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       LE JOURNAL  DU PEUPLE
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LE JOURNAL DU PEUPLE

VIP-Blog de migan
  • 24 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 07/11/2010 12:36
    Modifié : 17/10/2014 11:05

    Garçon (38 ans)
    Origine : cotonou BENIN
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    1ère édition du Net 2011

    01/10/2011 11:34



    1ère édition de la Semaine de l’Internet – Bénin 2011: Forces et faiblesses de cet outil de développement en examen


    Le ministère de la communication et des technologies de l’information et de la communication organise depuis le 23 septembre dernier et ce jusqu’au 27 septembre 2011 la 1ère édition de la Semaine de l’Internet – Bénin 2011. La cérémonie de lancement a eu lieu le vendredi 23 septembre 2011 au Palais des congrès sous la présidence du ministre de la communication et des technologies de l’information et de la communication, M. Max Barthélemy Ahouèkè... La Semaine de l’Internet, à en croire les initiateurs, se veut être un creuset de concertation et d’échanges entre acteurs, partenaires et gouvernement aux fins de partager une vision commune sur les grandes orientations du secteur en matière de gouvernance de l’Internet. Ces échanges qui visent surtout les actions à développer en vue de la survie de l’Internet au Bénin, se feront autour du thème « la sécurité et la gouvernance de l’Internet ». Ce sera aussi une opportunité pour le gouvernement d’exposer sa vision sur les questions de gouvernance de l’Internet et de cyber sécurité.
    « Le mot Internet est composé du préfixe Inter qui indique un lien entre deux éléments et le mot Net qui est traduit de l’anglais pour ’’réseau’’. Internet est alors un lien entre deux ou plusieurs réseaux informatiques, ’’un réseau des réseaux’’ », a expliqué Mme Nelly Kwende Mensah, directrice générale des technologies de l’information et de la communication qui a fait la genèse de l’Internet. Selon elle, c’est le gouvernement américain qui, en finançant dans les années 70 les recherches, a aboutit à la découverte de l’Internet. Mais il a fallu que des applications comme la messagerie instantanée et le world wide web (www) soient découvertes pour permettre la popularisation de l’Internet dans les années 90. La directrice générale des technologies de la communication et de l’information a montré comment cet outil a connu une croissance depuis sa création avec plus de 200.000.000 ordinateurs connectés aujourd’hui contre seulement 1000 en 1984. Mme Nelly Kwende Mensah a mentionné le rôle joué notamment par le secteur privé dans le développement de l’Internet depuis qu’il a pris la relève du Gouvernement américain. « Nous avons les réseaux sociaux qui se développent de manière rapide et qui influencent notre manière de communiquer et même d’agir », a-t-elle insisté. C’est dire que tout comme l’électricité et autres, l’Internet est devenu un facteur de production incontournable. « Tous les corps de métiers l’utilisent pour améliorer leur rendement. Il n’y a qu’à regarder des secteurs névralgiques comme l’éducation, la santé et la banque, qui ne savent plus faire autrement qu’avec l’Internet », a souligné la directrice générale des technologies de l’information et de la communication. Mme Nelly Kwende Mensah qui n’a pas manqué de rappeler qu’à travers son Document de politique et de stratégie du secteur des Télécommunications des TIC et de la Poste, l’Etat béninois s’évertue à faire du Bénin le quartier numérique de l’Afrique. Une vision essentiellement basée sur et l’e-gouvernement et l’e-business.
    « Je n’ignore pas que, comme tout instrument relativement récent et très utile dont l’usage est destiné à un large public, son maniement peut s’avérer parfois néfaste », a reconnu le ministre Max Barthélemy Ahouèkè qui a, cependant vanté les mérites de l’Internet lorsqu’il est bien utilisé. Le ministre de la communication et des technologies de l’information et de la communication s’est aussi prononcé sur les actions à proposer dans le cadre de cette semaine dont le projet de « meilleures pratiques » de l’utilisation de l’Internet par les usagers. « Cette initiative d’amélioration de l’image du Bénin sur Internet peut permettre de sensibiliser tout internaute sur la possibilité de communication universelle que l’Internet offre désormais, et qui lui confère en tant qu’internaute, non seulement des droit, mais aussi des devoirs à l’égard de la communauté humaine tout entière », a indiqué Max Barthélemy Ahouèkè qui a exhorté notamment les internautes à œuvrer positivement pour le développement judicieux de l’Internet au profit de tous.

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    MIGAN S. BRUNO





    L'équipe Espagnole, deuxième du classement FIFA des meilleurs èquipes de tous les temps

    08/06/2011 13:26



    Il s’est ouvert hier au palais des Congrès de Cotonou, un séminaire régional intitulé "Business meeting du Bénin sur le financement du Plan d’investissement agricole (Pia).




    Pendant deux jours, les participants à cette rencontre régionale prendront des décisions susceptibles d’accroître sensiblement les investissements agricoles et d’améliorer les performances de l’agriculture béninoise. Pour le représentant du ministre de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche, Idrissou Yacoubou-Touré, les assises de Cotonou s’inscrivent dans un processus de dialogue permanent entre les acteurs du secteur agricole. Il souligne ensuite que le Plan stratégique de relance du secteur agricole, le Plan National Investissements Agricoles et le Plan d’investissements agricoles ont largement tenu compte des contraintes les plus marquantes de l’état des lieux du secteur agricole au Bénin à savoir : la non maîtrise de l’eau, la faiblesse de la mécanisation agricole, l’absence d’un financement adapté aux caractéristiques de l’activité agricole, l’enclavement des zones de production dû à l’impraticabilité de nombreuses pistes surtout pendant la saison pluvieuse, la faiblesse du partenariat entre le secteur public et privé. A en croire le représentant des acteurs non étatiques du secteur agricole, Léopold Lokosso, ce business meeting met en relief deux enjeux majeurs. Il s’agit de l’engagement ferme des différentes catégories d’acteurs et notamment des partenaires techniques et financiers pour la mobilisation des ressources nécessaires au financement du plan d’investissement agricole béninois et, la mise en œuvre des stratégies visant la modernisation et la professionnalisation effective des exploitations agricoles de type familiales. Le représentant de la commission de la Cedeao a honoré de sa présence la cérémonie d’ouverture des travaux.

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    MIGAN S. BRUNO





    Remous dans le secteur des télécoms nigériens suite à la cession de l’opérateur historique à une société libyenne

    03/06/2011 16:24



    Des pourparlers vont s’ouvrir « bientôt » entre le gouvernement nigérien et la société libyenne, Lap Green Network, adjucataire en janvier dernier de la Société nigérienne de télécommunications (SONITEL) et sa filiale GSM, Sahel Com, une décision qui suscite de vives levées de boucliers dans les milieux nigériens, a appris APA auprès de sources concordantes à Niamey.

    Lap Green Network, une compagnie dit-on contrôlée par la famille de Mouammar Kadhafi et présente en Côte d’ivoire et au Rwanda, a signé en janvier dernier un accord de rachat de la SONITEL et Sahel Com, en s’engageant à investir 31 milliards FCFA avec 51% des parts dans ces sociétés pour une licence de dix ans.

    La reprise, qui devait être effective depuis mars dernier, est toujours retardée en raison de la crise qui secoue la Libye, a affirmé une source proche du dossier, précisant que les discussions qui ont connu une « période de latence» devraient reprendre « très bientôt ».

    Officiellement, le nouveau gouvernement par la voix de son ministre de la Communication, Salifou Bouché, a affirmé avoir donné des « directives » pour une application effective de l’accord signé en janvier dernier.

    Cette annonce suscite aujourd’hui de grandes controverses dans les milieux syndicaux des télécoms où des voix s’élèvent pour dénoncer une « aliénation de la souveraineté nationale » au profit du grand voisin Libyen.

    « La SONITEL gère tout ce qui est communication internationale et même officielle, comment peut-on donner cette entreprise aussi sensible à un pays étranger, du reste assez pointé du doigt dans plusieurs crises » s’est indigné, sous anonymat une source syndicale contactée par APA.

    Dans sa stratégie de privatisation du secteur, le gouvernement nigérien avait retenu au moyen d’un appel d’offre international, en décembre 2001, le Consortium sino-libyen, ZTE/Laaico, comme partenaire stratégique de la SONITEL.

    Par ailleurs, a-t-on renseigné, une ordonnance datée de fin octobre 1999, sur la réglementation des télécommunications, accordait un monopole transitoire à l’opérateur historique qu’est SONITEL.

    La société Sahel Com, qui naîtra de cette privatisation, compte aujourd’hui prés de 300.000 abonnés à la téléphonie mobile et est présente dans toutes les régions du pays.

    Début 2009, le gouvernement nigérien décidait de reprendre la SONITEL et Sahel Com, le ministre de la Communication de l’époque, Mohamed Ben Omar, affirmant que la privatisation de cette société née des cendres de l’Office des postes et télécommunications (OPT), a été « un échec ».

    L’officiel fait allusion aux diverses difficultés qui s’amoncellent autour de l’entreprise, qui cumulait plus de 40 milliards FCFA (plus de 78 millions de dollars).

    Niamey a décidé ainsi de restituer 100 pour cent du capital de SONITEL à l’Etat nigérien, assorti d’un nouveau Conseil d’administration, ce qui a été aussitôt fait car le gouvernement avait désigné un nouveau directeur à la SONITEL tout en réorganisant l’organigramme de la société, dont les agents, a-t-on appris, auraient consenti une diminution salariale de l’ordre de 10 % pour faire face à la nouvelle situation.

    Dans la foulée, les autorités nigériennes ont réduit à 7 ans et 10 mois, pour
    « non respect » du cahier des charges, la durée du contrat les liant à la société sino-libyenne.

    Une bataille judiciaire s’engage alors entre Niamey et les compagnies chinoises ZTE et libyenne LAAICO, à propos du retrait de la licence. Le procès qui devait se tenir devant une juridiction internationale a finalement trouvé
    « un traitement à l’amiable », selon une source proche du dossier.

    Fin 2010, des pourparlers sont relancés entre la junte au pouvoir et des officiels libyens, avec même la visite à Niamey de Al Baghdadi Ali Al Mahmoudi, le premier ministre libyen. A l’occasion, un Fonds commun entre le Niger et la Libye a été crée en août 2010 et doté de 100 millions FCFA.

    La reprise de la SONITEL et Sahel Com, a indiqué une source ayant pris part aux discussions, serait financée à travers « le Fonds commun » avancent plusieurs sources officielles.

    « Nous rejetons cet accord car le gouvernement redonne la SONITEL et Sahel Com aux mêmes dirigeants qui ont échoué à relancer ces compagnies » affirmait à l’époque, Amoumoune Adam, le secrétaire général du SYNTRASSO, l’un des syndicats des télécommunications au Niger.

     

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    MIGAN S. BRUNO






    L’Union africaine des télécommunications se dote d’un budget de 1,3 million de dollars pour l’année à venir

    03/06/2011 16:21



    Le budget de fonctionnement de l’Union Africaine des Télécommunications (UAT) pour l’année 201-2012 voté au terme de sa 12ème session tenue du 26 au 27 mai à Brazzaville s’élève à 1,3 million de dollars.

     

    « Ce budget va permettre à cette institution continentale d’essayer de trouver les solutions les plus adaptées au défi du développement qui se posent au début de ce 3ème millénaire à notre Union, s’agissant de la modernisation des infrastructures des télécommunications », a indiqué Thiérry Moungala, ministre congolais des postes et télécommunications, assurant la présidence l’UAT.

     

    Il a, à cet effet, exhorté les délégués à « conserver l’idéal qui pousse les Africains à réaliser les exploits nécessaires au décollage économique, technique et au renforcement des capacités multidimensionnelles de l’Union sur le continent ».

     

    « Il n’y a que les africains pour résoudre leurs problèmes, nous considérons qu’après un moment de léthargie avec ce budget, l’UAT va aujourd’hui reprendre son essor et son élan » a estimé Moungala.

     

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    La CEDEAO sensibilise les journalistes sur la libre circulation des personnes et des biens

    30/05/2011 18:14



    N’Faly SANOH, Directeur de la libre circulation et du tourisme au niveau de la CEDEAO.N’Faly SANOH, Directeur de la libre circulation et du tourisme au niveau de la CEDEAO.
    Mai 27, 2011

    Sont concernés par cette rencontre qui se tient à Cotonou, des journalistes du Bénin, du Togo, du Ghana et du Nigéria. Elle vise à renforcer les capacités des médias d’Etats et privés sur les questions liées à la libre circulation des personnes et des biens dans l’espace CEDEAO. Plus de détails avec N’Faly SANOH, Directeur de la libre circulation et du tourisme au niveau de la CEDEAO.

     

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    MIGAN S. BRUNO






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