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       LE JOURNAL  DU PEUPLE
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LE JOURNAL DU PEUPLE

VIP-Blog de migan
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  • Créé le : 07/11/2010 12:36
    Modifié : 17/10/2014 11:05

    Garçon (38 ans)
    Origine : cotonou BENIN
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    Bénin boxe amateur 2011

    28/04/2011 22:20



    Championnat d’Afrique de boxe amateur 2011: Six Béninois attendus au Cameroun

    Le Bénin prendra part au Championnat d’Afrique de boxe amateur 2011 prévu en juillet à Yaoundé (Cameroun). Shafiq Chitou, boursier de l’Association international de boxe amateur (Aiba) d’Istanbul (Turquie), directement qualifié, et cinq autres pugilistes, qui viennent d’obtenir leurs tickets qualificatifs au tournoi de la zone 2 à Lomé (Togo), seront les ambassadeurs du Bénin à cette compétition continentale.

    Roberto Adjaho (56 kg, médaillé d’or), Franck Amoussou (64 kg, médaillé de bronze), Wali Imorou (49 kg, médaillé de bronze), Fataou Garadima (81 kg) et Raoul Adjaho (52 kg, médaillé d’argent) sont donc très attendus. « Le Bénin a fait une participation honorable au vu des résultats enregistrés. Nous avons engagé huit athlètes et nous avons eu cinq qualifiés. C’est déjà encourageant puisque nous pensons désormais à la relève », a fait savoir le président de la Fédération béninoise de boxe (Fbb), Espérant Nouraïs. Le Championnat de boxe amateur de la zone 2 s’est déroulé du 19 au 23 avril 2011 et a réuni le Togo, le Burkina Faso, la Gambie, le Sénégal, le Ghana et le Bénin.

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    MIGAN S. BRUNO






    Athlétisme, Grand prix CAA de Bamako

    28/04/2011 22:16



    Athlétisme, Grand prix CAA de Bamako : MALGRÉ LA CRISE...

    Le meeting a enregistré cette année la participation de 71 athlètes venus de 10 pays d’Afrique

    La 12è édition du grand prix CAA de Bamako s’est disputé mardi dernier au stade Modibo Keïta. La compétition était présidée par le ministre de la Jeunesse et des Sports, Djiguiba Keïta, en présence de plusieurs personnalités dont le ministre délégué auprès du ministère de l’Administration Territoriale et des Collectivités Locales chargé de la Décentralisation, David Sagara, la déléguée technique de la CAA, Mme Koné Fatou Souko dite Sissoko, le président du Comité national olympique et sportif, Habib Sissoko et le parrain du meeting, Adama Sangaré maire du District. Au total, 71 athlètes venus de 10 pays (Botswana, Burkina Faso, Cameroun, Ghana, Mali, Maroc, Niger, Sénégal, Soudan et Tchad) ont participé au tournoi.

    La série A comptait 43 athlètes dont 21 dames contre 28 pour la série B dont 26 Maliens et 2 Nigériens. Les expatriés maliens comme Moussa Sissoko (100 et 200m) et Mamadou Cherif Dia (longueur) n’ont pas pu prendre part au meeting en raison du calendrier chargé de leur club respectif. Pour cette 12è édition, la fédération a invité deux personnalités de la CAA, Mme Koné Fatou Sissoko, déléguée technique et Moussa Sène, chronométrage électrique, mais aussi des encadreurs pour une bonne préparation des athlètes : Missiri T. Sawadogo du Burkina Faso, l’entraîneur ivoirien du centre international d’athlétisme de Dakar (CIAD), Antony Koffi et Abdallah Boukraa du Maroc.

    24 heures avant le coup d’envoi du meeting, la FMA avait indiqué qu’il n’y aura pas de primes de participation cette année en raison des difficultés financières de la fédération. « Il n’y a pas des primes de participation cette année. Les athlètes sont venus par solidarité et pour soutenir leurs collègues du Mali et la FMA », dira le président de la FMA, Idrissa Bah. « Malgré la crise le niveau du meeting n’as pas baissé. Les grands noms de l’athlétisme africains sont là comme Amanthlé Montsho Victor Gkape du Botswana, champions d’Afrique à Nairobi en 2010 et finaliste à Berlin aux Championnats du monde en 2009 et dans le Top 5 du 400m depuis 2008, Mamadou Hann Kassé du Sénégal (400m) et N’Déye Fatou Soumah (400m) du Sénégal ».

    « C’est un meeting qui vaut la peine être vécu. Il a pour objectif de rehausser le niveau de nos athlètes et offrir une opportunité de compétition. L’étape de Bamako a toujours été nécessaire dans la préparation du championnat du monde », renchérira le vice-président de la fédération, Dramane Coulibaly. « Il y a beaucoup de meeting africains qui sont entrain de disparaître pour des questions économiques. Ce n’est pas le cas de Bamako qui a encore son meeting. Cela mérite d’être encouragé », soulignera pour sa part Antony Koffi, entraîneur du CIAD.

    Cette année, l’organisation du meeting a coûté environ 42 millions de F cfa, y compris les primes de victoire : 200.000 F pour la première place contre 125.000 et 75.000 F, respectivement pour les athlètes classés 2è et 3è. Les athlètes se sont affrontés dans 14 épreuves, toutes séries confondues. La seule médaille d’or de notre pays a été remportée par Moctar Djigui en javelot avec un lancer de 58,53m. Les épreuves de vitessse (100 et 200 mètres) ont été dominées par le Camerounais Idriss Adam (10’’40 et 20’56) qui franchira la ligne d’arrivée devant le Burkinabé Bologo Innocent (10’’61 et 21’’) et notre compatriote Sékou Diassana (10’’63 et 21’’56). La médaille du saut en longueur est revenue à la Burkinabé Nielle Mariette (5,96m) qui sera suivie de sa compatriote Béatrice Kamboulé (5,94m).

    Notre compatriote Cissé Tounkara complète le podium (5,80m). Sans surprise Amanthlé Montsho Victor Gkape du Botswana a remporté la course des 100 et 200 mètres dame. La championne du Mali, Djénébou Danté est arrivée 3è du 200m dame (24’81) derrière la Sénégalaise N’Déye Fatou Soumah (23’’85) et Amanthlé Montsho du Botswana (23’’08). Quant au podium du 400 m dame, il sera constitué d’un trio 100% sénégalais : N’Déye Fatou Soumah (52’’88), Mam Fatou Faye (55’49) et Diabaye Fatou (56’’15). Le grand prix de Bamako a également permis aux athlètes de la catégorie C de se tester avant le tournoi de Solidarité prévu à Lomé en fin de mois.

    À l’issue des épreuves, le sponsor de la compétition, Sotelma-Malitel a remis des cadeaux à quelques personnalités dont le ministre de la Jeunesse et des Sports, Djiguiba Keïta, le ministre délégué auprès du ministère de l’Administration Territoriale et des Collectivités Locales chargé de la décentralisation, David Sagara et le président du Comité national olympique et sportif, Habib Sissoko. Vivement la prochaine édition !

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    MIGAN S. BRUNO






    Que devient Dénis Goavec au Bénin?

    28/04/2011 22:13



     

     

     

     

    Encadrement technique des Ecureuils: que devient Dénis Goavec ?


    La situation du patron de l’encadrement technique des Ecureuils du Bénin est de plus en plus, inquiétante. Depuis que le président Anjorin Moucharafou lui a retiré sa confiance, Dénis Goavec est dans un chômage technique. Il urge donc que le ministre Modeste Kérékou clarifie sa situation dans les plus brefs délais. La crise qui secoue la Fédération béninoise de football (Fbf) ne fait pas seulement grincer des dents chez les joueurs, les supporters et les dirigeants.

    Elle a également lieu au niveau de l’encadrement technique des Ecureuils du Bénin où la situation du sélectionneur national Dénis Goavec, est encore ambigüe. Or, selon le ministre de la jeunesse et des Sports et des loisirs, Modeste Kérékou, Denis Goavec est toujours l’entraîneur de l’équipe nationale. Mais ce dernier est contesté par le président Anjorin Moucharafou.

    La preuve est que c’est Fortuné Glèlé qui a conduit le 08 février dernier, d’abord la sélection nationale en Libye, pour disputer le match contre la Libye lors de la journée Fifa et ensuite pour affronter, à Accra au Ghana , les Eléphants de la Côte d’Ivoire, dans le cadre de la 3ème journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations ( Can) Gabon/Guinée Equatoriale 2012.Ils ont été battus par ces mêmes Eléphants par 2 buts à 1. Depuis ces deux rencontres, Goavec continue de nager dans le flou. Jusqu’à présent l’on ne sait pas ce qu’il est devenu. De même, l’on ne sait réellement qui commande les Ecureuils du Bénin, ceci malgré que la 4ème journée des éliminatoires s’approche à grand pas.

    N’est-ce pas le moment pour le ministre de la jeunesse des sports et des loisirs, Modeste Kérékou de permettre à Dénis Goavec de savoir l’attitude à tenir dans les prochains jours ? S’il connaît sa position, il pourra démarrer ou non la préparation du match Bénin # Côte d’Ivoire du 05 juin avec les joueurs locaux. Il n’est pas question de perdre le temps où le Bénin est en difficulté dans son groupe. La machine à broyer des Ivoiriens est en place pour surprendre les Béninois sur leurs propres installations.

    Alors, le ministre des sports va –t-il continuer à subir le diktat de Anjorin Moucharafou qui veut lui imposer sa volonté autre que celle de l’autorité de tutelle. Le comportement actuel du président Anjorin n’a gré pas la majorité des coéquipiers de Stéphane Sessègnon. Le climat est vicié au sein des joueurs. Ceux-ci réservent même sur une surprise désagréable aux autorités en charge de la gestion des équipes nationales. Il est donc temps de parer au plus pressé.

     

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    MIGAN S. BRUNO

     






    Appui nutritionnel aux pvvih

    27/04/2011 14:04



    Appui nutritionnel aux Personnes vivant avec le Vih-Sida: Que deviennent... Appui nutritionnel aux Personnes vivant avec le Vih-Sida: Que deviennent les malades après la rupture du contrat du PAM avec le gouvernement ? Bientôt un an que le Programme alimentaire mondial (Pam) n’assure plus la prise en charge nutritionnelle des personnes vivant avec le Vih-Sida. Aux lendemains de la rupture du contrat signé entre le gouvernement et ce partenaire, les Pvvih devront prendre leur destinée en mains ou espérer des dons d’autres généreux bienfaiteurs. Que deviennent les Pvvih ? Sans soutien alimentaire, ces malades ne savent plus à quel saint se vouer. " Lorsque la maladie vous attaque, vous manquez de force pour vaquer à vos occupations. Ce qui fait que, du coup, si vous n’êtes pas soutenus par une personne de votre famille, vous risquez de manquer du minimum vital. Aussi, pour prendre les médicaments, vous avez besoin de suivre un régime alimentaire bien défini, sinon les médicaments vous " creusent " le ventre ", a confié Laurine, une Pvvih. Comme elle, de nombreux malades infectés par le Vih-Sida n’ont plus accès au soutien nutritionnel. Ils se débrouillent pour subvenir à leurs besoins alimentaires en attendant d’autres bonnes volontés pour les aider. " Les vivres que nous donnait le Pam nous étaient d’une aide capitale. Car au moins, pendant les trois premiers mois du traitement, nous pouvions nous soigner correctement sans pour autant penser à comment se nourrir. Aujourd’hui, ce n’est plus pareil et c’est vraiment dommage ", a ajouté Laurine. Selon la Secrétaire permanente du Comité national de lutte contre le Sida (Sp-Cnls), le docteur Antoinette Obey Mègnigbéto, plusieurs domaines d’intervention ont été identifiés tels que la fourniture d’Anti Retro Viraux (Arv) et de médicaments contre les Infections opportunistes aux Pvvih, l’achat de réactifs et consommables nécessaires pour les soins médicaux et le traitement des patients ; le renforcement des capacités du personnel de santé à tous les niveaux de la pyramide sanitaire ; la restructuration de certains centres de santé dans le but de faciliter l’intégration des activités Vih/Sida et l’appui nutritionnel aux Pvvih. En effet, depuis 1987, le gouvernement et ses partenaires ont renforcé la prise en charge des maladies opportunistes et des Infections sexuellement transmissibles (Ist) chez les personnes vivant avec le Vih. L’appui technique et financier des partenaires a ciblé le renforcement des capacités des agents de santé et la communication pour le changement de comportement. Il est à noter que la prise en charge des Pvvih a évolué du traitement des maladies opportunistes et des Ist à la prise en charge psychosociale et au traitement par les Arv. Ce qui s’est étendu progressivement à la prise en charge nutritionnelle. Raison pour laquelle, le coordonnateur adjoint du Programme national de lutte contre le Sida (Pnls), Clément Ahoussinou a précisé lors d’un entretien qu’il existe trois types de prise en charge. Il s’agit de la prise en charge médicale, de la prise en charge psychosociale et de la prise en charge nutritionnelle, celle qui pose aujourd’hui d’énormes difficultés. Que dire de la prise en charge médicale et psychosociale ? A en croire la Coordonnatrice du Pnls le docteur Akinocho, l’organigramme de lutte contre le Vih/Sida au Bénin stipule que la prise en charge médicale des Pvvih est assurée par le Programme national de lutte contre le Sida. Le ministère de la Santé assure la prise en charge nutritionnelle et le ministère de la Famille s’occupe de la prise en charge psychosociale des patients infectés par le Vih-Sida. " Quel que soit le type de prise en charge, elle est gratuite. La gratuité de la prise en charge a été décidée par le ministère de la Santé pour encourager les malades à se faire soigner. Elle a, par conséquent renforcé l’espoir des personnes séropositives affaiblies et des différents acteurs de prise en charge ", a-t-elle indiqué. Pour elle, le nombre de nouveaux malades a évolué ces dernières années. Ainsi, de nos jours, on enregistre en moyenne, 2500 nouveaux malades par an. Ce qui fait qu’à la fin de l’année 2009, on était à 15.400 malades qui ont été pris en charge gratuitement. " Les médicaments, les réactifs consomment le maximum des moyens alloués à la lutte contre le Vih/Sida. La prise en charge coûte environ un million à un million cinq cent (1.500.000 Fcfa) par an par malade. Pour 15.000 personnes par exemple, le coût tourne autour de 22 milliards par an. Notre pays, le Bénin ne pouvant faire face tout seul à cette charge, l’appui des partenaires au développement s’avère indispensable. Selon le président du réseau béninois des associations des Pvvih, Marius Acotchou, avant, on observait des ruptures de stock en Arv allant de trois à quatre mois. " Aujourd’hui, grâce au Fonds mondial et au Projet multisectoriel de lutte contre le Sida - Pmls II, on a pu éviter ces ruptures à long terme. Les quelques cas de rupture remarqués ont été signalés au Pnls qui a pu décanter la situation ", confie-t-il. Démarrée avec l’avènement du Vih-Sida au Bénin en 1985 par certaines structures confessionnelles, la prise en charge psychosociale permet d’aider les personnes infectées ou affectées à mieux vivre leur séropositivité. Elle consiste à prodiguer des conseils sur l’évolution de la maladie, les dispositions à prendre pour éviter l’affaiblissement moral et physique. Ce qui renforce l’observance des prescriptions médicales et l’intégration sociale des Pvvih et des personnes affectées. Il s’agit de prendre en compte non seulement les conseils aux individus, mais aussi les visites à domicile, l’appui aux associations des Pvvih, les Orphelins et les enfants vulnérables (Oev). La prise en charge psychosociale des personnes vivant avec le Vih-Sida est un facteur indispensable pour l’amélioration de leur état de santé. Les besoins des personnes vivant avec le Vih ne se limitent pas à l’accès aux médicaments et aux soins médicaux. Ils ont besoin entre autres, d’un soutien psychologique, social et spirituel, dira la Sp-Cnls, le docteur Antoinette Mègnigbèto. Ce soutien peut atténuer la perception de la relation de causalité inéluctable entre l’infection par le Vih et le décès. Il peut favoriser également une meilleure intégration dans la société. " L’analyse des résultats a permis de constater une assez bonne structure organisationnelle, une méfiance des patients envers le personnel suite à un manque de confidentialité et d’intimité, une performance assez bonne des agents chargés de la prise en charge et un bon niveau de satisfaction des utilisateurs ", a souligné le coordonnateur adjoint du Pnls, Clément Ahoussinou. La prise en charge nutritionnelle en question ! Quant à la prise en charge nutritionnelle, elle constitue, aujourd’hui, le gros problème au Bénin. Elle assure l’apport suffisant en calories aux Pvvih et l’efficacité du traitement pour des malades sous Arv. A ce propos, le coordonnateur adjoint du Pnls, Clément Ahoussinou a expliqué que 60 à 80% des fonds alloués à la lutte sont destinés à la prise en charge. " Donc ce n’est que 30% qui sont utilisés pour les autres aspects du fléau tels que le dépistage et la lutte contre la transmission mère-enfant ", explique-t-il. A l’en croire, la prise en charge nutritionnelle était assurée par le ministère de la Santé. Le Programme alimentaire mondial (Pam) a pris entre-temps la relève, mais il vient de mettre fin à ce projet. Actuellement, c’est la Banque mondiale qui aide les Pvvih à obtenir des vivres. Il y a le Fonds mondial également qui a prévu assurer une partie de la prise en charge. " Ce qui ne comble pas les attentes ", a souligné Flavien Zounon, Pvvih. Pendant que les Pvvih se plaignent d’un manque de vivres, le docteur Clément Ahoussinou pense que le problème n’est pas pour autant alarmant. " En réalité, la prise en charge nutritionnelle n’est pas obligatoire. Les malades doivent continuer de travailler pour assurer leur alimentation ", a-t-il signifié. Et il faut dire que ce n’est non plus le souhait des personnes vivant avec le Vih. C’est seulement lorsque la maladie s’aggrave qu’ils souhaitent un accompagnement nutritionnel. " C’est la défaillance de l’appareil qui complique la prise en charge des patients. C’est pourquoi, Flavien Zounon a suggéré un renforcement des appareils afin qu’on dote les structures d’équipements d’un plateau technique performant. En attendant que le gouvernement et les partenaires techniques et financiers remédient à cette situation, les malades n’ont plus de choix que de manger à la sueur de leur front comme le recommandent les écritures saintes. Reporter MIGAN S. BRUNO




    exclusion du législative de 30 avril prochain

    23/04/2011 21:25



    Les Béninois de l’extérieur exclus des législatives du 30 avril


    APA-Cotonou (Bénin) Les Béninois de l’extérieur ne participeront pas aux élections législatives de leur pays prévues le 30 avril prochain, a annoncé lundi soir à Cotonou, le président de la Commission électorale nationale autonome (CENA), Joseph Gnonlounfoun.

    ‘’Quelque 3 629 837 électeurs sans les Béninois de l’extérieur dont nous n’avons pas besoin pour les législatives seront répartis dans 14 422 bureaux de vote en vue de la désignation des 83 députés de la prochaine Assemblée nationale du Bénin’’, a notamment déclaré, le président de la CENA, Joseph Gnonlonfoun.

    S’exprimant au cours d’une conférence de presse, M. Gnonlonfoun a estimé que les institutions en chargent de l’organisation du scrutin législatif ‘’ont pris toutes les dispositions nécessaires’’ pour la bonne tenue du scrutin.

    ‘’La Commission politique de supervision de la liste électorale permanente informatisée (CPS-LEPI et la Mission indépendante pour le recensement national approfondi (MINERA) ont pris toutes les dispositions nécessaires pour distribuer des cartes d’électeurs aux électeurs qui avaient voté par dérogation lors de la présidentielle du 13 mars dernier’’, a-t-il indiqué, soulignant les limites du vote dérogatoire.

    ‘’Les votes par dérogation de la loi du 4 mars 2011 n’auront plus droit de cité. La dérogation sera comprise dans la limite de la loi sur les élections’’, a-t-il précisé.

     

    Reporter

    MIGAN S. BRUNO






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