|
[ Actualités international ] [ CINEMA ] [ Art ] [ tourisme ] [ Agriculture ] [ Santés ] [ Business et telecommunication ] [ Politique / Divers ] [ Culture ] [ social ] [ Sport International ] [ environnement ]
|
|
|
|
la delegation burundaise
21/04/2011 18:37
COMMUNICATION |
|
La délégation burundaise a été conduite au cabinet du président Ali Zato par Madame Vestine Nahamana, présidente de l’institution. Après l’audience avec M. Zato, les conseillers burundais ont tenu une rencontre avec leurs homologues béninois. Selon Mme Nahamana, l’objectif de la visite était de s’imprégner de l’expérience béninoise en matière de régulation du secteur de l’audiovisuel et de la presse dans son ensemble. Elle s’est dite particulièrement satisfaite des échanges et a souhaité que les relations entre les deux institutions se pérennisent et aillent en s’améliorant. Le Conseil National de la Communication du Burundi se trouve être l’équivalent de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (Haac) au Bénin.
Reporter MIGAN S. BRUNO |
| |
|
|
|
|
|
|
|
cas de corruption à la Commission européenne
20/04/2011 20:20
Agriculture: un cas de corruption à la Commission européenne bientôt jugé
Une affaire de corruption présumée au sein de la Commission européenne, impliquant notamment un ancien fonctionnaire néerlandais et un lobbyiste ayant travaillé pour un syndicat agricole français, sera bientôt jugée à Bruxelles, a indiqué mercredi une source judiciaire belge.
"La date du procès sera bientôt fixée", a déclaré cette source à l'AFP, confirmant des informations de la radio France Inter.
L'affaire a démarré il y a déjà plus de dix ans. Une juridiction d'instruction belge, la chambre du conseil de Bruxelles, a renvoyé le 11 janvier en correctionnelle 12 personnes et trois sociétés impliquées dans ce dossier, selon la radio publique française.
Selon l'enquête ouverte en 2001 par le juge d'instruction bruxellois Jean-Claude Van Espen, un fonctionnaire de la direction générale de l'agriculture, le Néerlandais Karel Brus, est accusé d'avoir fourni à un lobbyiste français, Jean-Jacques Vies, des informations confidentielles concernant la Politique agricole commune (PAC) de l'UE.
Le fonctionnaire, qui a depuis quitté la Commission, aurait en échange reçu de la part de nombreux cadeaux, dont "plusieurs nuits dans des hôtels parisiens", "de très nombreux déjeuners ou dîners dans des restaurants ou des bars à hôtesses", ainsi que 2.250 euros en liquide, selon un rapport du parquet fédéral belge cité par la radio française.
Jean-Jacques Vies, qui a été aussi renvoyé en correctionnelle, était employé à partir de 1987 à Bruxelles par le Syndicat national pour l'expansion de la coopération agricole (Syncopex), dont l'adhérent principal est l'Union Invivo, premier groupe coopératif agricole français, selon la même source.
Les informations "privilégiées" qu'il recueillait concernaient notamment les fluctuations des marchés agricoles, ce qui permettaient aux exportateurs français de "remporter des marchés", a expliqué M. Vies aux enquêteurs, selon France Inter.
"C'est une affaire très sensible, suivie de très près à la Commission. On attend avec une certaine appréhension ce qui va être décidé", a expliqué une source proche de l'exécutif européen à l'AFP.
Elle survient alors qu'une autre institution européenne, le Parlement, a entrepris de faire le ménage dans les relations entre ses élus et les groupes de pression à la suite d'un scandale de corruption de députés révélé par l'hebdomadaire Sunday Times.
Le Français, âgé de 56 ans et ancien du Service central de la répression des fraudes, a été placé trois mois en détention préventive après son interpellation en octobre 2003.
Les responsables de Syncopex et d'Union Invivo ont assuré avoir ignoré qu'il s'agissait de documents confidentiels et que Jean-Jacques Vies agissait de sa propre initiative.
Six responsables d'Union Invivo ont toutefois été renvoyés devant le tribunal correctionnel, tout comme deux sociétés néerlandaises, Codrico et Glencore Grain Rotterdam, qui sont accusées d'avoir corrompu le même fonctionnaire que M. Vies.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
| |
|
|
|
|
|
|
|
rejet du scrutin au Nig�ria
20/04/2011 20:17

Nigeria: le rival du pr�sident rejette le scrutin mais condamne les violences �meutes � Bauchi, dans le nord du Nigeria, le 18 avril 2011 Le candidat malheureux � la pr�sidentielle au Nigeria, Muhammadu Buhari, a rejet� mercredi les r�sultats � cause de graves fraudes dans le Sud chr�tien, mais a exig� la fin des �meutes post�lectorales meurtri�res dans le Nord musulman, qui ont provoqu� la fuite d'au moins 40.000 personnes. Principal candidat de l'opposition, M. Buhari, un musulman, est arriv� second avec 31 % des voix derri�re le pr�sident sortant, Goodluck Jonathan, un chr�tien du Sud, qui a �t� proclam� vainqueur du scrutin de samedi avec 57 % par la Commission �lectorale nationale ind�pendante. Dans la r�gion du delta du Niger, le Sud p�trolif�re � majorit� chr�tien, "et dans le sud-est il n'y a pas eu (vraiment) d'�lections et nos partisans n'ont pas �t� autoris�s � voter", a d�clar� le g�n�ral Buhari, qui dirigea la junte militaire en 1984 et 1985, sur les ondes de la Voix de l'Amerique (VOA). De fait plusieurs Etats du Sud ont annonc� des r�sultats allant de 95 % � plus de 99% des voix en faveur de M. Jonathan. M. Buhari a cependant condamn�, comme la veille, les �meutes meurtri�res qui avaient commenc� dimanche soir: "je demande instamment aux gens de se calmer et de respecter la loi car nous nous adressons (� la Commission �lectorale) afin d'obtenir justice", a-t-il dit dans une �mission en langue haoussa. Dans l'Etat de Kaduna (centre-nord), un responsable religieux a parl� sur une radio locale "de massacres incroyable et de destructions colossales". Le bilan des �meutes est tenu secret par les autorit�s qui disent vouloir �viter des repr�sailles, et ne pouvoir �tre pr�cis parce que de nombreux corps ont �t� br�l�s sans qu'on puisse les reconna�tre ou bien ont �t� jet�s dans des puits. La Croix-Rouge mentionne de "nombreux morts": "Le nombre des d�plac�s a grimp� � 39.700 et le nombre des personnes bless�es est pass� � 410", a d�clar� mercredi � l'AFP un responsable de la Croix-Rouge, Umar Abdul Mairiga. D'apr�s un porte-parole de l'agence de s�ret� civile, la distribution d'aide est acc�l�r�e apr�s des plaintes de la Croix-Rouge. Les �meutes ont affect� 14 des 36 Etats, notamment ceux de Kano, Kaduna, Sokoto: des manifestants musulmans ont y br�l� des commerces, des �glises et des maisons, faisant plusieurs morts, selon un responsable nig�rian de la s�curit�. On a vu des foules de gens en col�re, arm�es de machettes et de gourdins, sortir des gens de leurs voitures pour les attaquer ou incendier des maisons, provoquant ensuite des repr�sailles de chr�tiens. Parfois l'initiative des violences est attribu�e � ces derniers qui ont br�l� des mosqu�es. Les personnes d�plac�es par les troubles sont h�berg�es dans des casernes de l'arm�e ou de la police. Le pr�sident Jonathan a appel� mardi "les chefs politiques et religieux � condamner ces actes afin que notre pays connaisse un d�veloppement � la place de la destruction". Selon lui, la plupart des �meutiers sont des "jeunes au ch�mage" manipul�s et que le gouvernement va aider. Goodluck Jonathan, 53 ans, qui �tait vice-pr�sident, est devenu chef de l'Etat en mai 2010 au d�c�s de son pr�d�cesseur musulman Umaru Yar'Adua. Dans le Nord, beaucoup consid�raient, avant le scrutin, que sa confirmation serait une entorse � la rotation traditionnelle du pouvoir entre Nord et Sud au sein du parti dominant le PDP (parti populaire d�mocratique). L'�lection, selon les observateurs, a sembl� dans l'ensemble plus honn�te et transparente que les pr�c�dentes au Nigeria mais les r�sultats anormalement �lev�s en faveur de M. Jonathan dans plusieurs Etats du Sud ont sem� le doute. Les Etats-Unis ont f�licit� mardi soir M. Jonathan pour sa victoire et demand� le respect des r�sultats du scrutin. La proclamation des r�sultats n'a fait qu'attiser les rivalit�s traditionnelles religieuses et ethniques entre le Nord et le Sud: ainsi dans la r�gion de Jos (centre), les heurts entre musulmans et chr�tiens ont fait plusieurs centaines de morts ces derni�res ann�es.
Reporter MIGAN S. BRUNO
| |
|
|
|
|
|
|
|
t�l�communication
20/04/2011 14:46
La salle de conf�rence de B�nin T�l�coms Sa a servi de cadre, au lancement officiel de l��cole Sup�rieure des T�l�coms au B�nin (ESTB). En effet, c�est le centre de formation professionnelle des PTT du B�nin qui est devenu l�ESTB. A travers l�ouverture de cette �cole, les apprenant auront droits a l�ouverture des classes pr�paratoires aux grandes �coles d�ing�nieur par B�nin T�l�coms et son centre de formation professionnelle en partenariat avec EH-EDUC�ACTION. Au cours de cette conf�rence de presse, �taient pr�sent les Bacheliers titulaires d�un BAC Scientifique, les dirigeants de l�entreprise et bien �videmment les professionnelles des m�dias. Voici le Mot du Directeur de B�nin T�l�coms SA L�av�nement de la soci�t� d�information induit une demande accrue de cadres et d�ing�nieurs qualifi�s et comp�tents form�s dans des �tablissements d�enseignement sup�rieur sp�cialis�s. Le B�nin et l�Afrique subsaharienne manquent cruellement d��coles d�ing�nieur des t�l�communications. Vous appr�ciez nos DTS (BAC+2) form�s au CFP-T de B�nin T�l�coms ! Les entreprises qui recrutent nos laur�ats les appr�cient encore plus. Avec vous, nous allons faire les deux petits pas suppl�mentaires qui manquent : 1. Le centre de formation professionnelle (CFP-T) se transforme. Il devient l�Ecole Sup�rieure des T�l�communications du B�nin (ESTB), une institution universitaire de haut niveau qui se veut �tre un centre d�excellence et de r�f�rence au B�nin et dans la sous r�gion. L�ESTB recrutera � BAC +2 et formera des ing�nieurs de niveau BAC + 5 aux meilleurs standards internationaux. Elle participera � terme au d�veloppement de la recherche appliqu�e. 2. S�inscrire dans les grandes �coles d�ing�nieurs ! il faut s�y pr�parer. Int�grer d�s la rentr�e 2009-2010 les Classes Pr�paratoires aux grandes d�Ing�nieur, Pr�pa-Ing. Ce cycle de 2 ans vous permet d�acc�der sans concours � l�ESTB et � ses �coles partenaires � l��tranger, et avec concours aux autres �coles. Tel est le d�fi que nous rel�verons ensemble. Patrick BENON DG B�nin T�l�coms Encadre Pr�sentation du cycle Pr�pa Ing L�Ecole Sup�rieure des T�l�communications du B�nin (EST-B) Ex-Centre de Formation Professionnel des Postes et T�l�communications (CFP-PT) Le premier cycle de l�EST-B, Pr�pa Ing, dure 2 ans � Inscription sur dossier et entretien � Les demandes d�inscription sont re�ues tout le mois d�Avril � Entretien d�admission apr�s le BAC Les possibilit�s � l�issue de Pr�pa Ing : � Admission directe sur titre en cycle Ing�nieur de l�EST-B � Admission sur titre (sans concours) au cycle Ing�nieur dans les �coles partenaires de l�EST-B � Admission sur concours (CPGE ou autres) dans les autres �coles Reporter MIGAN S. BRUNO
| |
|
|
|
|
|
|
|
Les élections législatives du 20 avril
20/04/2011 11:40
Les élections législatives du 30 avril prochain font l’objet d’une attention particulière au sein de l’opinion publique. Et pour cause, l’issue favorable de ces échéances électorales pour la mouvance présidentielle constitue la véritable condition pour permettre au Chef de l’Etat, Dr Boni Yayi de concrétiser sa vision de refondation du Bénin.
Le Président Thomas Boni Yayi
L’ambitieux projet de refondation du Bénin prôné par le Chef de l’Etat durant sa campagne victorieuse pour l’élection présidentielle du 13 mars dernier est à un tournant important. En effet, les résultats des prochaines élections législatives s’annoncent décisifs pour poser les jalons de la concrétisation de cette vision destinée, selon son promoteur, Dr Boni Yayi à poser les jalons du réel développement du Bénin.
Ainsi, après un quinquennat à la tête du pays marqué par des obstructions de la majorité parlementaire acquise à l’opposition aux actions entreprises par le régime du Changement et une confrontation permanente avec les députés hostiles à ses projets, tout porte à croire que seule l’obtention d’une majorité stable de députés à la 6ème législature permettra au président réélu de tenir ses promesses vis-à-vis de ses concitoyens.
Aussi, l’adhésion massive des populations à la vision du premier magistrat à travers l’élection d’une majorité d’au moins cinquante six (56) députés acquis à la cause du Chef de l’Etat à l’occasion du renouvellement des quatre vingt trois (83) élus e l’Assemblée nationale permettra-t-elle d’envisager la mise en œuvre diligente de l’ambition présidentielle.
Car, Boni Yayi est porteur d’une vision dont le succès résulte de la prochaine configuration politique de la 6ème législature de l’Assemblée nationale. Cela est d’autant plus vrai, selon plusieurs analystes de la vie politique nationale, que les reformes annoncées par le Chef de l’Etat font appel à une forte implication et adhésion des députés pour connaître un aboutissement heureux et se soustraire des craintes de rejet susceptibles de freiner leur mise en œuvre.
Placé sous le signe des reformes, le quinquennat de Boni Yayi II sera ainsi marqué d’un sceau particulier par la reforme de la Constitution du 11 décembre 1990 en vue de renforcer l’unité nationale et le modèle démocratique Béninois. Il s’agira en effet de réformer la loi fondamentale en vue de garantir la paix sociale, la stabilité des institutions, la permanence et la souveraineté de l’Etat.Car, si elle suscite le respect et l’admiration dans la sous-région et en Afrique, la constitution n’est pas sans failles ; toute chose qui impose sa révision pour préserver les acquis de l’ère du renouveau démocratique enclenché à l’issue de la conférence nationale de février 1990.
Dans son engagement de faire de la Constitution l’un des piliers de la démocratie béninoise, Boni Yayi prend cependant l’engagement, aux yeux de ses compatriotes et de la communauté internationale de maintenir les dispositions limitatives du nombre de mandats du Président de la République et de l’âge pour être candidat à la magistrature suprême.
Selon lui, la réforme proposée au peuple béninois vise à assurer la permanence de la démocratie et de la moralisation de la vie publique, élargir les bases de la souveraineté nationale ainsi qu’à stabiliser la configuration politique de l’Assemblée Nationale pour prévenir le phénomène de transhumance. La mise en œuvre diligente de cette reforme aboutira, selon son promoteur, à redéfinir les critères d’éligibilité des députés et l’immunité parlementaire afin que d’ôter à l’Assemblée Nationale le manteau de refuge à des citoyens en conflit avec la loi.
En outre, en révisant après vingt ans d’existence la constitution du 11 décembre 1990, l’une des plus stables en Afrique de l’Ouest, Boni Yayi ambitionne d’assainir et de moderniser le système électoral en mettant en place un nouveau code électoral stable éliminant la transhumance politique, l’instabilité institutionnelle et compatible avec les moyens de l’l’Etat. Il s’agira de même de rendre opérationnelle la Haute cour de justice et de constitutionnaliser le Statut de l’opposition en vue de créer les conditions d’une véritable animation de la vie politique nationale.
Ce processus de constitutionnalisation s’étendra à cette occasion à la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) et le médiateur de la République afin de garantir le fonctionnement harmonieux des Institutions de la République dans le respect des prérogatives et des compétences qui leur sont dévolues. Dans son ambition de refonder le Bénin, Boni Yayi accorde une place de choix à l’égalité entre les sexes. Ainsi, selon son engagement, la reforme de la constitution permettra d’instituer le principe de la parité absolue entre l’homme et la femme dans les fonctions électives.
Dès lors, pour la matérialisation de ces ambitions destinées à sortir le Bénin de l’ornière, Boni Yayi invite ses compatriotes à lui offrir une majorité stable de députés susceptibles de soutenir sa vision durant son second et dernier quinquennat à la tête du pays. Il va alors s’en dire que l’adhésion populaire aux listes défendant les couleurs de la mouvance présidentielle apparaît comme le gage d’une mise en œuvre diligente du processus de refondation du Bénin et la clé pour « ouvrir la valise de la prospérité » annoncée par le président réélu.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
| |
|
|
|
|