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       LE JOURNAL  DU PEUPLE
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LE JOURNAL DU PEUPLE

VIP-Blog de migan
  • 44 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 07/11/2010 12:36
    Modifié : 17/10/2014 11:05

    Garçon (38 ans)
    Origine : cotonou BENIN
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    Palais de la république

    25/05/2011 18:19



    Présidence de la République : Boni Yayi envoie ses conseillers et chargés de mission au chômage


    Dans un communiqué largement diffusé hier par plusieurs chaînes de télévision, le Chef de l’Etat, le Dr Boni Yayi a mis un terme aux fonctions de ses collaborateurs que sont les conseillers techniques et les chargés de mission. Aussi laconique qu’il soit, ce communiqué qui a d’ailleurs surpris plus d’un n’a donné aucune précision sur les raisons qui motivent cette décision prise par le Chef de l’Etat. Mais dans son entourage, des indiscrétions indiquent qu’il s’agit d’un ménage décidé par le Chef de l’Etat pour se conformer à son engagement de réduire au maximum le train de vie de l’Etat. Selon les mêmes indiscrétions, les conseillers techniques et autres chargés de mission touchés par cette mesure sont attendus dès ce jour au Palais de la Marina pour déposer les véhicules qui leur ont été affectés. Cela rappelle étrangement les mesures qui avaient été prises par le Président Boni Yayi lorsqu’il prenait le pouvoir en 2006. C’est en effet dans les mêmes conditions qu’il avait congédié les collaborateurs du Président Mathieu Kérékou qu’il avait retrouvés au Palais de la Marina avant de refaire plus tard appel à certains d’entre eux. Si pour certains Béninois, l’acte posé par le Chef de l’Etat est salutaire, pour d’autres, il devra aller plus loin en faisant disparaître les institutions budgétivores du genre du Haut commissariat à la gouvernance concertée, du Haut commissariat à la solidarité nationale…qu’il a créées pour faire plaisir à certains retraités et amis qui l’ont aidé à prendre le pouvoir.

     

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    MIGAN S. BRUNO






    6ème législature

    21/05/2011 15:51



    Bureau d’âge de la 6ème législature:Rosine Soglo en voie d’être déchargée



    Au cours du déjeuner de travail d’hier au Palais, certains députés Forces cauris pour un Bénin émergent (Fcbe) ont eu la dent dure contre l’ex-présidente de la Renaissance du Bénin à cause de son jusqu’au-boutisme. Selon certaines indiscrétions, le groupe se prépare déjà pour demander à la Cour constitutionnelle de procéder à son remplacement par le plus âgé après elle.

    Rosine S


    La présidente du bureau d’âge de la 6ème législature est sur un fauteuil éjectable. Ce n’est pas un canular et le processus visant à saisir la Cour constitutionnelle à cet effet sera enclenché, si elle n’organise pas l’élection du prochain bureau de l’Assemblée nationale demain vendredi sans tenir compte de la décision Dcc 09-002 du 08 janvier 2009 par laquelle les Sages de la Cour constitutionnelle ont inventé le concept majorité/minorité. En d’autre terme, en contestant la façon dont Mme Rosine Vieyra Soglo gère les affaires, les élus de la mouvance présidentielle n’entendent pas accepter l’opposition dans ce bureau. La situation a fait l’objet d’un point particulier de l’ordre du jour de la séance de travail d’hier avec le premier magistrat. A l’unanimité, les parties ont pris la décision de taper sur la table demain quand la présidente du bureau d’âge va reprendre les mêmes façons de conduire la séance. Elles estiment qu’elle outrepasse déjà ses prérogatives en insistant sur des détails contraires à la constitution. Ici, on affirme que Mme Soglo tente d’imposer à la plénière, une décision qui n’a rien à avoir avec l’élection du bureau de l’Assemblée nationale. Pour les groupes Fcbe réunis hier à la présidence de la République , la décision Dcc 09-002 du 08 janvier 2009 traite d’une question déjà passée et se réfère en plus aux intérêts des groupes parlementaires dans une Assemblée nationale à géométrie variable. Ce qui n’est pas, selon eux, actuellement le cas et ce sont les forces politiques issues des élections législatives passées qui se partagent l’hémicycle. Les députés Fcbe réunis hier au Palais, renvoient simplement la dame de fer aux dispositions du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale qui a déjà prévu la conduite à tenir dans le cas d’espèce. Un nouveau conflit jurisprudentiel dirait l’autre. Et selon le camp présidentiel, il ne reste que la Cour constitutionnelle pour trancher. Raison pour laquelle, ils se préparent pour recourir à ses compétences, pour lui demander ensuite de faire remplacer Mme Rosine Vieyra Soglo. Mais à ce niveau, il se pose un autre problème. C’est le député Ange-Marie Bruno Amoussou, le cadet de Mme Rosine Vieyra Soglo qui sera invité à prendre place au perchoir pour continuer les travaux, au cas où l’ex-présidente de la Renaissance du Bénin était disqualifiée. En tant que coordonnateur de l’Alliance ‘’Union fait la Nation’’ et camarade de Rosine Vieyra Soglo, Amoussou se comporterait sans doute de la même façon qu’elle. Une situation qui pourrait obliger un autre recours pour permettre à Me Hélène Aholou Kèkè qui suit, de prendre le relais. C’est peut-être à partir de ce moment que la mouvance présidentielle aura gain de cause. Mais avant, personne ne peut dire sans se tromper, la teneur de la décision que prendra la Cour. Car à ce niveau, il va falloir qu’elle se dédise pour donner raison à la majorité présidentielle. Confère l’article 02 de sa décision Dcc 09-002 du 08 janvier 2011qui a déjà réglé les problèmes. En effet, il s’agit ici d’une décision fermée qui ne permet pas une autre interprétation, parce que la Cour constitutionnelle en prenant en ce moment sa décision, ne s’est pas donnée des moyens pour se tirer d’affaire en cas de difficulté.

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    MIGAN S. BRUNO









    Législatives 2011 l'échec de Oloyé

    04/05/2011 13:55



    Législatives 2011 :Pourquoi Oloyé a échoué dans la 19ème

    Le candidat Joseph Midodjiho alias Oloyé arrivé 3ème dans la 19ème circonscription électorale sur la liste ‘’Cauris 2’’ se rend de plus en plus compte qu’il n’a pas de chance de siéger à la 6ème législature. Sa débâcle est due à son entêtement à défier le chef de l’Etat. Pis, sa machine électorale était trop faible par rapport à ses ambitions.


    Plusieurs raisons justifient l’échec du patron des trafiquants, transporteurs et vendeurs d’essence frelatée. Le candidat Joseph Midodjiho alias Oloyé, a osé défier, sans en avoir les moyens, le président de la République sur un terrain fortement miné par le pouvoir d’Etat. Au cours des deux grandes réunions au sommet de l’Etat, le Dr Yayi Boni a répété à ses partisans qu’il ne soutient qu’une seule et unique liste : Celle des Forces cauris pour un Bénin émergent (Fcbe). Entre-temps, il a sans grande résistance, pris soin de faire annuler la liste Frap parrainée par sa propre épouse. Comme pour dire que tout le monde doit suivre à la lettre ses instructions. Mais des personnes comme Joseph Midodjiho ont fait de la résistance, défiant ainsi le premier magistrat qui aurait bien voulu que les efforts soient concentrés autour des candidats Fcbe en vue d’une majorité qualifiée dès la sortie des urnes. En plus de cet « affront » dont les conséquences risquent d’être énormes pour ces contrevenants, il y a le fait que la plupart de ces candidats ramant à contre-courant se sont trompés sur leur réel poids politique. Inutile de rappeler les conflits de logo qui ont perdu assez de temps à la mouvance déjà en lambeaux. Une autre raison pour le chef de l’Etat de se fâcher contre le groupe Oloyé. Sur le terrain, on se tirait dessus, on s’insultait, on se rappelait le passé, on sacrifiait les acquis du Changement et il n’y avait personne, a priori, dans cette mouvance déchirée pour jouer aux sapeurs-pompiers. Pendant ce temps, la liste unique ‘’Union fait la Nation’’ (« Un ») conquérait méthodiquement le terrain. L’Union est même parvenue à bloquer Oloyé dans Adjara, son fief originel. De son côté, le député Sofiath Schanou qui rempile a pu se taper 1896 voix dans la même commune. C’est donc au bout d’un combat interne et face à une alliance suffisamment forte qu’elle a réussi à tirer son épingle du jeu. A Sèmè-Kpodji où Oloyé devrait aussi montrer ses capacités de draineur de foule, c’est plutôt le désastre. Dame Sofiath Schanou s’est illustrée comme un homme de terrain et est arrivée en deuxième position derrière l’ »Union fait la Nation’’ avec 10993 voix au moment où le feudataire d’Adjarra s’est juste contenté de 1338 voix. A Porto-Novo, la candidate Fcbe l’a devancé de plus de 8000 voix. Des résultats dus au fait qu’Oloyé ne maîtrise pas vraiment son terrain, puisque ceux sur qui il comptait pour défier le chef de l’Etat n’ont pas répondu à l’appel. Mais le plus grave dans cet échec, c’est qu’Oloyé ne sait pas qu’il a des adversaires dans son entourage immédiat. A vrai dire, ce sont surtout ceux-là qui lui ont fait plus de mal, en lui conseillant de mauvaises choses. Sa communication assez défectueuse lui a également dressé le tapis de l’échec. Mais il y a pire. L’homme qui ne connaît pas vraiment les rouages politiques, s’est adonné uniquement aux opérations de porte-à-porte qui n’ont rien donné. Ensuite, le succès à une élection passe d’abord par la mise en place de réseaux fiables. Or, Oloyé semble n’avoir pas intégré cette logique dans sa stratégie. Oloyé devra aussi se mordre les doigts pour n’avoir pas fait économie de certaines déclarations lors de son passage dans les maisons. Il paiera aussi comptant pour ses différentes conférences de presse qu’il n’a cessé d’avorter au dernier moment.

    Pour qui roule Oloyé ?

    Au sortir d’une élection qui montre les forces réelles des candidats sur le terrain, Oloyé ne devrait plus revendiquer d’hypothétique victoire tant le choix des électeurs est sans ambigüités. Mieux les résultats partiels et provisoires issus des chiffres des documents originaux (trouvez ci-contre lesdits documents) des démembrements de la Commission électorale nationale autonome (Cena), en attendant les résultats définitifs proclamés par la Cour, restent très expressifs. Ils démontrent sans ambages l’avancée remarquable du député Schanou dans la 19ème circonscription électorale. Cette position affichée du candidat Joseph Midodjiho démontre qu’il travaille contre le régime du Changement. Car en réalité, en s’opposant vertement à la liste Fcbe, il se refuse ainsi de se plier à l’appel à l’union lancé par le chef de l’Etat quelques jours avant les législatives. Le président Yayi Boni avait en effet exigé de ses partisans un ralliement derrière la liste gagnante (la désignation voilée de la liste Fcbe) dans leurs différentes régions. Dans cette posture, la tête de liste de l’alliance cauris 2 dans la 19ème circonscription montre son affiliation à d’autres formations politiques se réclamant de la mouvance présidentielle et ne partageant pas les idéaux des Fcbe, ceux-là même défendus par le chef de l’Etat. Cet acte politique jugé assez troublant par plusieurs observateurs risque de détruire l’unité fragile du camp de la majorité au pouvoir dans l’Ouémé.

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    MIGAN S. BRUNO






    Braquage électoral

    04/05/2011 13:44



    Elections législatives à Malanville: les gros bras du «braquage» électoral 

    Les législatives du 30 avril, caractérisées par des fraudes à grandes échelles dans la 1ère circonscription électorale regroupant (Malanville, Kandi et Karimama), ont été organisées par l’une des plus importantes formations politiques de la localité. Une situation qui mérite l’attention particulière des sages de la Cour constitutionnelle. Bourrages d’urnes, bulletins pré-estampillés, votes massifs d’étrangers n’ayant pas auparavant leurs noms sur la liste électorale, votes de mineurs etc. Voilà le triste spectacle vécu dans toutes les communes de la 1ère circonscription électorale. Tout ceci a été orchestré au vu et au su de tout le monde. Dans les bureaux de vote du village de Madikali Centre, dans la commune de Malanville par exemple, tout a commencé par le débarquement d’une horde d’étrangers  venus voter. C’est alors qu’intervient une altercation entre ces éléments venus d’on ne sait où et ceux des listes «Amana» de Nassirou Bako Arifari qui s’opposent au vote de ces personnes identifiées comme étrangères. Un des membres de l’un des bureaux de vote, précisément au niveau du bureau de vote N° 5, s’opposant à ces votants, s’est vu infliger plusieurs gifles. Même l’agent de sécurité de la gendarmerie nationale présent sur les lieux, voulant mettre de l’ordre entre ces partisans, s’est vu mordre le doigt. Cette scène malsaine entache la transparence et la crédibilité du scrutin dans cette zone du septentrion.

    Toute cette échauffourée, il faut le signaler, se passait au vu des délégués de la Cour constitutionnelle qui sont venus surprendre l’incident. La présence d’un huissier de justice commis par une liste adverse n’a pas freiné l’élan des partisans fauteurs de trouble, lesquels étaient déterminés à en découdre avec les membres de ces bureaux de vote.

    Plusieurs autres irrégularités ont également émaillé ce scrutin législatif, notamment au bureau de vote N°4 de Kassa, dans l’arrondissement de Malanville où des affiches de campagne d’un leader politique encore dans la course ont été observées au début du déroulement du vote. Dans le même bureau de vote, au lieu de deux mandataires prévus par la loi, on en dénombre jusqu’à cinq, répondant au nom de la même liste.

    Karimama, ville frontalière ou grand marché électoral

    En matière d’irrégularités, le cas du quartier Tassi-Tégui dans l’arrondissement de Malanville est très patent. Il était aisé de constater que dans presque tous les 24 bureaux de vote que compte cette localité, des bulletins de vote pré-estampillés sont échangés contre des billets de banque près desdits bureaux de vote.  A Karimama, ville frontalière du nord Bénin, un grand marché électoral s’est mis en place de part et d’autre avec de gros camions transportant des humains comme du «bétail».

    A Kandi, on déplore  malheureusement à la fermeture de la campagne des morts suite à une parade orchestrée. Ici, ce sont des véhicules immatriculés au Niger qui ont effectué le transport massif de voyageurs, eux-aussi, venus d’ailleurs prêter main forte. Quelle démocratie? Autant d’irrégularités qui caractérisent cette liste ouvertement ambigüe et responsable de vulgarité rare dans notre processus démocratique.

    La Cour constitutionnelle garante de l’équité, la transparence et la crédibilité de ces élections doit prendre des mesures légales afin d’épargner à notre démocratie toutes pratiques moyenâgeuses discréditant nos institutions républicaines.

     

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    MIGAN S. BRUNO






    Législatives 2011

    02/05/2011 22:46



       
       
     
    Législatives 2011:Une participation faible et des failles dans l’organisation

    Le corps électoral béninois était convié aux urnes samedi dernier pour le compte des législatives de 2011. Un scrutin caractérisé par un absentéisme massif. Plusieurs raisons expliquent ce phénomène, prévisible pour les observateurs.

    Pour une première fois, les Béninois ont été appelés à accomplir leur devoir de citoyen un samedi contrairement aux autres expériences électorales où le vote se faisait le dimanche. Même si une fois déjà les électeurs béninois avaient voté en pleine semaine, bien d’observateurs se posaient la question de savoir si le samedi était bien indiqué pour un vote massif. Et point n’est besoin d’être malin pour répondre par la négation à cette interrogation, du moins en s’inspirant de l’expérience du samedi dernier. Un tour fait par des équipes de notre rédaction dans les bureaux de vote sur toute l’étendue du territoire national nous a permis de constater que les électeurs se sont exceptionnellement fait désirer pour ce scrutin. Ce qui nous aura poussé à recueillir tant au niveau des électeurs qu’au niveau des observateurs et analystes politiques les raisons de ce faible taux de participation des électeurs aux législatives de samedi dernier qui à la limite a pris l’allure d’un boycott. Les raisons à nous évoquées sont de plusieurs et peuvent être regroupées en trois grandes catégories.

    Les raisons subjectives Le dimanche comme jour du vote semble être pour les Béninois une règle. Car le jour choisi pour le vote pose problème, disent les électeurs. En effet, il faudra reconnaitre tout de même que le samedi est une journée, non seulement d’activités intenses pour les particuliers, mais également celle que nombre de Béninois consacrent pour leurs propres affaires. De même le samedi 30 avril dernier a coïncidé avec le jour d’animation de plusieurs marchés sur toute l’étendue du territoire national. Sans plus compter que le jeudi et le vendredi qui ont précédé le samedi, les pluies qui se sont abattues sur les villes du sud ont amené les cultivateurs à se rendre au champ le lendemain.

    Les raisons Politiques Le record d’abstention noté dans la participation des Béninois au scrutin de samedi se justifie également par quelques faits politiques. Au nombre de ces faits figurent les séquelles de la victoire au premier tour de la présidentielle. La démotivation ou du moins le refus des électeurs à accomplir leur devoir de citoyen se veut être l’un des impacts de la crise postélectorale née de la victoire dès le premier tour du président Boni Yayi. Il faudra également voir dans ce qu’on pourrait appeler le boycott des législatives, l’expression du mécontentement des électeurs provoqué par l’écornée image parlementaire laissée par les députés de la cinquième législature. Par ailleurs, la cacophonie des listes de la mouvance, preuve de disparité au sein de la mouvance présidentielle aura plongé certains électeurs dans un embarras, qu’ils n’ont trouvé autre formule que de boycotter le vote.

    Les raisons organisationnelles Encore une fois, les ratés se sont invités au scrutin de samedi dernier. Les nombreux problèmes de listes électorales liés au changement de bureau de vote à certains électeurs, les difficultés de vote par dérogation, le retard accusé dans l’ouverture de certains bureaux de vote, la non qualification des agents de ces bureaux, la centralisation des bureaux de vote et bien d’autres encore sont entre autres les raisons qui justifient le boycott de certains électeurs. De toutes ces raisons, il faille noter que la fondamentale se trouve être le changement des bureaux de vote ; ce qui nécessitait plus d’efforts de la part des électeurs. Le découragement ayant gagné bon nombre, plusieurs électeurs ont dû retourner chez eux sans accomplir leur devoir de citoyen.

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    MIGAN S. BRUNO






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