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L?AFRIQUE DANS LA POLITIQUE EXTÉRIEURE DU BRÉSIL
11/03/2013 10:28
Les relations afro-brésiliennes prennent un nouveau tournant avec l’arrivée au pouvoir de l’équipe gouvernementale de Lula Da Silva (2003-2010). Bien qu’elle ne provoque pas de rupture profonde en matière de politique étrangère avec l’exécutif qui l’a précédé, l’administration Lula est animée par la ferme conviction que la concrétisation des vieilles aspirations brésiliennes d’un monde multipolaire passe, notamment, par la multiplication et la consolidation des relations et partenariats politiques et économiques avec les pays du Sud. C’est dans ce cadre doctrinal qu’il faut restituer la volonté de Brasilia de se doter d’une nouvelle politique africaine et de donner à ce continent une place de choix dans son agenda extérieur.
Pour ce faire, les autorités brésiliennes commencent par accorder une place plus importante à l’Afrique dans leur dispositif institutionnel. Ainsi, la réorganisation subie par le ministère des affaires étrangères s’est, en particulier, traduite par la création d’une entité spécifiquement consacrée à l’Afrique et par l’augmentation des ressources et des moyens en personnel alloués aux relations afro- brésiliennes.•3 Cette mesure est accompagnée d’un activisme diplomatique sans précédent vers l’Afrique. Des dizaines de missions présidentielles et ministérielles sont envoyées sur le continent qui aboutissent à plus de 160 accords avec les pays africains dans des secteurs allant de l’énergie au commerce en passant par l’agriculture, la coopération au développement, universitaire et militaire. Le nombre d’ambassades brésiliennes se multiplie et passe du simple au double ce qui amène le ministre Patriota des affaires étrangères de l’administration Rousseff à vanter son pays d’avoir dorénavant en Afrique plus d’ambassades que la Grande-Bretagne. Cette évolution suscite, à son tour, de nombreuses visites de chef d’État et de gouvernement africains au Brésil et occasionne en moins d’une décennie l’accréditation à Brasilia de plus d’une quinzaine d’ambassades africaines.
Bien qu’elle jouisse d’une image discrète par rapport au style flamboyant et au charisme de son prédécesseur, la Présidente Dilma Rousseff ne mise pas moins sur les relations avec l’Afrique d’autant plus que les pays industrialisés, l’Europe en tête, peinent à sortir de leur crise. Pour développer et consolider l’acquis de l’administration précédente en matière de politique africaine, son administration a pris un certain nombre d’initiatives. Dès sa première année de mandat, la Présidente a visité une série de pays africains, créé un fonds spécial pour financer des projets de développement sur le continent ou envoyé en Afrique du Sud, en Angola et au Mozambique, une délégation de l’Agence de promotion des exportations avec des industriels brésiliens ; ce qui s’est traduit par la signature d’un grand nombre de contrats dans les secteurs des machines et des équipements, de la construction ou de l’agriculture pour plus de 100 millions d’euros. Le Brésil continue donc à renforcer ses relations avec l’Afrique indépendamment des changements politiques.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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Au Nigeria, les sept otages occidentaux auraient été tués
11/03/2013 10:22
Les sept étrangers enlevés en février au Nigeria auraient été exécutés par les islamistes du groupe Ansaru, qui a annoncé samedi leur assassinat. Une nouvelle jugée probable par les pays concernés, Grande-Bretagne, Italie et Grèce. Et l'inquiétude s'accentue pour les otages français.
Les autorités italiennes, britanniques et grecques ont jugé probable, hier la mort de sept étrangers enlevés en février au Nigeria, le groupe islamiste nigérian Ansaru ayant annoncé samedi leur exécution.
Selon le réseau américain de surveillance des sites islamistes SITE, le groupe Ansaru avait affirmé samedi avoir été «poussé à exécuter» les sept hommes, en invoquant notamment des «actions menées par les gouvernements britannique et nigérian pour libérer les otages».
Le 16 février, deux Libanais, deux Syriens, un Grec, un Italien et un Britannique travaillant pour la société de construction libanaise Setraco avaient été enlevés sur un chantier, dans le nord du Nigeria.
Deux jours après l'enlèvement, Ansaru avait déclaré par e-mail avoir «en otage sept personnes, dont des Libanais et leurs collègues européens, travaillant pour Setraco». Le groupe avait alors invoqué «des transgressions et atrocités commises envers la religion d'Allah
[…] par les pays européens dans plusieurs endroits dont l'Afghanistan et le Mali». Ansaru est considéré comme une faction du groupe islamiste nigérian Boko Haram, tenu pour responsable de la mort de centaines de personnes dans des attaques menées depuis 2009 dans le nord et le centre du Nigeria. Boko Haram a par ailleurs revendiqué, dans une vidéo postée sur internet le 25 février, l'enlèvement d'une famille de sept Français - dont quatre enfants - dans le nord du Cameroun. Cette vidéo était cependant très différente des précédentes vidéos publiées par Boko Haram qui n'avait jamais revendiqué d'enlèvement d'étrangers auparavant. En revanche, Ansaru a été cité comme étant lié à plusieurs enlèvements dont ceux, en mai 2011, d'un Britannique et d'un Italien, tués en mars 2012 lors d'une opération des forces nigérianes appuyées par des agents britanniques visant à les libérer.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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Hailemariam Desalegn est devenu, dimanche 27 janvier, le nouveau président de l?Union africaine. Un poste qu?il occupera pendant un an jusqu?au prochain sommet de l?organisation pan-africaine.
11/03/2013 10:10
Le Premier ministre éthiopien, Hailemariam Desalegn, est devenu dimanche le nouveau président en exercice de l’Union africaine (UA), lors du 20e sommet de l’organisation pan-africaine organisé à Addis Abeba.
"C’est avec un grand sens de l’honneur et d’humilité que j’accepte la présidence de notre Union," a déclaré M. Hailemariam devant ses partenaires de l’UA. Il succède au Béninois Thomas Boni Yayi.
La présidence tournante de l’UA est renouvelée à chacun des sommets annuels ordinaires convoqués traditionnellement en janvier à Addis Abeba, capitale éthiopienne et siège de l’organisation continentale.
Chaque région d’Afrique propose à tour de rôle un chef d’Etat candidat, qui est formellement élu, sans rival, au premier jour du sommet.
Hailemariam Desalegn est Premier ministre d’Ethiopie depuis seulement septembre. Il avait été désigné à ce poste — le plus important du pays — par le Parlement éthiopien. Jusqu’alors numéro deux du gouvernement, il a succédé à Meles Zenawi, homme fort du pays pendant 21 ans, décédé en août.
Ce 20e sommet de l’UA est donc le premier pour M. Hailemariam, comme d’ailleurs pour la présidente de la Commission de l’UA, la Sud-africaine Nkosazana Dlamini-Zuma, élue à ce poste en juillet dernier à Addis Abeba, après une bataille épique contre le président sortant, le Gabonais Jean Ping.
Le sommet de dimanche et lundi promet d’être dominé par l’intervention militaire française contre les insurgés islamistes au nord du Mali, à laquelle se joignent des troupes africaines.
Les laborieuses négociations entre les Soudans et la situation dans l’Est de la République démocratique du Congo, théâtre de combats entre forces régulières et rebelles du M23 jusqu’au mois dernier, devraient aussi être au menu des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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Présenter ses condoléances et celles du peuple béninois au peuple vénézuélien suite au décès du Président Hugo Chavez le mardi 05 mars de
11/03/2013 10:03
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Le ministère du Développement a servi de cadre le jeudi 07 mars 2013 à la conférence de presse des ministres Marcel de Souza du Développement et Katé Sabaï de
11/03/2013 09:39
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