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       LE JOURNAL  DU PEUPLE
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LE JOURNAL DU PEUPLE

VIP-Blog de migan
  • 44 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 07/11/2010 12:36
    Modifié : 17/10/2014 11:05

    Garçon (38 ans)
    Origine : cotonou BENIN
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    exclusion du législative de 30 avril prochain

    23/04/2011 21:25



    Les Béninois de l’extérieur exclus des législatives du 30 avril


    APA-Cotonou (Bénin) Les Béninois de l’extérieur ne participeront pas aux élections législatives de leur pays prévues le 30 avril prochain, a annoncé lundi soir à Cotonou, le président de la Commission électorale nationale autonome (CENA), Joseph Gnonlounfoun.

    ‘’Quelque 3 629 837 électeurs sans les Béninois de l’extérieur dont nous n’avons pas besoin pour les législatives seront répartis dans 14 422 bureaux de vote en vue de la désignation des 83 députés de la prochaine Assemblée nationale du Bénin’’, a notamment déclaré, le président de la CENA, Joseph Gnonlonfoun.

    S’exprimant au cours d’une conférence de presse, M. Gnonlonfoun a estimé que les institutions en chargent de l’organisation du scrutin législatif ‘’ont pris toutes les dispositions nécessaires’’ pour la bonne tenue du scrutin.

    ‘’La Commission politique de supervision de la liste électorale permanente informatisée (CPS-LEPI et la Mission indépendante pour le recensement national approfondi (MINERA) ont pris toutes les dispositions nécessaires pour distribuer des cartes d’électeurs aux électeurs qui avaient voté par dérogation lors de la présidentielle du 13 mars dernier’’, a-t-il indiqué, soulignant les limites du vote dérogatoire.

    ‘’Les votes par dérogation de la loi du 4 mars 2011 n’auront plus droit de cité. La dérogation sera comprise dans la limite de la loi sur les élections’’, a-t-il précisé.

     

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    MIGAN S. BRUNO






    liste des partis ou alliances de partis politiques enregistrés

    23/04/2011 09:08



    Les membres de la Commission Electorale Nationale Autonome, CENA, ont enregistré à la date de clôture du dépôt des dossiers de candidature le 28 mars 2011, la liste des partis ou alliances de partis politiques postulant pour les élections législatives du 17 avril 2011.

    Voici la liste des partis ou alliances de partis politiques enregistrés :

    1-Mouvement pour le Réveil, la Démocratie et le Développement (MRDD) de Zoumènou Dossa

    2-Force Nouvelle pour la Démocratie et le Développement (FNDD) de Chabi Irani Sanigui

    3-Front d’Action Commun pour l’Emergence d’une Ethique Nouvelle au Bénin (FACEEN-Bénin) de Tossa Cyriaque

    4- Alliance Force dans l’Unité (AFU) d’André Okounlola

    5-Alliance Cauris 2 de Léon Bani Bio Bigou / Etienne Kossi

    6- Alliance Nouvelle Force 2011(ANF-2011)

    7- UDD-Wologuèdè de Isidore Agbogladja

    8-Alliance Nouveau Courage (ANC 2011de Pascal Irenée Koupaki / Luc Bossou

    9- Union Sacrée d’Eveil pour le Développement (USED) d’Abel Cocou Atou

    10- RDL-Vivoten de Sévérin Adjovi

    11- Union pour le Bénin (UB) de Barnabé Dassigli

    12- Union fait la Nation (Un) d’Emmanuel Golou

    13-Alliance G13-Baobab de Valentin Houdé

    14- Alliance Force Espoir-UPR de Salifou Issa

    15- Alliance FRAP de Marcel de Souza

    16-Réveil Patriotique de Janvier Yahouédéou

    17- Forces Cauris pour un Bénin Emergeant de Sacca Lafia

    18-Alliance Amama de Nassirou Bako-Arifari

    19- Parti pour l’Union Républicaine (PUR) de Patrice Hounsou-Guèdè

    20- Mouvement du Bénin pour la Lutte Contre la Pauvreté (MBLCP) de Georges Gansè

    21- Notre Destin Commun (NDC) de Romuald Yamongbè

    22-Nouvelle Alliance Cauris (NAC) de Marcellin Zannou

     

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    MIGAN S. BRUNO






    Les élections législatives du 20 avril

    20/04/2011 11:40



    Les élections législatives du 30 avril prochain font l’objet d’une attention particulière au sein de l’opinion publique. Et pour cause, l’issue favorable de ces échéances électorales pour la mouvance présidentielle constitue la véritable condition pour permettre au Chef de l’Etat, Dr Boni Yayi de concrétiser sa vision de refondation du Bénin.

    Le Président Thomas Boni Yayi

    L’ambitieux projet de refondation du Bénin prôné par le Chef de l’Etat durant sa campagne victorieuse pour l’élection présidentielle du 13 mars dernier est à un tournant important. En effet, les résultats des prochaines élections législatives s’annoncent décisifs pour poser les jalons de la concrétisation de cette vision destinée, selon son promoteur, Dr Boni Yayi à poser les jalons du réel développement du Bénin.

    Ainsi, après un quinquennat à la tête du pays marqué par des obstructions de la majorité parlementaire acquise à l’opposition aux actions entreprises par le régime du Changement et une confrontation permanente avec les députés hostiles à ses projets, tout porte à croire que seule l’obtention d’une majorité stable de députés à la 6ème législature permettra au président réélu de tenir ses promesses vis-à-vis de ses concitoyens.

     Aussi, l’adhésion massive des populations à la vision du premier magistrat à travers l’élection d’une majorité d’au moins cinquante six (56) députés acquis à la cause du Chef de l’Etat à l’occasion du renouvellement des quatre vingt trois (83) élus e l’Assemblée nationale permettra-t-elle d’envisager la mise en œuvre diligente de l’ambition présidentielle.

    Car, Boni Yayi est porteur d’une vision dont le succès résulte de la prochaine configuration politique de la 6ème législature de l’Assemblée nationale. Cela est d’autant plus vrai, selon plusieurs analystes de la vie politique nationale, que les reformes annoncées par le Chef de l’Etat font appel à une forte implication et adhésion des députés pour connaître un aboutissement heureux et se soustraire des craintes de rejet susceptibles de freiner leur mise en œuvre.

    Placé sous le signe des reformes, le quinquennat de Boni Yayi II sera ainsi marqué d’un sceau particulier par la reforme de la Constitution du 11 décembre 1990 en vue de renforcer l’unité nationale et le modèle démocratique Béninois. Il s’agira en effet de réformer la loi fondamentale en vue de garantir la paix sociale, la stabilité des institutions, la permanence et la souveraineté de l’Etat.Car, si elle suscite le respect et l’admiration dans la sous-région et en Afrique, la constitution n’est pas sans failles ; toute chose qui impose sa révision pour préserver les acquis de l’ère du renouveau démocratique enclenché à l’issue de la conférence nationale de février 1990.

    Dans son engagement de faire de la Constitution l’un des piliers de la démocratie béninoise, Boni Yayi prend cependant l’engagement, aux yeux de ses compatriotes et de la communauté internationale de maintenir les dispositions limitatives du nombre de mandats du Président de la République et de l’âge pour être candidat à la magistrature suprême.

    Selon lui, la réforme proposée au peuple béninois vise à assurer la permanence de la démocratie et de la moralisation de la vie publique, élargir les bases de la souveraineté nationale ainsi qu’à stabiliser la configuration politique de l’Assemblée Nationale pour prévenir le phénomène de transhumance. La mise en œuvre diligente de cette reforme aboutira, selon son promoteur, à redéfinir les critères d’éligibilité des députés et l’immunité parlementaire afin que d’ôter à l’Assemblée Nationale le manteau de refuge à des citoyens en conflit avec la loi.

    En outre, en révisant après vingt ans d’existence la constitution du 11 décembre 1990, l’une des plus stables en Afrique de l’Ouest, Boni Yayi ambitionne d’assainir et de moderniser le système électoral en mettant en place un nouveau code électoral stable éliminant la transhumance politique, l’instabilité institutionnelle et compatible avec les moyens de l’l’Etat. Il s’agira de même de rendre opérationnelle la Haute cour de justice et de constitutionnaliser le Statut de l’opposition en vue de créer les conditions d’une véritable animation de la vie politique nationale.

    Ce processus de constitutionnalisation s’étendra à cette occasion à la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) et le médiateur de la République afin de garantir le fonctionnement harmonieux des Institutions de la République dans le respect des prérogatives et des compétences qui leur sont dévolues. Dans son ambition de refonder le Bénin, Boni Yayi accorde une place de choix à l’égalité entre les sexes. Ainsi, selon son engagement, la reforme de la constitution permettra d’instituer le principe de la parité absolue entre l’homme et la femme dans les fonctions électives.

    Dès lors, pour la matérialisation de ces ambitions destinées à sortir le Bénin de l’ornière, Boni Yayi invite ses compatriotes à lui offrir une majorité stable de députés susceptibles de soutenir sa vision durant son second et dernier quinquennat à la tête du pays. Il va alors s’en dire que l’adhésion populaire aux listes défendant les couleurs de la mouvance présidentielle apparaît comme le gage d’une mise en œuvre diligente du processus de refondation du Bénin et la clé pour « ouvrir la valise de la prospérité » annoncée par le président réélu.

     

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    MIGAN S. BRUNO






    Haro sur les violences faites aux journalistes

    13/04/2011 10:05



      
     

    Haro sur les violences faites aux journalistes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les journalistes du Bénin sont descendus hier dans les rues  de  Cotonou. Ils protestent contre les violences faites, ces derniers  temps, notamment pendant la période de l’élection présidentielle, sur deux journalistes, à savoir Seïdou Choubadé du quotidien  Le Nokoué et Bachola Moustapha, du quotidien «Les Scoops du jour». Ce dernier aurait été molesté par un garde de corps du président de l’Assemblée nationale. Seïdou Choubade a été, quant à lui,  bastonné par les policiers lors de la marche de protestation des militants de l’opposition contre les fraudes orchestrées au cours du scrutin du 13 Mars 2011. Lancée au  Hall des arts de Cotonou,  la marche s’est dirigée premièrement vers  le siège de la  Haute autorité de l’audiovisuelle et de la communication (Haac). La motion de protestation a été lue à cette première escale,  par le président Brice Houssou,  de l’Union des professionnels des médias du Bénin (Upmb). La motion exige le respect du professionnel des médias dans l’exercice de sa profession.  Normalement, déclare Brice Houssou, les agents de forces de l’ordre sur le terrain doivent travailler en complémentarité  avec les journalistes. Il dénonce vertement les violences faites aux journalistes et invite les policiers à respecter la constitution du  Bénin ; car c’est elle qui garantit, souligne-t-il, la liberté de presse.  Les manifestants ont fait une deuxième escale au ministère de la communication et enfin au ministère de l’intérieur.  Mais ici,  les entrées du ministère ont été barricadées  par  un  contingent impressionnant de policiers débarqués pour empêcher les journalistes d’entrer à l’intérieur de l’institution. C’est sur la route, que le directeur du cabinet du ministre de l’intérieur est venu prendre la motion.

     

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    MIGAN S. BRUNO







    la loi contre la transhumance

    11/04/2011 15:50



    La loi contre la transhumance: le jeu piège de Yayi













    Dans son discours d’investiture, le Président de la République s’est engagé à opérer des réformes. L’une d’elles «portera sur un nouveau code électoral qui élimine la transhumance politique». L’idée en elle-même est en phase avec les attentes des Béninois qui ont vu et déploré les torts causés par la transhumance politique. Mais encore faudra-t-il éviter de tomber dans les travers d’une loi qui pourra servir les intérêts du pouvoir. En termes simples, la transhumance politique, c’est le changement de sa veste en fonction des aléas de la saison politique. Certaines contingences poussent un élu (il s’agit souvent des députés) à apporter son soutien ou son adhésion à une décision contraire à celle défendue par le groupe politique auquel il appartient. Le phénomène atteint son point culminant lorsque le député qui est élu sur une liste bien précise et sur la base d’un programme bien défini démissionne, en cours de législature, de son groupe politique et entraine de fait l’affaiblissement de son camp d’origine.

     

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    MIGAN S. BRUNO






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