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Jean Paul AFFANA à la 19e session de la Commission des Nations Unies sur le Développement Durable (CDD)
15/06/2011 12:50
Le siège des Nations Unies a New York a accueilli la 19e session de la Commission des Nations Unies sur le Développement Durable, du 2 au 13 mai 2011. Plusieurs centaines de participants se sont rendus dans la ville afin d'apporter leurs contributions, soit en tant que membre de leur gouvernement, soit en tant que représentant de la société civile, soit encore comme expert de l'ONU. Parmi tous ces participants, les jeunes aussi ont fait entendre leur voix à travers le Groupe Majeur des Enfants et des Jeunes qui est officiellement reconnu et accrédite par l'ONU pour prendre part aux négociations aux côtés des autres groupes comme celui des Femmes et Genre, Syndicats et Entreprises, Peuples Indigènes, etc.
Cinq groupes thématiques ont fait le contenu de la 19e session, notamment:
(1) gestion des déchets auquel Jean Paul Brice AFFANA AFFANA, représentant le Cameroun a pris part,
(2) consommation and production durables,
(3) mines,
(4) produits chimiques
(5) transports. Chaque groupe thématique se réunissait en journée afin de discuter des principaux points des textes de négociations et parfois les discussions allaient jusqu'a l'aube le lendemain. Malheureusement pour tous les participants, et même Ban-Ki Moon le Secrétaire General de l'ONU présent le 13 mai pour la clôture de la rencontre, ont été tous déçus par les résultats car aucun texte final et aucun engagement n'a été adopté à la fin. Les discussions qui sont allées jusqu'au 14 mai en matinée n'ont pas permis de prendre des décisions finales avant le prochain Sommet de Rio connu sous l'appellation ''Rio+20'' qui se tiendra au Brésil en 2012.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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Des Ong en conclave à Cotonou pour un environnement sain
08/06/2011 13:00
Le droit de l’environnement et le développement durable en Afrique au cœur des échanges
Les Organisations non gouvernementales (Ong) ouvrant pour un environnement sain sont en conclave depuis hier au Chant d’Oiseau à Cotonou à l’initiation de l’Ong "Education-Santé-Environnement (Ese). Pendant quatre jours, les participants à cette rencontre d’échanges et de renforcement des capacités, auront droit à plusieurs communications portant sur "Les définitions, notions, concepts, caractéristiques et enjeux du droit de l’environnement et du développement durable ; la contribution du droit à la protection de l’environnement ; le droit de l’environnement, ses objectifs et principes fondateurs ; le contentieux associatif pour la protection de l’environnement ; les instruments juridiques relatif à la gestion de l’eau, à la pollution de l’air, à la gestion de la de la diversité biologique ; les principes opérationnels du droit de l’environnement : principes de prévention ; principe de l’information et de la participation des populations à la prise de décision environnementale ; principe de précaution ; principe pollueur-payeur". Pour la présidente de l’Ong Ese, Marie Amoussou épouse Lègba, l’objectif de ces assises est de contribuer à l’établissement d’une justice environnementale au niveau local, national et international et à l’animation du Réseau africain pour les droits de l’environnement. "Cet atelier est pour nous une opportunité à saisir pour améliorer nos connaissances en matière de droit de l’environnement et du développement durable", a-t-elle déclaré.
Reporter MIGAN S. BRUNO
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Sommet des trois bassins: le Congo protège le commerce du bois et les forêts d’Afrique centrale
03/06/2011 16:08
Afin de protéger ses forêts et combattre le commerce illégal du bois, le Congo met en place un système de vérification et de traçabilité du bois destiné à l’exportation. Le pays vient ainsi de signer, le 2 septembre à Brazzaville, un contrat de fourniture de services informatiques avec la société générale de surveillance (SGS) afin d’accroître le contrôle de la production du secteur forestier.
En parallèle, l’Etat s’investit au niveau régional dans la préservation de la forêt transfrontalière du Mayombe, un ecosystème d’importance internationale.
Le Congo renforce son système de traçabilité du bois
Ce contrat s'inscrit dans le cadre de l’accord de partenariat volontaire signé entre le Congo et l’Union Européenne le 9 mai dernier à Brazzaville. Il traduit l’engagement du Congo et de l’Union Européenne de fournir une réponse adaptée au problème de l’exploitation illégale des forêts.
L’Union Européenne va apporter un soutien financier de 1 milliard 330 millions de francs CFA à ce projet, l’Etat congolais contribuant, quant à lui, à hauteur d’environ 700 millions de francs CFA.
La SGS est chargée d’élaborer un système informatique qui permettra d’assurer la traçabilité du bois et contrôlera son déploiement sur le terrain. Au terme d’une période de 3 ans, la gestion du projet sera transmis totalement au ministère de l’économie.
Le Congo s’était déjà illustré dans la bonne gouvernance de ces ressources forestières en collaborant avec la Fondation Chirac et l’organisation internationale The Forest Trust à mettre en place une certification FCS (Forest Stewardship Council) pour un commerce de bois plus responsable. Fort de cette expérience, le Congo devient leader dans la préservation des ressources naturelles de la région.
Création de l’aire frontalière de conservation de la forêt du Mayombe: une initiative du Congo brazzaville en association avec l’Angola et la République Démocratique du Congo
L’Angola, la République Démocratique du Congo et le Congo Brazzaville ont décidé le 24 juin dernier, lors d’une réunion regroupant les ministres en charge de l’économie forestière de s’investir pour maintenir et restaurer l’intégrité de l’écosystème du Mayombe. L’objectif est d’assurer la conservation de la biodiversité, la stabilité régionale et l’amélioration des moyens d’existence des populations du Mayombe.
Ce projet bénéficie de l’appui financier du Royaume de Norvège à hauteur de 390 millions de francs CFA (environ 700 000 dollars US). 

Il bénéficie également du soutien d’autres partenaires tels le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Avec une superficie d’environ 200.000 hectares, la forêt du Mayombe (située au sud de la République du Congo), est l’une des forêts les plus riches d’Afrique. Cette forêt abrite en effet une importante biodiversité à forte concentration de primates, répartie sur trois aires protégées dont la réserve du Luki en RDC, la réserve de Dimonika en République du Congo et la zone du Cacongo en Angola.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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Lancement de l'Année Internationale des Forêts au Bénin
03/06/2011 03:38
Ce jour 26 Mai 2011, le Ministre de l'Environnement et de la Protection de la Nature a procédé au lancement officiel de l'Année Internationale des Forêts dans la Forêt Classée de Pahou au Sud du Bénin.
Cette cérémonie a été marquée par la présence de plusieurs autorités et structures nationales et locales à savoir le ministère de l'agriculture, la mairie de Ouidah, la police nationale, la direction des forêts, les partenaires techniques et fianciers ainsi que les populations riveraines au massif forestier.
Le lancement a été marqué par une série de discours, de sketchs, une mise en terre symbolique de plants, une visite de stands, une visite de site, une randomnée pédestre, des lâchées d'animaux.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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le Biogaz et les Bidonvilles
04/05/2011 13:05
Le Biogaz
Ce sont les matières organiques qui libèrent le biogaz lors de leur décomposition selon un processus de fermentation (méthanisation). On l’appelle aussi « gaz naturel renouvelable » ou encore “gaz de marais”, par opposition au gaz d’origine fossile.
Mélange de méthane et de gaz carbonique additionné de quelques autres composants, le biogaz est un gaz combustible. Il sert à la production de chaleur, d’électricité ou de biocarburant.
Le biogaz peut être directement capté dans les centres d’enfouissement des déchets ou produit dans des unités de méthanisation.
Sous-produits de l’industrie agro-alimentaire, boues des stations d’épurations, lisiers, animaux ou déchets agricoles peuvent être méthanisés dans des unités industrielles.
Seul se système d'énergie renouvelable ( BIOGAZ) peu sauvé les populations dans nos bindonvilles dans le domaines
de l'électrictés car ils sont toujours privées de sa à tous moments; par exemple le Cas d'un bidonville appelé (Akpakpa Dodomè ) à cotonou qui contient une multitude de personnes qui vont déféqué dans
de latrines construirent sur pilloties ; en payant une somme de
50F Cfa ce qui parait chére pour d'autres ,raison pour làquel
pluisieurs d'entre eux choisissent le bord de l'ambouchure
du Lac et la mer pour faire leurs besoins.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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