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deux photojournalistes tués à Misrata
21/04/2011 18:49
Deux photojournalistes tués à Misrata
Les membres du JOURNAL DU PEUPLEest choquée et attristée par la nouvelle du décès de deux photojournalistes le 20 avril 2011 à Misrata, dans l’ouest de la Libye, victimes d’un tir de mortier, le Britannique Tim Hetherington travaillant pour Vanity Fair et l’Américain Chris Hondros de Getty images. Deux autres photographes freelance, un Américain et un Britannique, ont également été blessés. Les quatre journalistes se trouvaient sur Tripoli Street, la principale artère de Misrata, assiégée par les troupes du colonel Mouammar Kadhafi, où se déroule actuellement le plus fort des combats.
“Toutes nos condoléances vont aux familles, aux proches et aux collègues de Tim Hetherington et Chris Hondros. Avec leur mort, la famille du journalisme perd deux grands professionnels, qui ont su, par leur travail, nous rapporter des images remarquables des récents conflits. Cette tragédie montre une fois de plus tous les dangers encourus par les journalistes dans leur couverture des conflits. Le nombre de journalistes tués en Libye depuis le début des combats s’élève à quatre”, a déclaré Jean-François Julliard, secrétaire général de Reporters sans frontières.
Tim Hetherington, photographe britannique, travaillant pour le magazine Vanity Fair, a été tué sur le coup. Connu pour ses travaux documentaires au long cours, ce photojournaliste né en 1970 avait vécu et travaillé pendant huit ans en Afrique de l’Ouest. Seul photographe à vivre derrière les lignes rebelles pendant la guerre civile au Libéria en 2003, il avait contribué à la réalisation de Liberia : an Uncivil War (2004) et de The Devil Came on Horseback (2007). Tim Hetherington avait reçu les principaux prix internationaux de photojournalisme, dont le World Press Photo en 2007 pour ses photos des soldats américains en Afghanistan. Ce travail avait servi de base au documentaire "Restrepo" qu’il avait réalisé avec Sebastian Junger. Le film, nommé aux Oscars, avait obtenu le grand prix du jury du Festival de Sundance en 2010.
Son confrère, Chris Hondros, photojournaliste pour Getty images, grièvement blessé à la tête, est décédé à la suite de ses blessures quelques heures plus tard. Journaliste américain né en 1970, il avait couvert les principaux conflits depuis le début des années 90 (Kosovo, Angola, Sierra Leone, Liban, Afghanistan, Kashmir, Cisjordanie, Irak, Libéria). Son travail avait également été récompensé par de nombreux prix internationaux.
Le photographe américain Michael Christopher Brown, de l’agence Corbis, et le photographe freelance britannique Guy Martin, ont été blessés.
Reporters sans frontières rappelle que deux autres journalistes ont déjà trouvé la mort en Libye depuis le début du conflit : le cameraman qatari d’Al-Jazeera, Ali Hassan Al Jaber, le 12 mars dernier dans une embuscade près de Benghazi, au cours de laquelle un de ses confrères avait été blessé. Le 19 mars, Mohamed Al-Nabous, le journaliste et blogueur libyen plus connu sous le diminutif Mo, un des fondateurs de la chaîne de télévision en ligne Libya Al-Hurra, avait été tué par un sniper à Benghazi.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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cas de corruption à la Commission européenne
20/04/2011 20:20
Agriculture: un cas de corruption à la Commission européenne bientôt jugé
Une affaire de corruption présumée au sein de la Commission européenne, impliquant notamment un ancien fonctionnaire néerlandais et un lobbyiste ayant travaillé pour un syndicat agricole français, sera bientôt jugée à Bruxelles, a indiqué mercredi une source judiciaire belge.
"La date du procès sera bientôt fixée", a déclaré cette source à l'AFP, confirmant des informations de la radio France Inter.
L'affaire a démarré il y a déjà plus de dix ans. Une juridiction d'instruction belge, la chambre du conseil de Bruxelles, a renvoyé le 11 janvier en correctionnelle 12 personnes et trois sociétés impliquées dans ce dossier, selon la radio publique française.
Selon l'enquête ouverte en 2001 par le juge d'instruction bruxellois Jean-Claude Van Espen, un fonctionnaire de la direction générale de l'agriculture, le Néerlandais Karel Brus, est accusé d'avoir fourni à un lobbyiste français, Jean-Jacques Vies, des informations confidentielles concernant la Politique agricole commune (PAC) de l'UE.
Le fonctionnaire, qui a depuis quitté la Commission, aurait en échange reçu de la part de nombreux cadeaux, dont "plusieurs nuits dans des hôtels parisiens", "de très nombreux déjeuners ou dîners dans des restaurants ou des bars à hôtesses", ainsi que 2.250 euros en liquide, selon un rapport du parquet fédéral belge cité par la radio française.
Jean-Jacques Vies, qui a été aussi renvoyé en correctionnelle, était employé à partir de 1987 à Bruxelles par le Syndicat national pour l'expansion de la coopération agricole (Syncopex), dont l'adhérent principal est l'Union Invivo, premier groupe coopératif agricole français, selon la même source.
Les informations "privilégiées" qu'il recueillait concernaient notamment les fluctuations des marchés agricoles, ce qui permettaient aux exportateurs français de "remporter des marchés", a expliqué M. Vies aux enquêteurs, selon France Inter.
"C'est une affaire très sensible, suivie de très près à la Commission. On attend avec une certaine appréhension ce qui va être décidé", a expliqué une source proche de l'exécutif européen à l'AFP.
Elle survient alors qu'une autre institution européenne, le Parlement, a entrepris de faire le ménage dans les relations entre ses élus et les groupes de pression à la suite d'un scandale de corruption de députés révélé par l'hebdomadaire Sunday Times.
Le Français, âgé de 56 ans et ancien du Service central de la répression des fraudes, a été placé trois mois en détention préventive après son interpellation en octobre 2003.
Les responsables de Syncopex et d'Union Invivo ont assuré avoir ignoré qu'il s'agissait de documents confidentiels et que Jean-Jacques Vies agissait de sa propre initiative.
Six responsables d'Union Invivo ont toutefois été renvoyés devant le tribunal correctionnel, tout comme deux sociétés néerlandaises, Codrico et Glencore Grain Rotterdam, qui sont accusées d'avoir corrompu le même fonctionnaire que M. Vies.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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rejet du scrutin au Nig�ria
20/04/2011 20:17

Nigeria: le rival du pr�sident rejette le scrutin mais condamne les violences �meutes � Bauchi, dans le nord du Nigeria, le 18 avril 2011 Le candidat malheureux � la pr�sidentielle au Nigeria, Muhammadu Buhari, a rejet� mercredi les r�sultats � cause de graves fraudes dans le Sud chr�tien, mais a exig� la fin des �meutes post�lectorales meurtri�res dans le Nord musulman, qui ont provoqu� la fuite d'au moins 40.000 personnes. Principal candidat de l'opposition, M. Buhari, un musulman, est arriv� second avec 31 % des voix derri�re le pr�sident sortant, Goodluck Jonathan, un chr�tien du Sud, qui a �t� proclam� vainqueur du scrutin de samedi avec 57 % par la Commission �lectorale nationale ind�pendante. Dans la r�gion du delta du Niger, le Sud p�trolif�re � majorit� chr�tien, "et dans le sud-est il n'y a pas eu (vraiment) d'�lections et nos partisans n'ont pas �t� autoris�s � voter", a d�clar� le g�n�ral Buhari, qui dirigea la junte militaire en 1984 et 1985, sur les ondes de la Voix de l'Amerique (VOA). De fait plusieurs Etats du Sud ont annonc� des r�sultats allant de 95 % � plus de 99% des voix en faveur de M. Jonathan. M. Buhari a cependant condamn�, comme la veille, les �meutes meurtri�res qui avaient commenc� dimanche soir: "je demande instamment aux gens de se calmer et de respecter la loi car nous nous adressons (� la Commission �lectorale) afin d'obtenir justice", a-t-il dit dans une �mission en langue haoussa. Dans l'Etat de Kaduna (centre-nord), un responsable religieux a parl� sur une radio locale "de massacres incroyable et de destructions colossales". Le bilan des �meutes est tenu secret par les autorit�s qui disent vouloir �viter des repr�sailles, et ne pouvoir �tre pr�cis parce que de nombreux corps ont �t� br�l�s sans qu'on puisse les reconna�tre ou bien ont �t� jet�s dans des puits. La Croix-Rouge mentionne de "nombreux morts": "Le nombre des d�plac�s a grimp� � 39.700 et le nombre des personnes bless�es est pass� � 410", a d�clar� mercredi � l'AFP un responsable de la Croix-Rouge, Umar Abdul Mairiga. D'apr�s un porte-parole de l'agence de s�ret� civile, la distribution d'aide est acc�l�r�e apr�s des plaintes de la Croix-Rouge. Les �meutes ont affect� 14 des 36 Etats, notamment ceux de Kano, Kaduna, Sokoto: des manifestants musulmans ont y br�l� des commerces, des �glises et des maisons, faisant plusieurs morts, selon un responsable nig�rian de la s�curit�. On a vu des foules de gens en col�re, arm�es de machettes et de gourdins, sortir des gens de leurs voitures pour les attaquer ou incendier des maisons, provoquant ensuite des repr�sailles de chr�tiens. Parfois l'initiative des violences est attribu�e � ces derniers qui ont br�l� des mosqu�es. Les personnes d�plac�es par les troubles sont h�berg�es dans des casernes de l'arm�e ou de la police. Le pr�sident Jonathan a appel� mardi "les chefs politiques et religieux � condamner ces actes afin que notre pays connaisse un d�veloppement � la place de la destruction". Selon lui, la plupart des �meutiers sont des "jeunes au ch�mage" manipul�s et que le gouvernement va aider. Goodluck Jonathan, 53 ans, qui �tait vice-pr�sident, est devenu chef de l'Etat en mai 2010 au d�c�s de son pr�d�cesseur musulman Umaru Yar'Adua. Dans le Nord, beaucoup consid�raient, avant le scrutin, que sa confirmation serait une entorse � la rotation traditionnelle du pouvoir entre Nord et Sud au sein du parti dominant le PDP (parti populaire d�mocratique). L'�lection, selon les observateurs, a sembl� dans l'ensemble plus honn�te et transparente que les pr�c�dentes au Nigeria mais les r�sultats anormalement �lev�s en faveur de M. Jonathan dans plusieurs Etats du Sud ont sem� le doute. Les Etats-Unis ont f�licit� mardi soir M. Jonathan pour sa victoire et demand� le respect des r�sultats du scrutin. La proclamation des r�sultats n'a fait qu'attiser les rivalit�s traditionnelles religieuses et ethniques entre le Nord et le Sud: ainsi dans la r�gion de Jos (centre), les heurts entre musulmans et chr�tiens ont fait plusieurs centaines de morts ces derni�res ann�es.
Reporter MIGAN S. BRUNO
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L'ONU et la Libye
20/04/2011 11:04
L'Onu demande une trêve pour les civils à Misrata, en Libye
Les Nations unies ont réclamé mardi un cessez-le-feu à Misrata, ville côtière assiégée dans l'ouest de la Libye, en faisant état de 20 enfants tués au moins dans les attaques des forces gouvernementales contre les quartiers tenus par des insurgés.
De son côté, l'Otan a dit avoir détruit des dizaines de chars et d'autres véhicules militaires assiégeant Misrata, où des centaines d'habitants auraient été tués par les kadhafistes, mais l'alliance a reconnu qu'il y avait des limites aux effets de ses raids aériens sur le siège de la ville.
Neuf semaines après le début du soulèvement contre le régime de Mouammar Kadhafi, la coalition alliée engagée aux côtés des rebelles est confrontée à des choix de plus en plus difficiles sur les fronts militaire, économique et diplomatique.
De nombreux pays de l'Otan refusent d'aller au-delà de la mise en oeuvre de la zone d'exclusion aérienne prévue par une résolution de l'Onu et d'attaquer les forces de Tripoli, malgré les pressions en ce sens des Etats-Unis, de la France et de la Grande-Bretagne qui tiennent à voir Kadhafi évincé du pouvoir.
Et certains de ceux, Russie en tête, qui ont laissé le Conseil de sécurité il y a un mois adopter des mesures contre la Libye estiment que sa résolution est détournée de son but pour fournir un appui aérien aux insurgés - bien que les combats semblent s'être enlisés à l'ouest d'Ajdabiah, dans l'Est libyen.
RAIDS AÉRIENS
Les épreuves infligées à Misrata, troisième ville de Libye et principal bastion des rebelles dans l'Ouest, soulignent les limites de l'opération aérienne de l'Otan, conçue pour interdire le ciel aux forces kadhafistes et protéger les civils.
"Après 50 jours de combats à Misrata, le bilan des victimes dans les rangs de la population enfantine commence à émerger - il est bien plus grave que nous ne le redoutions et risque de s'alourdir en l'absence d'un cessez-le-feu", a déclaré Marixie Mercado, porte-parole du Fonds de l'Onu pour l'enfance (Unicef).
"Nous avons au moins 20 décès confirmés d'enfants et un grand nombre de blessés", a-t-elle dit à la presse à Genève.
Selon des organismes humanitaires, nourriture, médicaments et autres fournitures manquent cruellement dans la ville, où des dizaines de milliers de victimes et de travailleurs étrangers attendent d'être évacués dans la zone portuaire.
"Nous observons la situation à Misrata et, ces dix derniers jours, les combats ont été intenses", a dit à Bruxelles, le général Mark Van Uhm, de l'état-major de l'Otan. "Nos forces ont opéré de nombreuses frappes à Misrata et dans ses environs et nous y avons détruit plus de 40 chars ainsi que plusieurs véhicules de combat blindés."
"Mais il y a une limite à ce qui peut être accompli avec la puissance aérienne pour arrêter les combats dans une ville", a-t-il ajouté lors d'un point de presse.
L'Alliance atlantique a annoncé que ses avions avaient frappé lundi soir des centres de télécommunications et le QG de la 32e brigade des forces kadhafistes à 10 km au sud de Tripoli. La télévision d'Etat libyenne a signalé des raids aériens de la coalition contre Tripoli, Syrte et Al Aziziah.
ATTEINTE AU MANDAT DE L'ONU, DIT MOSCOU
A la sortie ouest d'Ajdabiah, des rebelles ont signalé mardi matin la présence d'éléments kadhafistes à 30 km. Certains ont dit que l'Otan leur avait conseillé de ne pas attaquer pour éviter d'être victimes accidentellement de raids aériens.
La Grande-Bretagne a annoncé l'envoi prochain d'officiers expérimentés dans l'est du pays pour prodiguer des conseils aux rebelles en matière d'organisation et de communications, mais ni pour entraîner ni pour armer des combattants. L'initiative est toutefois propre à irriter ceux qui accusent les Occidentaux d'outrepasser le mandat fixé par l'Onu.
La Russie a ainsi estimé que les tentatives pour renverser le colonel Kadhafi bafouaient le mandat des Nations unies, qui autorise le recours à la force pour la seule protection des populations civiles. A ses yeux, le soutien aérien occidental incite l'opposition à ne pas négocier.
"Le Conseil de sécurité n'a jamais fixé pour objectif de renverser le régime libyen", a déclaré à Belgrade la chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov. "Tous ceux qui cherchent à utiliser la résolution des Nations unies dans ce dessein violent le mandat de l'Onu. Il est crucial d'établir un cessez-le-feu."
La France a fait savoir que le président Nicolas Sarkozy recevrait mercredi à Paris le chef du CNT libyen, Moustafa Abdeldjeïl. Mais son ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé a souligné que Paris restait hostile à un déploiement de forces sur le sol libyen pour guider les frappes aériennes.
Alain Juppé a aussi reconnu que la situation sur le terrain était "difficile, confuse", et qu'on avait "peut-être sous-estimé" la "capacité d'adaptation" de Kadhafi. Il a jugé "probable (...) qu'il n'y ait pas de solution militaire", ajoutant qu'une solution politique devrait se fonder sur un "vrai cessez-le-feu", l'unité territoriale de la Libye et la participation de plusieurs partenaires aux négociations.
L'Union européenne a dit envisager lundi l'envoi de personnels militaires non combattants en Libye, notamment pour sécuriser des livraisons de marchandises à Misrata et ailleurs.
Huit camions venant de Tunisie avec 240 tonnes de vivres sont arrivés en Libye pour gagner des villes de l'Ouest parmi lesquelles Zaouïah, Zentane et Nalout - en majorité contrôlées par les kadhafistes après l'écrasement de révoltes locales.
Reporter MIGAN S. BRUNO
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Yémen et L'ONU
20/04/2011 10:54
Yémen : l'ONU ne parvient pas à adopter une position commune.
A New York, le Conseil de sécurité de l'ONU, qui se réunissait, mardi 19 avril, pour la première fois sur la situation au Yémen, a échoué à se mettre d'accord sur une déclaration commune. Une déclaration à la presse a été rédigée par l'Allemagne et le Liban, deux membres du Conseil, mais a finalement été bloquée par une minorité.
"Il y a eu un appel à la retenue et nous avons entendu des informations inquiétantes sur le Yémen", a expliqué Susan Rice, ambassadrice des Etats-Unis. "Les membres du Conseil de sécurité ont eu une discussion qui en valait la peine", a-t-elle dit sans autre détail.
"RETENUE ET DIALOGUE"
L'ambassadrice a ajouté que le Conseil avait exprimé son soutien à la médiation du Conseil de coopération du Golfe (CCG) – Arabie saoudite, Emirats arabes unis, Oman, Qatar, Koweït, Bahreïn –, chargé de trouver une issue à la crise au Yémen, où le président s'accroche au pouvoir malgré une forte contestation de la rue.
"Nous avons signifié notre inquiétude au sujet de la situation qui se dégrade au Yémen et nous avons appelé à la retenue et au dialogue", a ajouté Peter Wittig, l'ambassadeur allemand à l'ONU, à l'origine de la réunion. Pour autant, il n'a pas précisé s'il s'agissait de la position allemande ou celle du Conseil de sécurité.
Avant la réunion, il avait déclaré aux journalistes que les négociations ne devaient pas "s'enliser" et que "toute nouvelle effusion de sang devait être évitée". Les chefs de la diplomatie du CCG ont débuté dans la soirée à Abou Dhabi une réunion avec une délégation du régime yéménite sur les moyens de trouver une solution politique à la crise qui secoue leur voisin du Sud.
Reporter
MIGAN S. BRUNO
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