisateurs.

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MIGAN S. BRUNO