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Lancement officiel des activités de la Quinzaine Commerciale du Bénin
19/12/2012 11:16
Prévue pour se dérouler du 18 au 31 décembre, la « Quinzaine commerciale » de l’année 2012 a ouvert hier ses portes aux populations de Cotonou et environs. Organisée sur l’esplanade du Stade de l’Amitié de Kouhounou par l’Agence béninoise pour la promotion des échanges commerciaux (Abepec), elle enregistre cette année, plus de 200 exposants de tous les secteurs d’activités qui cèdent des produits alimentaires, cosmétiques, culinaires, etc…. à des prix compétitifs. Sur les lieux de cette exposition, on peut remarquer des acteurs du commerce venus de tous les horizons.
Il s’agit du Ghana, du Togo, de la Guinée, du Burkina-Faso, du Mali, du Niger, du Sénégal, du Liban, de la Jordanie, du Nigéria. A ce titre, la première autorité en charge du commerce au Bénin, Sofiatou Onifadé Baba-Moussa a présenté les deux (02) objectifs visés par le gouvernement en accompagnant cette foire commerciale. Il s’agit, pour lui, de permettre aux populations béninoises de Cotonou et de ses environs de s’approvisionner à moindre coût, d’acquérir des articles divers afin de mieux préparer les fêtes de fin d’année.
Pour les participants, il permettra de faire la promotion de leurs produits. C’est ainsi que la ministre du commerce a invité les participants à cette rencontre commerciale à un effort de promotion du respect des normes et qualité afin de contribuer efficacement à l’accroissement du volume des échanges commerciaux à l’intérieur du Bénin, comme à l’extérieur. « Ces échanges commerciaux restent le moteur essentiel qui favorise la mise en place d’une base industrielle nécessaire au développement économique de notre pays », a notifié Sofiatou Onifadé Baba-Moussa.
Pour sa part, le directeur de l’Abepec, Robert Akindé a rassuré les populations de ce que des dispositions sont prises avec les forces de l’ordre pour garantir la sécurité des lieux. Selon lui, l’occasion ne doit pas être ratée parce qu’elle permet de faire les emplettes à des prix promotionnels.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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Séminaire sur le dialogue social au Bénin
19/12/2012 11:11
Le gouvernement et les partenaires sociaux, secteurs public et privé inclus, échangent depuis mardi au Palais des congrès sur le thème « Dialogue Social au Bénin : enjeux et perspectives ». L’objectif de cette rencontre est de dégager les modalités de mise en œuvre d’un dialogue social viable permettant de créer les conditions pour la paix et une cohésion sociale durables
Pour le premier ministre Pascal Irénée Koupaki qui a ouvert les travaux, un dialogue social efficace suppose une volonté politique affirmée, le respect des droits fondamentaux, notamment la liberté syndicale et la négociation collective et, mieux, la mise en place d’institutions et d’organes spécifiques de dialogue social en tenant compte du renforcement des organisations représentatives des travailleurs et d’employeurs. Selon lui, la culture du dialogue social peine à s’insérer dans les bonnes mœurs de l’administration publique.
En guise d’exemple, il a cité la crise de confiance permanente entre le gouvernement et les syndicats, où les motions de grèves sont devenues le seul moyen de communication. « Le Bénin est soumis à de fréquents remous sociaux qui affectent son développement ». Or un dialogue social apparaît, selon lui, comme un instrument indispensable favorisant la participation démocratique au sein des principales parties prenantes impliquées dans le processus de développement économique et social.
Au regard de ce tableau sombre, le ministre a appelé à une franche collaboration pour la mise en œuvre de nouvelles pistes pour le renforcement de la paix et la cohésion nationale. Plusieurs panels sont organisés pour l’animation des échanges dans le cadre du séminaire. Au total 04 communications seront présentées à cet effet. La première animée par Ibrahim Barry, ancien expert du Bureau international du travail (Bit) et consultant en dialogue social, porte sur « l’expérience du dialogue social en Afrique et dans le monde ».
En second lieu, les participants ont été également informés sur « l’Etat des lieux du dialogue social au Bénin » par Dodji Amouzouvi, enseignant de sociologie à l’Université d’Abomey-Calavi (Uac). Il est suivi de l’expert en gouvernance démocratique, Gilles Badet qui a abordé le thème relatif à la « Contribution de la société civile dans le fonctionnement du dialogue social ».
reporter
MIGAN S. BRUNO
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Afrique : trop de taxes et pas assez d?infrastructures freinent la croissance du mobile
03/12/2012 10:17
Selon un rapport de l'Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique de l’Association mondiale des opérateurs GSM (GSMA), le secteur de la téléphonie mobile en Afrique a une croissance annuelle de 44% depuis 2000.
Près de 500 millions de connexion ont été dénombrées, de nombreux emplois ont été crées grâce à l’innovation dynamique que connaît le secteur. Et de nouveaux emplois sont en passe de voir le jour d’ici 2015-2012 à conditions que quelques problèmes infrastructurels et de gestion soient réglés.
Il y a le problème des fréquences qui demeure un obstacle. En effet, alors que les pays développés allouent en général plus de 500 MHz, la moyenne en Afrique n'est que de 80 MHz, révèle l’Observatoire. Pourtant, des entreprises de télécommunication procèdent encore à l’extension de leur réseau. Il est à prévoir une importante congestion des lignes, d’où la nécessité d’attribuer de nouvelles fréquences. À côté des manquements techniques, suivent ceux administratifs. De nouvelles taxes ont vu le jour comme les 10% arrêtés sur les opérations mobile money au Kenya.
Selon GSMA, ces éléments résolus, le mobile pourrait continuer à influencer très favorablement le développement économique des pays.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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Ghana : lancement du projet de centrale Kpone Independent Power de 340 MW
03/12/2012 10:12
C’est une bonne nouvelle pour toute l’Afrique de l’Ouest : la centrale électrique à cycle combiné Kpone Independent Power verra le jour près de Tema. Elle produira 340 MW pour un investissement de 600 millions de dollars.
C’est la Cenpower Generation Company Limited, une société ghanéenne, qui pilotera ce projet qu’elle partagera avec Africa Finance Company (AFC) et Infraco Limited. Il s’agira de l’une des plus grandes centrales d’Afrique majoritairement contrôlée par le secteur privé.
Rand Merchant Bank, filiale de First Rand Bank Limited, aura la charge de Lead Arranger pour le montage du financement avec le concours de l’Insurance Company of South Africa du Département de l’industrie et du commerce.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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Le Gabon veut devenir exportateur d?huile de palme en 2020
03/12/2012 10:06
Avec la volonté affichée de diversifier son économie, largement dépendante aujourd’hui du pétrole, le Gabon mise sur l’agriculture. «Nous avons une grande quantité de terres disponibles (ndrl 5 millions d’hectares) et un environnement attractif pour les investissements», estime le ministre de l’Agriculture, Julien Nkoghe Bekale, en marge du Forum d'investissement Royaume-Uni/Gabon ajoutant que « pour les entreprises agricoles nous allons avoir des exonérations fiscales en matière de TVA, de droits de douane et même sur les entreprises ».
Le Gabon ambitionne que le secteur agricole contribue à 15% du PIB en 2020 contre 1% actuellement. Et la production d’huile de palme devrait atteindre 250 000 tonnes en 2020, faisant du pays un exportateur.
Depuis 2004 l’entreprise belge SIAT a investi près de $ 100 millions et produit aujourd’hui plus de 11 000 tonnes d’huile de palme par an. Mais, l'investissement majeur est venu de Olam, qui a signé une joint-venture avec le gouvernement pour développer 50 000 hectares, avec une possibilité d’extension à 100 000 hectares. Le coût du projet est estimé à $ 788 millions.
Reporter
HACHEME Roseline
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