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       LE JOURNAL  DU PEUPLE
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LE JOURNAL DU PEUPLE

VIP-Blog de migan
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  • Créé le : 07/11/2010 12:36
    Modifié : 17/10/2014 11:05

    Garçon (38 ans)
    Origine : cotonou BENIN
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    le géant russe du diamant Alrosa

    26/05/2011 12:58



    Pour la première fois le géant russe du diamant Alrosa révèle ses résultats et le montant de ses réserves. La crise semble un vieux souvenir.




    « La Russie va diriger le monde en terme de réserves diamantifères », a clamé Fyodor Andreyev, le président d'Alrosa. Ce puissant groupe aux mains de l'Etat russe et de la République sibérienne de Yakoutie, où sont concentrés les plus grands gisements, vient de briser un tabou, en révélant que la Russie possédait 1 milliard 300 mille carats de réserves, soit 260 tonnes de diamant bruts. « Au rythme de production actuelle les réserves d'Alrosa pourraient durer 40 ans, a poursuivi le président du groupe. Jusqu'à présent nous n'avons pas révélé nos réserves parce qu'aucun producteur ne le faisait ». Une allusion au culte du secret partagé par le grand concurrent d'Alrosa, privé celui là, la De Beers, et auquel le groupe russe a contribué à briser le monopole sur le marché mondial du diamant.

    Ce marché du diamant se porte à nouveau à merveille, après le repli de 2009 consécutif à la crise. Et ce, grâce à l'Inde et à la Chine. L'an dernier la demande de diamants polis a augmenté de 9% en Chine continentale, de 11% à Hong Kong. Cette année la tendance devrait se poursuivre, on prévoit une augmentation de 20% de la consommation de pierres précieuses brutes ou polies en 2011, et les prix sont en hausse de 40% sur les 20 derniers mois.

    Les résultats des géants du diamant sont donc beaucoup plus brillants en 2010, en premier lieu pour Alrosa, dont la dette a fondu de 13% et dont les bénéfices ont triplé. Au point que le groupe russe envisage de développer seul un nouveau gisement diamantifère au bord de la mer Blanche, alors qu'il comptait faire appel au concurrent anglo-australien Rio Tinto. De sources proches de la direction d'Alrosa, le géant russe du diamant pourrait même renoncer à son entrée en bourse projetée pour la fin de l'année prochaine, tant l'afflux de cash l'autorise désormais à rester chasse gardée du gouvernement russe. La transparence sur les réserves pourrait donc n'être qu'un signe aux clients asiatiques, pour qu'ils fassent confiance à cet approvisionnement.

     

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    MIGAN S. BRUNO






    Atelier Uemoa à Cotonou

    25/05/2011 19:56



     

    Atelier de la Commission de l’Uemoa : Divers acteurs échangent sur le plan stratégique 2011-2020

    La Représentation résidente de la Commission de l’Uemoa à Cotonou a organisé le  jeudi 5 mai 2011 au Novotel un atelier d’échange.  Il s’agissait de recueillir les appréciations des différents acteurs sur la mise en œuvre du plan stratégique 2011-2020 de la Commission.

    La rencontre organisée hier était pour partager l’appréciation de différents acteurs sur le plan stratégique 2011-2020 de la Commission. Selon le Représentant Résident de la Commission à Cotonou M. Badji Bassa Babacar,  il s’agit de partager à nouveau selon une démarche participative le contenu du plan stratégique pour une mise en œuvre conséquente.  Ce plan adopté par le Conseil des ministres de l’Uemoa le 1er octobre 2011 présente les grandes lignes de la vision de développement. Il balise la voie pour des actions efficaces au profit des populations de l’Union. Il faut alors formuler les recommandations pouvant accompagner sa mise en œuvre. Ce cadre d’orientation fédérateur comprend cinq axes. Il s’agit du marché commun à bâtir au profit des populations ; de la performance des Etats membres ; de la synergie d’action entre les organisations intergouvernementales et les partenaires techniques et financiers ; une meilleure communication pour consolider la crédibilité de la commission ; et faire de la commission une organisation moderne, efficace et efficiente. La Commission attend des chercheurs, acteurs de la société civile et cadres des ministères des recommandations pour la mise en œuvre du plan. Dans son allocution d’ouverture, la Secrétaire générale du ministère des finances et de l’économie Mme Christine Eyébiyi a aussi précisé que les gouvernants attendent de l’atelier des propositions concrètes, réalistes et réalisables pour plus de résultats. Car, les participants sont les acteurs de la mise en œuvre et il était utile de les réunir à nouveau comme ce fut le cas le 17 juin 2010 pour recueillir leurs propositions afin d’élaborer le plan. Au sujet de ce plan stratégique qu’elle qualifie d’innovation pour la gestion axée sur les résultats, M. Eyébiyi interpelle les Etats pour plus d’action d’intégration entre les pays de l’Union. Pour elle, il faut plus d’effort  des gouvernants pour mettre en application  les politiques et les réformes.

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    MIGAN S. BRUNO






    4ème conférence sur les PMA

    25/05/2011 19:27



    Interview du Secrétaire général de la 4ème Conférence sur les PMA : « Je ne suis pas pessimiste quant aux résultats d’Istanbul »


    Le Secrétaire général de la quatrième Conférence des Nations Unies sur les Pays les moins avancés tenue à Istanbul du 9 au 13 mai 2011, M. Cheick Sidi Diarra a accordé une interview à certains journalistes africains. Dans cet échange, il a rappelé les éléments d’inquiétude  et d’assurance par rapport aux lendemains de la Conférence. Il entrevoie quelques avancées de la part des partenaires au développement que des Pays les moins avancés pour que certains de ces derniers puissent sortir de leur statut actuel d’ici à 2020.

    Monsieur le Secrétaire général, quels sont vos espoirs quant à la meilleure application du plan d’action d’Istanbul ?

    Je crois que la Conférence d’Istanbul se tient à un moment où les économies des pays développés sortent à peine d’une période de crise financière qui a démarré en 2008. Et avant cette crise, il y avait la crise alimentaire puis la crise du pétrole. Ces mêmes situations sont en train de prévaloir aujourd’hui. Le prix du pétrole est monté très haut, cela fait que l’économie mondiale n’a pas pu trouver son rythme soutenu de production de biens et de services. Cela fait que beaucoup de gens sont actuellement sceptiques aux résultatx de la conférence. Mais moi je place beaucoup d’espoir dans le fait que les engagements qui ont été pris à Bruxelles en 2001 seront maintenus au même niveau, sinon renforcés. Si on arrive à maintenir au même niveau que ce qui a été fait à Bruxelles, et qu’on s’acquitte de ces engagements, je pense qu’on pourra mobiliser beaucoup de moyens et même doubler le niveau actuel de l’appui international en faveur des pays les moins avancés. Comme vous le savez, l’engagement pris à Bruxelles en faveur de l’aide publique au développement, c’est d’assurer 0,2% du Produit intérieur brut (PIB) des pays donateurs en faveur des pays les moins avancés. Mais le plus haut niveau qu’on ait jamais atteint du déboursement de l’aide a été de 0,09%. Déjà en maintenant Bruxelles et en s’acquittant des engagements de Bruxelles, l’aide publique pourrait passer de 38 milliards aujourd’hui à près de 80 milliards de dollars rien qu’au profit des pays les moins avancés. Je suis donc optimiste en ce sens qu’en matière de commerce et d’accès au marché, des avancées notables ont été faites depuis 2000. Ce qui est convenu à cette date, c’est de permettre l’accès hors quota et hors tarif au profit de 97% des marchandises et des services en provenance des pays les moins avancés. Notre combat cette fois-ci c’est d’avoir les 100%. A défaut d’avoir les 100%, les 97% s’ils sont optimisés pourraient être profitables aux pays les moins avancés. Pour le moment, il y a très peu de pays qui arrivent à exporter des biens selon les standards internationaux. Il faut donc renforcer les capacités de bénéficiaires pour qu’ils puissent tirer avantages de cela. Pour ce qui concerne les investissements directs étrangers, nous avons vu une hausse sans précédent jusqu’à 33 milliards en 2008 après la crise, et on est arrivé à rester carrément au dessus de 25 milliards de dollars malgré la crise. Ce niveau d’investissement pourrait croitre si certaines mesures que nous avons proposées sont adoptées. Ces mesures-là n’ont pas besoin d’engagements financiers. C’est simplement des mesures d’ordre légal et réglementaire que les pays développés et les pays émergents doivent prendre. Cela consiste à mettre en place des mesures d’incitation fiscale pour les multinationales des pays développés afin qu’elles s’intéressent à investir dans les pays les moins avancés. Les pays comme la Chine, l’Inde, le Brésil, la Malaisie et la Turquie pourraient agréablement nous surprendre en apportant des initiatives nouvelles de soutien que ce que les donateurs traditionnels sont en train de faire. Dans l’ensemble, je ne suis pas pessimiste quant aux résultats de la conférence. Peut-être que c’aurait été meilleur s’il y avait l’embellie économique qui prévalait quand Bruxelles se tenait en 2001.

    Avec votre optimisme, pensez-vous qu’il y aura des pays qui vont sortir de cette catégorie de Pma dans les dix ans à venir ?
     
    Absolument,  c’est cela notre aspiration profonde. On s’est fixé comme objectif de faire en sorte que les pays les moins avancés puissent graduer d’ici à 2021. Nous avons déjà cinq ou six pays qui sont sur la pente ascendante. Nous avons dans le Pacifique trois pays, à savoir : Vanuatu,  Samoa et Tuvalu. Ce sont de petites îles. Mais de grandes économies  sont en train d’arriver, il s’agit de l’Angola et de la Guinée Equatoriale. Nous pensons que les revenus pétroliers sont tellement importants dans ces pays –là et nous pensons que cela va susciter une amélioration de revenu par tête d’habitant dans ces pays.

    L’Afrique a bien résisté à des crises. Mais quelles sont les stratégies pour diversifier la production dans les Pma  qui connaissent quelques difficultés à mieux se maintenir ?

    La plupart de ces pays exportent au maximum un ou deux produits. Et toute l’économie est basée sur cela. Il suffit que le prix de ce produit plonge pour que toute l’économie du pays plonge. L’objectif est donc de diversifier l’économie des pays Africains et des pays les moins avancés. La meilleure stratégie de diversification est celle qui est basée sur une approche intégrée de la diversification. Elle consiste par exemple pour un secteur comme l’agriculture qui occupe 90% de la population active dans les pays les moins avancés, qu’on prenne l’agriculture comme un secteur stratégique et que tout ce qui entre dans l’activité agricole en amont, les intrants c’est –à-dire les semences, tout cela puisse faire l’objet de recherche au niveau local. Et tout ce qui entre dans l’après production donc, en aval : la transformation des produits agricoles, le stockage, la commercialisation, cela peut faire partie d’un certains nombre de programmes qui peuvent aider à consolider l’approche intégrée. L’approche intégrée présente l’avantage de combiner plusieurs secteurs d’activités. Le secteur de la production chimique travaille en produisant à l’interne des engrais, les semenciers, en faisant de la recherche et du développement. Cela entraine des produits à très bas prix à la disposition de l’agriculteur. L’autre stratégie de diversification est la diversification à l’horizontal qui permet de sortir de l’état vicieux de l’extraction minière et de s’orienter vers les secteurs qui emploient plus de personnes dans le pays. Cela peut être le secteur de l’agriculture, de la pêche ou tout autre secteur, mais que l’Etat identifie les activités du secteur économique dans lequel il a un fort potentiel  et un avantage comparatif  et qu’il développe une stratégie nationale de promotion de ce secteur pour diversifier un peu les sources. Comme cela, si une des sources connait la crise, l’autre source permettra de supporter l’économie. Il faut que l’économie soit sur plusieurs piliers.

    Par rapport à l’agriculture dont la terre est le pilier, de plus en plus il y a une politique d’expropriation de ces terres par les investisseurs des pays développés au détriment des populations. On parle même du néocolonialisme agraire, n’est-ce pas là un risque pour les populations des pays moins avancés ?

    La stratégie développée par les Nations unies en appui à l’agriculture en Afrique veut que  les petits fermiers qui ont des terres très limitées en superficies soient soutenus avec des subventions pour les aider à faire avancer leur productivité. Les pays qui ont fait cela ont eu des résultats. Le Malawi qui a fait des subventions pour l’engrais, ou d’autres pays qui font des avances remboursables, quelle que soit la formule, il faut encourager les petits fermiers à produire plus. Mais  je pense qu’on aura besoin des grandes exploitations qui vont nécessairement transférer une technologie qui n’est pas à notre disposition maintenant. Ensuite, on suppose qu’ils vont aussi créer des emplois sur ces fermes. On va supposer qu’une fois la production faite, que ce soit la culture de rente ou la culture vivrière, que l’exportation des produits va générer des recettes pour l’Etat. Cela étant dit, il y a des droits fondamentaux reconnus par les Nations Unies qu’il faut préserver. Il y a un code de conduite qui a été développé conjointement par la Banque Mondiale, la Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement (Cnuced), la Fao et le Bureau international du travail si je ne me trompe, qui donne les grands principes. Cela doit orienter les pays pauvres au moment de décider de leur politique face à ces nouveaux types d’investissement. Ce n’est pas quelque chose qu’on leur impose. Mais c’est des principes qu’on leur demande de faire prévaloir face à ceux qui viennent les voir. Un des principes c’est d’abord d’assurer le droit à l’alimentation des populations autochtones quel que soit le prix. Cela veut dire que s’ils produisent de l’alimentation pour l’exportation, il faudrait d’abord qu’ils s’assurent que les populations des pays dans lesquels la nourriture est produite, que les populations mangent à suffisance avant que la nourriture ne soit exportée. Deuxièmement, le droit de propriété des petits fermiers doit être préservé coûte que coûte. Et s’ils doivent renoncer à ce droit, que cela soit fait de façon volontaire et de manière à ce qu’ils soient au courant des implications qui résultent de la renonciation à ces droits. Il est préférable d’après ce que ces principes proposent que ce contrat soit sous forme de baux emphytéotiques, c’est-à-dire le bail sur le long terme plutôt que la vente des terres. Quand ces investissements viennent, il faut s’assurer qu’ils viennent avec un paquet de savoir faire, des connaissances qui seront transférées. Il y a donc un certain nombre de principes qui portent sur la protection des droits des populations. Le système des Nations Unies propose cela aux Etats.

    Venons-en à la question de la gouvernance, les Pma demandent qu’on augmente leurs aides pendant qu’ils n’arrivent pas à consommer ce qu’ils ont déjà reçu. N’y a-t-il pas un problème de gouver-nance ? Et que faire pour être plus crédible devant les bailleurs ?

    La question de gouvernance et la question de capacité sont deux choses. Ce que vous venez de dire est d’abord une question de capacité d’absorption. C’est le fait que les institutions de l’Etat ne sont pas toujours en mesure de produire des documents de projets nécessaires qui sont appropriés et convaincants pour bénéficier des financements. Mais, il y a une autre chose qui ne dépend pas des pays les moins avancés. Il y a ce qu’on appelle la fragmentation de l’aide. Plusieurs donateurs viennent travailler sur les mêmes secteurs. Ensuite, les mêmes donateurs sont appelés à couvrir plusieurs secteurs à la fois. Et pour chacun des secteurs couverts, les donateurs exigent la soumission des rapports annuels d’évaluation et beaucoup d’autres documents. Il y a des pays qui sont appelés à soumettre plus de 100 rapports par an aux donateurs pour souvent  50.000 dollars, 300. 000 dollars, c’est très contraignant.   Pour solutionner cela, il a été dit dans la déclaration de Paris sur l’efficacité de l’aide qu’il faut plus de cohérence et de concertations en matière d’attribution de l’aide. Il faut donc un mécanisme paritaire local  qui permette de donner à chaque pays donateur un secteur selon son avantage comparatif.  Si un pays est bon dans les questions d’eau potable  ou de santé, qu’on lui confie à lui seul ces questions. Cela permet de mettre le paquet de ressources sur un secteur bien déterminé. L’autre chose est de réduire la paperasserie par le moyen de l’aide budgétaire directe. Au lieu de donner de l’aide suivant de petits projets de 20 ou de 30.000 dollars, qu’on alloue un montant au budget national de l’Etat. L’Etat choisit les priorités vers lesquelles il oriente les ressources et à la fin, il présente un rapport sur l’utilisation de ces ressources. Certes, il y a un peu de résistance de la part de certains donateurs, mais la tendance est d’encourager l’aide directe au budget.  
    Maintenant en ce qui concerne la gouvernance, il a été constaté que les ressources allouées ne produisent pas suffisamment d’impact sur le terrain. On ne voit pas les répercussions positives des milliards qu’on engloutit dans l’aide publique au développement. La déclaration de Paris dit qu’il faut avoir une approche orientée vers les résultats. Cela veut dire qu’au bout du financement, ou à mi-parcours du financement, qu’on puisse montrer une route, ou un hôpital ou une école qui a été réalisé avec les moyens alloués. Cela est nécessaire, car chez nous, il y a beaucoup de corruptions. Il y a une élite qui s’accapare de tout ce qui est donné au peuple. Il faudrait qu’on rende des comptes sur l’utilisation des ressources alloués. L’obligation de rendre compte est valable pour nos pays et pour les donateurs aussi qui doivent rendre compte. A partir du programme d’action d’Istanbul, cette tendance va se consolider.

    Certains parlent de la taxation des transactions. Etes-vous de ceux qui pensent qu’il faut taxer les transactions financières  des migrants des Pma ?

    Non, les transactions financières de migrants ne sont pas concernées. Au contraire, nous luttons pour la réduction des charges liées aux transactions financières des migrants. On parle des spéculations boursières. Il y a trois trillions de dollars qui circulent chaque jour dans les transactions boursières. On dit qu’il faut taxer à 0,05%  chaque transaction. Et cela va aider à générer 50 milliards de dollar par an. Mais on n’arrive pas encore à s’entendre sur l’utilisation. Il y en a qui disent que cela soit dédié aux changements climatiques, moi je demande à ce que ce soit dédié aux pays les plus pauvres, d’autres disent de dédier cela à un fonds de stabilisation des spéculations financières. Et puis, il y a certains pays qui sont opposés. Le Royaume Uni et les Etats –Unis, d’un point de vue philosophique ne sont pas favorables pour qu’on taxe les transactions financières. Par contre, des pays comme la France, le Portugal, l’Espagne, l’Italie si je ne me trompe sont favorables. Il y a aussi la taxe sur les billets d’avion. Certains pays le font volontairement déjà à un dollar sur les billets d’avion pour les vols à l’interne et certains vont  jusqu’à 9 dollars sur les vols internationaux sur les business classes pour financer des projets de santé. La France fait cela déjà.
    J’ai donc globalement espoir qu’au-delà de tout, Istanbul donne des signes d’espoir et chacune des parties doit respecter les différents engagements.

     

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    MIGAN S. BRUNO






    Don au FBVB

    25/05/2011 19:13



    Don de matériels sportifs : Le Brésil offre des ballons à la Fbvb  


    Le jeudi 19 Mai 2011, a eu lieu au siège du Comité National Olympique et Sportif Béninois, une cérémonie de remise de matériel à la Fédération Béninoise de Volley-ball. Ce don de 35 ballons de volley-ball a été effectué par le Ministère brésilien des Sports par l’intermédiaire de l’ambassade du Brésil au Bénin.

    La cérémonie a connu la présence effective de l’Ambassadeur du Brésil au Bénin, son Excellence Arnaldo Caiche D’Oliveira, assisté de son cabinet, du SG du CNOSB, M. Julien Minavoa. On a noté la présence remarquable M. Didier Aplogan, Président de la Fédération Béninoise de Volleyball, des membres de son Comité Exécutif, des  responsables des Ligues Régionales Atlantique et Ouémé.
    Ce don de matériel est le début des accords de partenariat entre le Fédération Béninoise de Volleyball et le Brésil, partenariat qui pourrait s’étendre à des formations de cadres techniques béninois au Brésil.

     

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    MIGAN S. BRUNO






    Assemblée Nationale

    25/05/2011 18:37



    Assemblée Nationale : La majorité parlementaire au profit de Yayi passe à 60 députés


    Le Chef de l’Etat, le Dr Boni Yayi peut désormais se réjouir. Du côté du Palais des gouverneurs, il n’a plus de soucis à se faire. C’est en roue libre qu’il fera passer ses lois. Il dispose depuis le vendredi 20 mai 2011 d’une majorité parlementaire confortable forte de 60 députés.

    60 voix pour, 02 abstentions et 02 contre. C’est par ce résultat que le Professeur Mathurin Coffi Nago a été reconduit le vendredi 20 mai dernier à la tête du Bureau de l’Assemblée Nationale après une plénière qui aura duré plusieurs heures. En dehors des 41 députés élus sur la liste Fcbe à l’issue des élections législatives du 30 avril 2011 et des députés des listes alliées, le camp présidentiel a reçu le fort soutien des députés de la Renaissance du Bénin pour obtenir ce résultat qui a fait dire à certains observateurs qu’après le Président Boni Yayi, le Professeur Mathurin Nago a, lui aussi, réalisé son K.O. Ce revirement de  la RB porte désormais le nombre de députés soutenant les actions du Chef de l’Etat à 60. Selon nos sources, le Président Boni Yayi fera tout ce qui est de son pouvoir pour maintenir aussi longtemps que possible la RB dans le camp présidentiel. Cette option s’explique par le fait que le Président Boni Yayi entend profiter au maximum de la situation qui lui est ainsi favorable à l’Assemblée Nationale pour faire rapidement voter les lois qui lui permettront de conduire sa refondation.

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    MIGAN S. BRUNO






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