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Chirurgie dentaire Bénin
17/04/2012 11:39
Dans la matinée du jeudi 12 avril 2012 a eu lieu dans la salle « Evasion » du Bénin Marina Hôtel de Cotonou la cérémonie d’ouverture des 13e Journées odontologiques Béninoises. Les dites journées ont pour thème « Odontologie d’aujourd’hui : défis et opportunités » et se déroulent sur trois jours. Il s’agit d’un creuset d’échanges et de formation continue entre les professionnels de la santé bucco-dentaire venant de divers horizons.
Dans le souci d’améliorer la santé bucco-dentaire des patients à travers les nouvelles technologies, l’Association des Chirurgiens Dentistes du Bénin (ACDB) organise un congrès de trois jours auquel participent plusieurs praticiens. Pour le président du comité d’organisation de ces Journées, Dr Marc-Aurèle CATRAYE, ces dernières années, les progrès scientifiques et technologiques évoluent à un rythme effréné, offrant aux praticiens de belles opportunités pour la prise en charge adéquate de leurs patients.
Paradoxalement, des défis de plus en plus grands s’imposent à eux face à des patients de plus en plus exigeants et informés des possibilités nouvelles de diagnostics et de traitement. La seule alternative qui s’offre aux praticiens alors est de s’arrêter régulièrement pour faire le point par la formation continue afin de répondre aux attentes de leurs patients.
« Le thème général « Odontologie d’Aujourd’hui : Défis et Opportunités» qui sera abordé à travers les conférences, communications, expositions et ateliers divers, permettra aux professionnels de la santé bucco-dentaire que nous sommes d’enrichir et de parfaire nos connaissances afin d’améliorer la qualité des soins que nous serons amenés à prodiguer à nos patients », a affirmé la présidente de la commission scientifique, Dr Paulette AGBTON-MIGAN. Car pour elle, « une dent malade menace tout l’organisme ».
Le représentant du président de la Fédération Dentaire Internationale, Dr Emile CHINA après avoir fait l’historique de la FDI a souligné qu’elle est l’une des plus anciennes organisations internationales de professionnels de santé qui existent au monde. La FDI fédère plus de 200 associations dentaires nationales et groupes spécialisés répartis dans environ 150 pays ; ce qui représente plus de 1million de chirurgiens dentistes à travers le monde. Dans sa vision de conduire le monde à une santé bucco-dentaire optimale, la FDI développe une politique sanitaire et des programmes de formation continue.
Avant d’ouvrir officiellement la cérémonie, la ministre de la santé, professeur Dorothée A. K. Gazard pour sa part, souligné que le thème de ces journées témoigne du souci des chirurgiens-dentistes de se remettre continuellement en question afin de s’adapter aux nouvelles avancées technologiques pour l’amélioration de la santé bucco-dentaire dans les différents pays.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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Coopération Bénin France
17/04/2012 11:27
L’ambassadeur de France au Bénin, Jean Paul Monchau et le Chef d’Etat-major des forces armées du Bénin, Soumanou Oké ont procédé, en présence de plusieurs autres personnalités, à la remise officielle de brevets à cent parachutistes béninois. C’était le vendredi 13 avril dernier à la base aérienne de Cana.
La coopération militaire entre le Bénin et la France se poursuit sous de bons auspices. C’est ce que révèle cette cérémonie qui consacre l’élargissement de la famille des parachutistes béninois. En effet, à la suite de trois jours de formation pratique marquée par 6 sauts à 400 mètres d’altitude pour chacun des postulants sous la supervision de vingt (20) instructeurs du Détachement d’instruction opérationnelle (DIO) des forces françaises basées au Sénégal, précédé d’un mois de cours théoriques, les bénéficiaires de cette formation sont désormais aguerris pour faire valoir leurs acquis au profit d’une armée au service du développement du Bénin.
Dans ses propos à l’occasion, le commandant du premier bataillon parachutiste (BCP), François Amoussou s’est félicité du bilan de cette session de formation avant de mentionner que « c’est la première fois qu’il y a autant de parachutistes du BCP qui reçoivent à la fois leur brevet de fin de formation ».
Pour sa part, le Chef d’Etat-major général des FAB, le général de brigade Soumanou Oké a adressé ses félicitations aux éléments français du Sénégal venus spécialement partager leur savoir-faire avec leurs frères d’armes du Bénin. Après avoir félicité ses éléments pour avoir franchi avoir brio cette étape qui leur ouvre de nouvelles perspectives, il les a conviés à mettre à profit cette formation pour apporter leur contribution au processus de professionnalisation des forces armées du Bénin.
Principal artisan de cette session, l’ambassadeur de France au Bénin, Jean Paul Monchau a inscrit le soutien de la France à cette initiative dans le cadre de « sa riche et ancienne » coopération militaire avec le Bénin. Ainsi, selon les explications de l’ambassadeur Monchau, l’aide militaire de la France vise « à préparer les pays africains dont le Bénin, à assurer leur sécurité et leur défense ».
Notons qu’à l’issue de cette cérémonie qui a permis au public de curieux et aux nombreux invités présents d’admirer le savoir-faire des nouveaux parachutistes béninois, les instructeurs français ont eu droit, de la part des Forces armées béninoises, à des présents en guise de gratitude pour leur remarquable contribution au renforcement des capacités des forces armées béninoises.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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géguerpissement à Ste Rita
13/04/2012 16:24
» J’ai ma maison à Cotonou. Ne cherchez pas à savoir comment j’ai pu acquérir ma parcelle, peu importe là où elle se situe « . Tels sont les cris de détresse de l’une des victimes de l’opération de déguerpissement qui s’est déroulée hier à Ste Rita.Surprise, amertume et désolation générale des familles toutes entières jetées aux dehors et obligées de passer la nuit à la belle étoile.
Des maisons, ateliers et autres lieux de cultes n’ont pu résister devant la fureur du Caterpillar » On était ici ce matin quand il y a eu un Caterpillar avec un Huissier de justice. Ils nous ont dit qu’ils vont nous déguerpir. Nous lui avons dit qu’on n’a pas reçu de notification. Nous étions au tribunal le mardi dernier et le juge nous a dit de repasser le 12 juin prochain. Nous étions en train de faire la messe ce matin quand ils sont arrivés « , a dit Esaïe Falola, chargé de la paroisse « Paix du Christ de Ste Rita ». Des allégations que Marcellin Zossoungbo, l’huissier de justice ayant mis en exécution la décision balaie du revers de la main et se fait un peu plus clair. Pour lui, un arrêt a été rendu en 1994. Cet arrêt, selon lui, a été rectifié par la suite par l’arrêt n°46-2001 du 6 juillet 2001 qui a reconnu définitivement le droit de propriété de la famille Sossouhoun. » Et pendant que l’affaire était pendante devant les tribunaux, il s’est trouvé des individus pour vendre certaines parcelles d’origine litigieuses achetées par ceux qui l’occupent aujourd’hui. Lorsque cet arrêt a été rendu en 2001, les occupants ont conclu avec le juge des référés pour obtenir le sursis à l’exécution de l’arrêt. Ils ont été déboutés par ordonnance n°45-06 du 11 juillet 2006. Toutes ces décisions ont été signifiées à tous ceux qui occupent aujourd’hui « , a-t-il indiqué. Cette énième opération de déguerpissement dans la ville de Cotonou est encore un avertissement aux acquéreurs de parcelles qui se doivent d’éviter de se jeter dans la gueule de la justice après avoir fait des investissements énormes qui finiront par s’évaporer en une fraction de seconde.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
Commentaire de benin (03/01/2013 15:46) :
l'operation d'expropriation apparement est monnaie courante en afrique;
meme au cameroun il est assez courant que ça se fasse mais on fait des
efforts pour indemniser les habitants des lieux meme si très souvent c'est
une mafia savament bien organisée ou ceux qui sont chargés des operations
d'indemnisation se font plein les choses resultat de cause ce sont les
miettes qui parviennent à ceux qui doivent être indemnisés.neanmoins
lorqu'il arrive qu'une tierce personne est detentrice d'un titre foncier il
est indemnisé à hauteur de son dû mais ils ne sont pas nombreux les
detenteurs de titre foncier,en Afrique on se debrouille pour trouver un
habitat, on ne fait pas très souvent attention aux lois et regles en
vigueur or cela nous rattrape très souvent sans compter avec la malignité
des autorités.....
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Projet d?appui à la filière Cotton
10/04/2012 08:37
Lancement du Projet d’appui à la filière coton-textile Bénin (PAFICOT) |
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Le ministre de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche, Roger DOVONOU, vient de procéder au lancement du Projet d’Appui à la Filière coton textile (PAFICOT) au Bénin. Financer par la Banque Africaine de Développement le projet entend améliorer la sécurité et l’accroissement des revenus des acteurs de la filière coton. Le projet d’appui à la filière coton-textile va améliorer la production au Bénin. |
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Le Projet d’appui à la filière coton-textile (PAFICOT) est une initiative multinationale exécutée dans les quatre pays : le Bénin, le Burkina Faso, le Mali et le Tchad.
Financé par la Banque africaine de développement (Bad) pour un coût de 8 milliards de FCFA, pour une durée de 5 ans, le PAFICOT (Projet d’Appui à la Filière coton textile) contribuera à réduire la pauvreté en milieu rural. De façon précise il s’agit de sécuriser et accroître les revenus des acteurs de la filière par l’amélioration de la productivité du coton de manière durable. Plusieurs réalisations sont attendues : la création de champs écoles paysans, la production et la mise à disposition des producteurs de semences améliorées de coton, la promotion de bonnes pratiques agricoles par les producteurs, la réhabilitation des pistes rurales et la formation des exploitants.
Pour le ministre Roger DOVONOU, le PAFICOT est un joyau, parce qu’il vient renforcer les actions déjà entamées dans le cadre de l’assainissement et la relance de la filière. Alphonse Gombé, représentant de la Banque africaine de développement, lui dira que le coton ira mieux, à condition que la filière puisse jouer un rôle de levier dans l’économie nationale. Et c’est là la mission du PAFICOT.
Il ajoutera que le PAFICOT contribuera sans nul doute au renforcement de la coopération par la mise en place d’un cadre scientifique, au renforcement des capacités de l’association régionale des producteurs du coton africain en matière de négociation. Au Bénin, les actions concerneront l’Alibori, l’Atacora, le Borgou, les Collines, le Couffo (Aplahoué), la Donga, le Plateau (Kétou) et le Zou (Djidja).
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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cotton
10/04/2012 08:33
Bénin : Préserver les acquis de la filière coton
L’heure du renouveau pour la production du coton au Bénin semble avoir sonné : 174 000 tonnes de coton ont été produites en 2011 – 2012. Un chiffre qui place loin derrière les 137 000 tonnes de la campagne 2010 – 2011, équivalant ainsi à 27 % de croissance. Autre point positif, cette production, constituée à 99 % de coton blanc et à 89 % de coton à fibre longue, est de 50 à 90 % haut de gamme. Une véritable performance pour la filière béninoise du coton. C’est pourquoi, les producteurs souhaitent continuer sur cette lancée. Ainsi, l’Association Interprofessionnelle de Coton (AIC) s’est réunie hier jeudi 22 mars dans l’objectif de mettre en place des stratégies pour redynamiser la production de coton au Bénin. Ces producteurs chevronnés par des années d’expériences n’ont pas voulu se laisser distraire par l’euphorie légitime après une saison si réussie. Aussi, se sont-ils servis, pendant la rencontre, des bons résultats de l’actuelle campagne pour les évaluer. Cette étape permettra de ressortir les mesures correctives à initier afin d’améliorer la production. Après quoi, viendra la définition d’une stratégie à adopter dans l’avenir. Beaucoup d’attentes ont été émises par l’AIC à cette occasion dont, principalement, la préservation des acquis de la campagne 2011 – 2012 – lesquels se constituent, entre autres, en l’introduction des fertilisants, contrôle qualité et la protection des cultures par les insecticides – et l’atteinte des objectifs de relance.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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