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Boni Yayi officiellement investi président
07/04/2011 22:47


L'ancien Président de la république et son épouse

Les membres de la cour constitutionnelle

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Insécurité à Pobè
05/04/2011 01:53
Insécurité à Pobè
Un malfrat abattu, une arme de guerre et des munitions saisies
La brigade de la compagnie de gendarmerie de Pobè appuyée par les frères d'armes du Groupement d'intervention de la gendarmerie nationale (Gign), a mené une opération coup de point la nuit du vendredi 1er avril dernier à Pobè. Une opération qui s'est soldée par l'arrestation d'un malfrat, et d'importants matériels de vol saisis.
C'est aux environs de 20 heures ce vendredi 1er avril 2011 que le réseau des malfrats aurait été démantelé dans la palmeraie de l'Institut de recherches des huiles et oléagineux (Irho), de Pobè. Le bilan dans le camp des bandits, révèle un mort et plusieurs blessés graves, qui ont réussi, malgré leur état critique, à prendre la clé des champs. Le corps de ce malfrat abattu, a été présenté ce samedi matin aux hommes des médias, dans la cour du groupement régional sud, à Porto-Novo. A en croire le lieutenant Abdon Koudoro, commandant de la compagnie de gendarmerie de Pobè, " effectivement hier, aux environs de 20 heures, la compagnie de gendarmerie de Pobè a reçu des renseignements faisant état de ce qu'un braquage se préparait dans sa zone. Appuyée des éléments du Gign, la compagnie s'est rendue automatiquement sur les lieux, où elle a pu appréhender un malfrat qui détenait sur lui, une AKM et deux chargeurs, garnis de vingt cartouches chacun ". Selon le commandant, " ce malfrat nous indiquait que le reste de la bande, se trouvait dans une palmeraie à Pobè. Aussitôt, l'équipe de la compagnie s'est rendue dans la palmeraie, pour appréhender le reste de la bande. Au cours
Insécurité à Pobè
Un malfrat abattu, une arme de guerre et des munitions saisies
La brigade de la compagnie de gendarmerie de Pobè appuyée par les frères d'armes du Groupement d'intervention de la gendarmerie nationale (Gign), a mené une opération coup de point la nuit du vendredi 1er avril dernier à Pobè. Une opération qui s'est soldée par l'arrestation d'un malfrat, et d'importants matériels de vol saisis.
C'est aux environs de 20 heures ce vendredi 1er avril 2011 que le réseau des malfrats aurait été démantelé dans la palmeraie de l'Institut de recherches des huiles et oléagineux (Irho), de Pobè. Le bilan dans le camp des bandits, révèle un mort et plusieurs blessés graves, qui ont réussi, malgré leur état critique, à prendre la clé des champs. Le corps de ce malfrat abattu, a été présenté ce samedi matin aux hommes des médias, dans la cour du groupement régional sud, à Porto-Novo. A en croire le lieutenant Abdon Koudoro, commandant de la compagnie de gendarmerie de Pobè, " effectivement hier, aux environs de 20 heures, la compagnie de gendarmerie de Pobè a reçu des renseignements faisant état de ce qu'un braquage se préparait dans sa zone. Appuyée des éléments du Gign, la compagnie s'est rendue automatiquement sur les lieux, où elle a pu appréhender un malfrat qui détenait sur lui, une AKM et deux chargeurs, garnis de vingt cartouches chacun ". Selon le commandant, " ce malfrat nous indiquait que le reste de la bande, se trouvait dans une palmeraie à Pobè. Aussitôt, l'équipe de la compagnie s'est rendue dans la palmeraie, pour appréhender le reste de la bande. Au cours de notre conduite, nous avons essuyé des coups de feu, et nous avons riposté automatiquement. Profitant de cette situation, le malfrat appréhendé avec une AKM et qui nous servait de guide a pris la clé des champs. Et malgré les sommations à lui faite, l'intéressé ne s'est pas arrêté ". Face à cet état de chose, il a déclaré que " nous nous sommes trouvés dans l'obligation de faire usage de notre arme. Malheureusement pour lui, il a succombé dès suite de ses blessures ". Le malfrat qui a été abattu les armes à la main, n'était pas seul. Aussi, ajoute-t-il que d'autres parmi eux sont blessés et sont en cavale. de notre conduite, nous avons essuyé des coups de feu, et nous avons riposté automatiquement. Profitant de cette situation, le malfrat appréhendé avec une AKM et qui nous servait de guide a pris la clé des champs. Et malgré les sommations à lui faite, l'intéressé ne s'est pas arrêté ". Face à cet état de chose, il a déclaré que " nous nous sommes trouvés dans l'obligation de faire usage de notre arme. Malheureusement pour lui, il a succombé dès suite de ses blessures ". Le malfrat qui a été abattu les armes à la main, n'était pas seul. Aussi, ajoute-t-il que d'autres parmi eux sont blessés et sont en cavale.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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Sortie médiatique du candidat unique de L'UN
05/04/2011 01:25
48 heures après la proclamation des résultats définitifs du scrutin présidentiel du 13 mars 2011, le candidat unique de l’Union fait la Nation, principal parti d’opposition au Bénin a effectué une sortie médiatique. Une déclaration de presse dont la teneur se résume à la confirmation de sa déclaration du 21 mars dernier. C’était dans les résidences Laico, non loin de l’Aéroport international Bernardin Cardinal Gantin de Cotonou.
L’Union fait la Nation n’accepte pas le verdict final de la cour concernant le scrutin présidentiel du 13 mars 2011, proclamant Boni Yayi vainqueur. Elle a tenu à le faire savoir à l’opinion publique nationale et internationale hier à travers une déclaration médiatique lue par son candidat Adrien Houngbédji. ‘’ L’Union fait la Nation et son candidat que j’ai été, confirment leur rejet, et expriment leur solidarité avec le peuple spolié’’ a-t-il déclaré. Pour Adrien Houngbédji, il s’agit aujourd’hui d’œuvrer pour l’enracinement de la démocratie et de l’Etat de droit au Bénin. Et c’est cela son engagement car, ‘’ Mon ambition principale a toujours été de servir une cause, celle de l’instauration et de la consolidation de l’Etat de droit et de la démocratie dans notre pays ; et non de briguer un poste’’ a-t-il laissé entendre. Une manière pour lui, de répondre à ceux qui le tassent d’assoiffer de pouvoir ou de vouloir à tout prix être président de la République. Il déplore également les violences qu’on note actuellement dans le pays. Des faits qui selon lui, loin d’être un épiphénomène, traduisent dans une certaine mesure, un malaise dans le système démocratique béninois. Il n’a pas manqué aussi de dénoncer les perturbations répétées et périodiques que connaît depuis peu la Radio France internationale (Rfi) dès lors qu’on y annonce un débat qui concerne le Bénin. Il a pour finir, appelé la communauté internationale au discernement car déclare-t-il, ‘’le peuple béninois a aussi droit à des élections conformes aux règles’’, avant de remercier tous ceux et celles qui lui ont accordé leurs suffrages.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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LE CANDIDAT UN
20/03/2011 13:03
Marche des militants UN à Porto-Novo pour «fêter la victoire» de leur leader : Pressions et chantages sur la Cena et la Cour
Vendredi, 18 mars 2011
Me Adrien Houngbédji, candidat unique de l’Union fait la nation (Un) à la présidentielle 2011, déverse ses militants dans la rue. Hier, ils étaient des milliers à battre le macadam à Porto-Novo pour « fêter sa victoire ». Plusieurs rues ont été bloquées pendant plusieurs heures. Pour les manifestants, leur candidat a obtenu 46% des suffrages exprimés. «Le second tour est inévitable », conclut l’un des manifestants. Après Porto-Novo, annonce-t-il, d’autres villes favorables à Houngbédji seront soulevées contre le régime en place pour empêcher le «holdup électoral», qui, selon lui, se prépare. Visiblement, les militants de l’Un sont décidés à contester les résultats officiels, s’ils ne vont pas en leur faveur. Les couleurs viennent ainsi d’être annoncées, puisqu’ils se disent «grand vainqueur». «Nous ne nous laisserons pas faire », prévient Houngbédji, à l’issue d’un tête-à-tête avec le candidat Issa Salifou, arrivé en 4ème position, selon les grandes tendances provisoires et partielles.
Au regard de ces agissements politiciens, il convient de se poser des questions quant aux réelles intentions de Houngbédji. A-t-il besoin de faire descendre ses partisans dans la rue avant de se faire entendre? Pourquoi est-il pressé ? Que cachent ses déclarations offensives de ces derniers jours ? Veut-il faire pression sur la Cena et/ou la Cour Constitutionnelle ? Si oui, à quelle fin ? Bref, pourquoi ne peut-il pas attendre les résultats de la Cena et de la Cour Constitutionnelle avant de réagir ? Voilà autant d’interrogations majeures qui trottinent dans les méninges. La loi électorale a prévu les voies de recours. Si éventuellement il y avait des fraudes, la Cour est là pour statuer. En tant qu’avocat de haut niveau, Me Adrien Houngbédji ferait mieux de patienter un peu. Il a tout le temps devant lui pour déposer éventuellement des recours à la Cour. Il n’est donc pas obligé de faire des agitations stériles et d’annoncer à tout bout de champ qu’il a gagné. A l’allure où vont désormais les choses, tout porte à croire que Me Adrien Houngbédji n’a pas encore dit son dernier mot. Mais il est appelé à la patience et à plus de responsabilité. Le Bénin traverse une période très sensible et il faut qu’il évite de faire déverser ses partisans dans la rue. La rue ne règle pas les problèmes, encore qu’aucun problème n’existe encore. Houngbédji ne doit pas avoir peur des résultats de la Cena et de la Cour. La vérité est dans les urnes.
On sait quand les conflits commencent mais jamais la fin. Alors, il faut qu’il ramène la balle à terre.
Les concitoyens sont appelés au calme dans l’attente des résultats. La démocratie est le bien le plus précieux que les sages et les âges nous ont laissée en héritage. Quelques uns parmi nos concitoyens ont l’onction de décider de ce qu’il adviendra, et de ce trésor, et de notre sort. Gageons et prions qu’ils n’en ruinent pas les vertus. Les dirigeants de la Cena et de la Cour sont suffisamment responsables pour ne pas se laisser distraire.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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MARTIAL SOUNTON
18/03/2011 21:11

Dans l’attente de l’annonce par la Commission électorale nationale autonome (Céna) des premières grandes tendances des résultats de l’élection présidentielle du 13 mars 2011, certains acteurs politiques ont choisi la voie de l’affrontement et de la violence en proférant diverses menaces par des propos belliqueux. Sous la houlette de l’Union fait la Nation, des milliers de manifestants ont tenté d’assiéger la Céna, mercredi dernier, avant de buter contre le cordon sécuritaire mis en place pour veiller à la sécurité aussi bien des matériels électoraux qu’à l’intégrité physique des onze membres de la Céna. Face donc aux menaces que de tels acteurs politiques font peser sur la paix sociale et l’ordre public, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique a dû prendre ses responsabilités. A travers l’arrêté n°034/MISP/DC/SGM/DGPN/SA du 17 mars 2011, l’autorité invite les forces de sécurité à prendre toutes sortes de disposition pour éviter toute manifestation publique susceptible de mettre en péril la paix et la stabilité. Ainsi à compter du jeudi 17 mars à minuit, Toutes les manifestations et réunions publiques, tous les attroupements sur les voies et places publiques, liés au processus électoral en cours et susceptibles de troubler l’ordre public sont interdits sur toute l’étendue du territoire national pour des raisons de sécurité.
COMMUNIQUE
Le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique communique :
Dans le cadre du processus électoral en cours dans notre pays, le Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique a pris l’arrêté N°034/MISP/DC/SGM/DGPN/SA du 17 mars 2011 dont la teneur suit :
« Article 1er : Toutes les manifestations et réunions publiques, tous les attroupements sur les voies et places publiques, liés au processus électoral en cours et susceptibles de troubler l’ordre public sont interdits sur toute l’étendue du territoire national pour des raisons de sécurité.
Article 2 : Les Préfets de Départements et les Directeurs Généraux de la Police et de la Gendarmerie Nationales sont chargés de veiller à l’application rigoureuse du présent arrêté qui prend effet pour compter de sa date de signature et sera publié partout où besoin sera. »
Signé Martial SOUNTON, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique
Fait à Cotonou, le 17 mars 2011
Le Directeur de Cabinet
Ibrahïma Abassi ALE Inspecteur Général de Police
Reporter
MIGAN S BRUNO
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