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les jeunes et le Ministre AKPLOGAN
09/07/2011 15:50
Le Ministre Aplogan échange avec les jeunes béninois via internet
Initiée par le Ministère de la jeunesse, des sports et des loisirs en collaboration avec le Centre Africa Obota, la séance de dialogue et d’échanges directs du Ministre de la Jeunesse des Sports et des Loisirs, Didier Aplogan Djibodé avec les jeunes béninois du monde via internet, a eu lieu pour cadre le cabinet ministériel en présence des collaborateurs et les partenaires du Centre Africa Obota. Les jeunes béninois qui se trouvaient connectés sur presque l’ensemble du territoire national et un peu partout dans le monde ont saisi cette occasion non seulement pour poser des questions d’éclaircissement au ministre Aplogan sur les enjeux d’actualité brulante de son département ministériel mais également sur des questions spécifiquement relatives aux loisirs, au sport mais surtout à la jeunesse béninoise et en particulier à l’entreprenariat des jeunes. La crise à la Fédération béninoise de football, l’insertion professionnelle des jeunes, le développement et le rayonnement des disciplines sportives pratiquées au Bénin, l’impact des loisirs dans le bien-être social, étaient entre autres au menu de ces échanges fructueux entre les jeunes et l’Autorité. Ce qui a permis au ministre Aplogan de d’édifier la lanterne des jeunes (la plus importante) et de s’imprégner de leurs réelles préoccupations notamment sur la question récurrente de l’emploi.
Appréciant ce contact direct via Internet et l’engouement et l’intérêt manifestes des jeunes, le Ministre de la jeunesse des sports et des loisirs, a promis renouvelé cette initiative via les réseaux sociaux et le site internet du Ministère de la Jeunesse des Sports et des Loisirs : www.mjsl.bj. «Les jeunes ont montré beaucoup d’enthousiasme et perspicacité au cours de ces échanges, cela témoigne de l’engouement et de l’importance de tels échanges», a déclaré le Ministre Didier Aplogan visiblement très satisfait. Après avoir remercié le Ministre de la jeunesse des sports et des loisirs, Didier Aplogan qui a spontanément adhéré à cette initiative, Urbain Amègbédji, secrétaire général du Centre Africa Obota a dit que «la qualité des échanges et la diversité des jeunes internautes béninois prouvent que les jeunes ont besoin de ces moments d’échange», a-t-il affirmé. «Cette initiative va peut être se rééditée avec le Chef de l’Etat», a souhaité Urbain Amègbédji.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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L'accès à Internet au Bénin
09/07/2011 15:45
L'accès à Internet au niveau des universités qui est une évidence basique dans les pays développés devient aujourd'hui une préoccupation pour pour le Gouvernement béninois. Au delà du WIFI évoqué lors de la réunion du Conseil des des Ministres du 29 juin 2011, c'est d'une connexion haut débit que les universités nationales du Bénin on besoin pour permettre aux enseignants et aux étudiants d'accéder à l'information scientifique et technique avec le minimum de confort. Voici en intégralité le compte de la réunion du Conseil des Ministres qui s'est penchée sur cette question importante.
Au début de la séance, le Conseil des ministres a observé une minute de silence à la mémoire de feus : - Rosette Tégbêssoussi Ahokpa Boko-Dagoun, mère de Monsieur Samuel Ahokpa, Secrétaire général du Conseil économique et social, décédée le 06 mai 2011 ; - Germaine Tchogninou Toupé, belle-mère de Monsieur Pierre Aho, Chargé de mission du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, décédée le 13 mai 2011 ; - Veuve Suzanne Toyèmè Ganmadigbé, mère de Monsieur Mèdéou Gabriel Agossou, deuxième adjoint au maire d’Abomey, décédée le 21 mai 2011. Au cours de la séance, le Conseil des ministres a adopté plusieurs projets de décrets notamment : - un projet de décret portant agrément de la société African technical services (ATS) Sarl au régime « A » du code des investissements pour le projet d’installation d’une usine de transformation de noix d’anacarde à Gbada dans la Commune d’Adjohoun. - un projet de décret portant agrément de la société Bénin Chemicals and Marketing Sarl au régime « B » du code des investissements pour le projet d’extension de son unité industrielle de fabrication de peintures, de vernis et d’emballages plastiques à Akpakpa (Cotonou) ; Le Conseil des ministres a également examiné et approuvé plusieurs comptes rendus parmi lesquels : - un compte rendu de la présidence de la République relatif aux réunions de concertation et de préparation du Hadj, édition 2011, tenues à Djedda, à la Mecque et à Médine en Arabie Saoudite du 11 au 18 avril 2011 ; - un compte rendu de la cérémonie solennelle de béatification du Pape Jean Paul II qui s’est déroulée à la Cité du Vatican le 1er mai 2011. Le Conseil des ministres a, en outre, autorisé : - la participation du Bénin à la 33ème session des Comités consultatifs interafricains (CCI) du Conseil africain et Malgache pour l’Enseignement supérieur (CAMES), prévue à Brazzaville du 04 au 13 juillet 2011 ; - la participation du Bénin à la 3ème conférence du Conseil africain pour l’Enseignement à distance prévue à Dar es Salam en Tanzanie, du 12 au 15 juillet 2011 ; - l’organisation de la deuxième édition de la « nuit des Oscars des Sportifs », le 17 septembre 2011 ; - une mission à Rome, d’une délégation du Comité préparatoire de la visite du Saint-Père au Bénin. Le Conseil des ministres a, par ailleurs, examiné une communication présentée par le ministre de la Communication et des Technologies de l’Information et de la communication relative à l’implantation d’un réseau Internet WIFI sur le Campus d’Abomey-Calavi. Cette opération fait suite à l’engagement pris par le président de la République de renforcer le statut de haut lieu de savoir et de savoir-faire de nos universités nationales et autres centres universitaires en les dotant progressivement d’instruments performants de recherches, notamment des technologies de l’information et de la communication. En approuvant cette communication, le Conseil des ministres a instruit le ministre de la Communication et des Technologies de l’Information et de la Communication et le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique aux fins d’accélérer l’installation du réseau WIFI sur le campus universitaire d’Abomey-Calavi à titre pilote d’une part, et de prendre d’autre part, des dispositions nécessaires pour inscrire annuellement dans les programmes d’investissements publics (PIP) de leurs départements ministériels respectifs, le financement pour l’extension du réseau à l’université de Parakou et aux autres centres universitaires.
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MIGAN S. BRUNO
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la gestion de l’eau potable en milieu rural au BENIN
24/06/2011 05:36
L’eau source de vie se révèle de nos jours une ressource difficilement accessible dans certaines régions d’Afrique. Des populations de cette partie du monde, en l’occurrence celles du monde rural continuent de nos jours de remuer ciel et terre pour avoir accès à ce liquide précieux.
Le Bénin, à l’instar de ces pays africains, doit faire face à des besoins toujours croissants et aux urgences exprimées de partout pour ce qui est de la gestion en eau potable dans ses zones rurales. Le cas des départements de l’Atacora et de la Donga en est un témoignage vivant.
Même avec le système de la Gestion Intégrée des Ressources en Eau (Gire), et les politiques menées au plan national, beaucoup reste à faire pour desservir les zones rurales dans lesquelles les populations souffrent encore le martyr. Selon les statistiques de la Revue annuelle des secteurs de l’eau et de l’assainissement réalisée en 2011 et élaborée par les acteurs de la gestion de l’eau en l’occurrence le Partenariat national en eau au Bénin (Pne), le taux de desserte pour l’approvisionnement en eau potable en milieu rural et semi-urbain, est passé de 44% en 2006 à 57, 2% à la fin de 2010, sur la base du référentiel actuel de la population rurale et de la norme nationale de desserte d’un équivalent de point d’eau pour 250 habitants. A en croire la même source, on peut ainsi estimer à environ 440.000 le nombre de personnes supplémentaires desservies par les ouvrages inscrits au bilan 2010. D’après nos investigations dans le Nord du Bénin où le problème d’approvisionnement en eau potable se pose avec acuité, surtout dans les départements de l’Atacora et de la Donga, il y a quelques mois encore, les habitants de petites localités de ces deux départements racontent que l’eau est devenue une denrée rare pour eux. Trouver de l’eau pour les besoins usuels, selon ces derniers, était devenu une réelle corvée, surtout pour les femmes. Ces dernières devaient donc parcourir des kilomètres pour aller chercher ce liquide précieux à la rivière, ou le tirer péniblement des puits très profonds. Ce déficit en eau potable, dans ces localités, pose d’énormes problèmes, au nombre desquels les maladies hydriques comme la diarrhée, la dysenterie, la fièvre typhoïde, le choléra, etc sources de pertes élevées en vie humaines surtout dans le rang des nourrissons. C’est également le cas de certaines filles scolarisées qui sont obligées d’abandonner les cours pour aller chercher de l’eau de rivière à des kilomètres. C’est le cas d’Awa, élève en classe de 1ere A1 que nous avons rencontrée à Tchéssikroubou, un village situé dans la commune de Toucountouna à environ 650 km de Cotonou, la capitale économique du Bénin. Elle raconte qu’elle vit quand le besoin en eau se fait sentir à la maison. « Je suis l’aînée de la famille de trois enfants dont deux garçons. Très tôt le matin, en plus des kilomètres que je dois parcourir pour suivre mes cours, je dois avec certaines mes camarades et femmes aller chercher de l’eau à la rivière située à 2km de notre concession. Je dois dire que cette rivière, est l’unique source d’approvisionnement de ladite localité et celles environnantes, qui n’est cependant pas potable. Nous n’avons pas le choix. Et nous qui sommes élèves, sommes obligées au 1er tour quelquefois d’abandonner les femmes ménagères pour l’école. Ce problème s’accentue surtout durant la saison sèche où la rivière tarie et où nous sommes obligées abandonner les cours faute de manque d’eau pour satisfaire les besoins domestiques. Je dois souligner que c’est cette même eau qui sert à laver nos vêtements que nous apportons pour la plupart du temps à la rivière. Et c’est avec celle-ci que nous nous lavons. Tout ceci est source des maladies pour nous. Elle est également à la base des infections que contractent nombre de femmes de la localité », raconte Awa. Pour les habitants de Toucountouna, avoir accès à l’eau potable, est un calvaire et un parcourt de combattant.
La solution des autorités et des partenaires techniques et financiers
Pour palier ce problème d’approvisionnement en eau potable, le gouvernement, a opté pour une Gestion Intégrée des Ressources en Eau en partenariat avec des Partenaires techniques et financiers. L’implication active des populations bénéficiaires dans la gestion des équipements hydrauliques, constitue actuellement une sérieuse option, visant à favoriser leur accès durable à l’eau potable. Cette implication passe, dans une large mesure, par l’émergence au sein de ces populations, de structures de gestion chargées de l’entretien et de la maintenance des équipements. Ces structures constituent aussi des instances représentant les populations dans toutes les affaires relatives au service d’accès à l’eau potable. Dans un autre registre, le gouvernement, sur financement des dons japonais hors projets, a réalisé dans ces deux départements et ce, par le biais du Programme des Nations-Unies pour le Développement (Pnud), 150 forages équipés de pompes à motricité humaine et réhabilité 100 autres forages dans 13 communes. Les travaux sont en cours pour la réalisation d’ici la fin de l’année de 20 Adductions d’eau villageoise (Aev). Cet important projet d’un coût global de 7 millions Usd, s’inscrit dans la phase d’urgence du Programme d’approvisionnement en eau potable en milieu rural qui a été lancé en décembre 2008. A travers ce projet, le Pnud entend contribuer à la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement, notamment l’Omd N°7 relatif à la protection environnementale et l’accès à l’eau potable, ce qui constitue l’un des moyens efficaces de lutte contre la pauvreté. Plusieurs organisations non gouvernementales, à l’instar du Pnud, sont également recrutées et sensibilisent les populations sur l’hygiène et la bonne gestion du point d’eau. En matière de réalisation des Omd, l’eau est l’un des secteurs avec un potentiel de progrès rapide vers la cible retenue par le Bénin, qui est de passer la proportion de population utilisant une source améliorée d’eau potable de 61% à 100% en 2015. Les efforts déployés aussi bien par le gouvernement que par les partenaires techniques et financiers ont porté les indicateurs d’accès à 63,6% en 2009, niveau qui se rapproche de la cible. Cependant beaucoup reste à faire pour que les populations rurales en manque d’eau potable en bénéficient également.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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Projet japonais
19/06/2011 14:43
Le chef de la mission diplomatique nippone au Bénin, Masahiro Bamba a procédé hier, mardi 07 juin 2011 à l’inauguration de 118 puits équipés de pompes à motricité humaine, 6 puits artésiens, 10 systèmes d’adductions d’eau villageoises. Ces ouvrages ont été officiellement remis au Bénin dans la commune de Dangbo en présence du ministre de l’Energie et de l’eau, Jonas Gbian et du maire de la localité.
L’initiative est la 6ème phase du Projet japonais d’approvisionnement en eau potable dont le montant total est de 5 milliards de F Cfa (Lire ci-dessous le communiqué de l’ambassade du Japon qui précise les communes bénéficiaires du projet). « Cela fait déjà 25 ans que le Japon contribue à l’amélioration de l’approvisionnement en eau portable au Bénin. Environ 30 milliards de F Cfa, y compris les fonds de contrepartie du Japon sont déjà destinés dans ce secteur par le Japon, qui a permis la réalisation d’environ 900 pompes à motricité humaine, 55 adductions d’eau villageoises, la réhabilitation d’environ 500 pompes à motricité humaine », a rappelé l’ambassadeur. A l’en croire, ces actions qui devraient soulager les populations locales, montrent l’excellente amitié liant les deux Etats. « Nous sommes à vos côtés et nous vous assurons que le Japon vous soutient pour le développement », soulignera-t-il ensuite. Le ministre Jonas Gbian, a en ce qui le concerne, transmis les remerciements du peuple béninois à l’ambassadeur et a garanti qu’un usage judicieux sera fait desdits ouvrages.
AS
COMMUNIQUE
Sujet : Le Japon contribue à la réalisation des infrastructures d’approvisionnement en eau potable, pour un montant d’environ 5 milliards FCFA.
Date : 07 Juin 2011
L’Ambassadeur du Japon près la République du Bénin, S.E.M. Masahiro Bamba a pris part ce jour, aux cotés du Ministre de l’Energie, des Recherches Pétrolières et Minières, de l’Eau et du Développement des Energies Renouvelables, S.E.M. Jonas Aliou Gbian, à la cérémonie de remise officielle des ouvrages de la sixième phase du Projet d’approvisionnement en eau potable.
Ladite cérémonie qui s’est déroulée à Dangbo, est le fruit de la coopération bénino-japonaise, en plein essor depuis des années.
Dans son discours à cette occasion, l’Ambassadeur s’est dit heureux de voir les travaux d’un tel projet achevés avant même le délai contractuel ; ceci grâce à la détermination des deux parties.
Après s’être réjoui qu’une telle cérémonie se déroule juste après le début du deuxième quinquennat du Président Dr Boni Yayi, il a exprimé sa satisfaction de voir que cette inauguration de 118 puits équipés de pompes à motricité humaine, 6 puits artésiens, 10 systèmes d’adductions d’eau villageoises sont autant d’acquis vitaux profitables à 80,000 personnes (quatre vingt milles personnes) répartis dans 28 communes des cinq départements de Collines, Zou, Couffo, Mono et Ouémé.
S.E.M. Bamba a également renouvelé ses remerciements à toutes les Béninoises et à tous les Béninois, ainsi qu’à Son Excellence le Président de la République qui a exprimé sa compassion et adressé ses condoléances au nom du Gouvernement et du peuple béninois, à la suite du séisme et du tsunami ayant frappé la côte pacifique du Tohoku du Japon ainsi que pour les gestes importants de compassion et de solidarité, en faveur des dizaines milliers de victimes de ce drame.
L’Ambassadeur remercie une fois encore, toutes les autorités de la République du Bénin et tout le peuple béninois, pour le rôle qu’ils jouent dans le sens du renforcement des relations d’amitié entre les deux pays.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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Environnement 2011
19/06/2011 14:35
La communauté mondiale a célébré ce dimanche 05 juin 2011 la journée de l'environnement. A cette occasion ; le secrétaire général de l'organisation des nations unies a livré un message.
Près de 20 ans après le Sommet Planète Terre tenu en 1992, le monde s'apprête à reprendre la route de Rio, où se tiendra la Conférence des Nations Unies sur le développement durable en juin 2012. D'importants changements sont intervenus au cours des deux dernières décennies, sur les plans à la fois géopolitique et environnemental. Des centaines de millions de gens en Asie, en Amérique latine et, de plus en plus, en Afrique sont parvenus à échapper à la pauvreté. Toutefois, des signes toujours plus nombreux indiquent aussi que la capacité de la planète de continuer à assurer notre progrès se trouve gravement compromise, peut-être de manière irréversible.
La croissance économique rapide s'est accompagnée de coûts qui n'apparaissent que rarement dans la comptabilité nationale, tels que la pollution de l'air et de l'eau, la dégradation des ressources halieutiques et des forêts, etc., autant de phénomènes qui influent tous sur la prospérité et le bien-être de l'humanité. Le thème retenu cette année pour la Journée mondiale de l'environnement, à savoir " Les forêts : la nature à votre service ", met en relief le fait que ces écosystèmes, notamment, représentent des milliards et des milliards de dollars pour la société, et tout particulièrement les pauvres.
Même si l'on est de plus en plus conscient dans le monde entier des dangers liés à la dégradation de l'environnement - notamment le changement climatique, l'appauvrissement de la diversité biologique et la désertification -, les progrès ont été trop lents depuis la tenue du Sommet Planète Terre. Nous ne pourrons construire un monde juste et équitable que lorsque nous accorderons un poids égal aux trois composantes du développement durable, à savoir les composantes sociale, économique et environnementale. Si nous voulons assurer durablement la réduction de la pauvreté, la sécurité alimentaire et nutritionnelle et un travail décent aux populations toujours plus nombreuses, il nous faut faire le meilleur usage possible de notre patrimoine naturel.
L'Inde, pays hôte de la Journée mondiale de l'environnement en 2011, figure parmi le nombre croissant de pays qui s'emploient à alléger les pressions exercées par les changements écologiques. Ce pays est aussi l'un des premiers à entreprendre une évaluation plus précise de la valeur économique des services axés sur la nature, avec le concours du Programme des Nations Unies pour l'environnement et la Banque mondiale. La loi sur l'emploi rural et la promotion des sources d'énergie renouvelables sont des exemples importants illustrant la manière dont l'Inde étend la croissance verte et accélère le passage à une économie verte.
L'instauration d'un développement durable ne pourra se faire en un jour. Mais, sur la voie menant à la Conférence de Rio +20, la célébration cette année de la Journée mondiale de l'environnement peut faire comprendre aux membres influents des secteurs à la fois public et privé qu'ils peuvent - et qu'ils doivent - prendre les mesures voulues pour répondre aux espoirs suscités par le Sommet Planète Terre. Le monde entier les regarde et n'en attend pas moins.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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