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« Pour contribuer au changement positif de son environnement, il faut passer par le militantisme qui est un moyen très utile pour la société ». Ainsi s’était exprimé mercredi le directeur exécutif de Amnesty international Bénin (Aib), Clément Capo-Chichi. Autour de lui et ses collaborateurs, une centaine d’élèves. Ils étaient venus des collèges et lycées de Cotonou et de Porto-Novo.

Au nombre des clubs d’établissements présents dans les locaux d’Amnesty international Bénin, il faut retenir, les collèges de Sègbèya, des Pylônes, de Fiyégnon, d’Agbokou, de Djassin et de Toffa 1er. L’objectif était d’amener les élèves filles comme garçons à mieux comprendre le militantisme se reposant sur le droits humains et l’assistance aux personnes en danger ou subissant une injustice. C’est ainsi que, dans son propos liminaire, le directeur exécutif, Clément Capo-Chichi a rappelé à la jeunesse le droit dont elle dispose pour contribuer au changement de leur environnement. Selon lui, ils doivent apprendre à défendre leurs droits et connaître leurs devoirs vis-à-vis de la nation et de leurs proches.

A la suite d’une déclamation poétique, les jeunes représentants d’Aib dans les collèges ont échangé sur Amnesty international Bénin. A cette occasion, ils ont été entretenus sur le thème « Des clubs au réseau jeune : le parcours du jeune militant modèle ». A la suite des échanges, les différents clubs ont procédé à la présentation de leurs activités suivie d’une présentation dénommée « Echos des clubs scolaires ». Après avoir posé leur écriture sur un mur de signature, les clubs ont bénéficié d’une visite guidée dans les bureaux d’Amnesty international Bénin.

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MIGAN S. BRUNO

Les rideaux sont tombés depuis vendredi sur le dialogue inter-centrafricain regroupant la rébellion du Séléka, le pouvoir public et l’opposition démocratique, ainsi que la société civile. Il s’est tenu du 9 au 11 janvier 2013, à Libreville au Gabon. Cependant, l’issue des négociations que l’on croyait impossible, s’est faite dans une parfaite confraternité et sur mention de satisfaction. La population centrafricaine exprime son soulagement.

La crise centrafricaine a trouvé une issue favorable. Ceci grâce à la magnanimité et la solidarité des chefs d’Etat de la sous région de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC

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MIGAN .S BRUNO

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On apprend que le grand marché de Lomé au Togo, a connu dans la nuit d’hier le plus grand incendie de son histoire. Aucune perte en vie humaine n’a été dénombrée mais des dégâts sans précédent annoncés.

Arrivés sur les lieux vers 1h du matin, les sapeurs pompiers sont restés impuissants face à la vigueur des flammes car ne disposant pas de tuyaux assez puissants et peu d’eaux pour venir à bout des feux. Annonce un site web local. Finalement pour maîtriser le feu, il a fallu attendre l’intervention de sapeurs pompiers, tenez-vous bien, venus du Ghana voisin. Pour le moment aucun indice sur les causes de l’incendie. L’incendie a été déclenchée au dernier étage de l’immeuble.

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MIGAN S. BRUNO